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Aconitum

Maison d'édition à compte d'éditeur
Poison mortel ou médecine homéopathique, l’Aconitum est une plante aux multiples facettes. Il en est de même pour les titres que nous vous proposons: new romance, fantastique, horreur, fantasy, young adult, jeunesse. Par avance, nous vous souhaitons d’excellentes lectures…

Maisons d'éditions similaires :

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Aire éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2015
Au fil de ses quatre décennies d'existence, l'Aire a su maintenir ses objectifs : défendre la littérature et la liberté créatrice des auteurs.
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De Borée

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1989
En décembre 2015, les Éditions De Borée ont été rachetées par le groupe de presse Centre France-La Montagne avec pour ambition de développer les synergies entre la presse et l'édition de livres et de donner un nouvel élan à la marque. Nous vous réservons de très belles nouveautés avec des auteurs talentueux plus que jamais inspirés... Suivez notre actualité à travers notre page Facebook.
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Hippocrène Éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2013
42 livres au catalogue dont

Notre maison d'édition a vocation à promouvoir la Culture et permettre aux auteurs en herbe de se faire connaître. Notre travail d'édition est totalement gratuit pour les membres de notre association "Les Muses d'Hippocrène" (cotisation de 30€/an). L'auteur ne paie donc que les frais d'impression et de plus, il perçoit l'intégralité du prix de vente car nous ne prélevons aucun pourcentage sur les ventes.

N'ayant pas vocation mercantile, nous ne regardons pas le temps consacré à chaque ouvrage et nous privilégions la qualité au nombre d'ouvrages publiés dans l'année. Le travail fourni est de très haute qualité, le Directeur/Fondateur ayant plus de 35 années de pratique éditoriale. De nombreuses récompenses nationales et internationales couronnent chaque années les auteurs publiés.

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L'Atelier du Grand Tétras

Maison d'édition à compte d'éditeur

Implanté dans un petit village du Massif Jurassien, L'Atelier du Grand Tétras présente d'abord l'originalité de couvrir la chaîne du livre, de l'écriture à la fabrication artisanale. Unie autant pas la littérature que par la confection du livre, l'équipe de l'Atelier s'acharne avec passion à produire des livres dans la tradition artisanale de l'imprimerie. Imprimés sur de beau papier les textes sont assemblés en cahiers cousus à l'ancienne.

L'Atelier du Grand Tétras se consacre à la poésie contemporaine avec la collection Glyphes et à la littérature de création à travers le roman, le récit et la nouvelle avec la collection Écriture.

Dans le prolongement de ses choix éditoriaux, l'Atelier édite également la revue Résonance Générale - Cahiers pour la poétique à laquelle collaborent quelques uns des poètes les plus représentatifs de notre temps présent. Cette revue a favorisé l'ouverture d'une nouvelle collection Essais pour la poétique destinée à appronfondir sur un thème précis les enjeux de la poésie d'aujourd'hui.

Par ailleurs, la collection Entre deux rives, créée récemment, s'attachera à faire connaître des auteurs étrangers qui n'ont pas encore été traduits en France. Parallèlement, l'Atelier du Grand Tétras est tout naturellement porté à publier des textes qui chantent nos terroirs.

Se détournant des étroitesses du régionalisme, l'Atelier édite des écrits célébrant un art de vivre régional : telle est la vocation de la collection Terroir Vécu et de la revue La Racontotte qui depuis 1976 a fidélisé en Franche-Comté de nombreux lecteurs. Marginal avec complaisance, délibérément détaché des seuls intérêts commerciaux, l'Atelier du Grand Tétras s'acharne encore à croire, avec la passion de créer des livres, aux espérances d'Alfred de Vigny quand il abandonne sa "bouteille à la mer".

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Rageot

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1941
500 livres au catalogue dont 60 publiés par an

En 1941, Tatania et Georges Rageot fondent les éditions G.T. Rageot, pour "donner à lire autre chose aux enfants que la comtesse de Ségur ou Jules Verne et leur faire découvrir à travers des romans d'auteurs étrangers la vie des enfants des autres pays". 113 titres sont publiés entre 1941 et 1959, date du rachat par les éditions Hatier.

Elle continue toutefois d'être dirigée par Tatania Rageot - Georges Rageot décède en 1950 - jusqu'en 1971. En 1972, elle est reprise par leur fille, Catherine Scob, qui travaille aujourd'hui avec sa propre fille, Caroline Wetsberg.La rachat par Hatier marque la création des éditions de l'Amitié. Près de 200 titres sont publiés dans la collection de l'Amitié.

Apparaissent ensuite toute une série de collections dérivées, dont Ma première amitié, en 1978 et Jeunesse poche en 1971, la première collection de poche pour les jeunes (en quatre série, policier, aventure, anticipation, espionnage). Ces collections ont fait découvrir des nombreux auteurs, comme Michel-Aimé Baudouy, Anne C. Veslty, Yvan Maufret, Betsy Biars, Maria Gripe ou Susie Morgenstern.

Tout ces titres se retrouvent aujourd'hui dans la collection Cascade, créée en 1989. Avec une vingtaine de titres par an, elle se décline par thème, aventure, policier, contes.

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Elyzad

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2005
80 livres au catalogue dont

Les éditions elyzad sont nées à Tunis en 2005. Malgré un contexte politique pesant, face à la censure et à la situation de « douce » asphyxie dans laquelle nous nous trouvions, il était vital pour nous de donner à entendre les voix des romanciers, « ces historiens de l’imaginaire », qui disent la parole tue, explorent l’âme humaine dans toute sa nudité.

Pour porter loin cet engagement, nous avions des défis à relever. Celui de faire circuler les textes du Sud vers le Nord afin d’inverser la dynamique dans laquelle nous étions cantonnés. Abordant ce chemin ardu, nous avons fait le choix de l’exigence : sélection minutieuse de textes littéraires, attention particulière à la finition de l’objet livre (papier, couverture).

Très vite, un diffuseur-distributeur en France nous a accompagnés dans cette aventure, nous permettant ainsi cette traversée des textes. Aujourd’hui les rives se sont jointes, qui est d’ailleurs, qui est d’ici ?

Les frontières sont désormais effacées. Si nous publions essentiellement en langue française, la langue arabe nourrit sans cesse notre réflexion. Car il s’agit pour nous d’offrir à lire des écritures plurielles, dont nous nous faisons les passeurs. Plusieurs de nos auteurs ont reçu des prix littéraires en Tunisie, en France, en Inde.

En décembre 2011, le prix Alioune Diop de l’édition africaine nous a été décerné. Ces récompenses sont un moteur pour poursuivre l’aventure et maintenir notre engagement : découvrir l’autre dans sa singularité, dans son universalité, combattre les préjugés, faire entendre les battements du cœur du Monde. Avec toujours la même exigence, des textes garants d’une pensée libre...

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Le Tripode

Maison d'édition à compte d'éditeur

Le Tripode est une maison d'édition de littératures au service d'auteurs dont elle admire la seule liberté possible : privilégier la sensibilité aux doctrines, le cheminement de l’imaginaire à l'immédiateté du discours.

Le lyrisme de Jacques Abeille, l'exigence de Robert Alexis, l’irrévérence d’Edgar Hilsenrath, l’iconoclasme d’Andrus Kivirähk, l'espièglerie de Jacques Roubaud, la virtuosité de Juan José Saer, le désir sans limite de Goliarda Sapienza, la rigueur de Jonathan Wable, la lucidité de Louis Wolfson ou encore la fantaisie de Fabienne Yvert?... voici quelques-uns des regards rassemblés ici qui, de façon salutaire, nous sortent de la marche ordinaire du monde.

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Le lamantin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2008
40 livres au catalogue dont 5 publiés par an

Le lamantin n’est pas un animal que l’on qualifie de « beau » au premier abord. Il ne répond pas aux critères esthétiques habituels, avec sa taille énorme et ses déplacements lents. Le lamantin a d’autres vertus. C’est un animal pacifique. Ses journées se déroulent tranquillement dans les eaux chaudes des Antilles ou de la Floride, où il broute l’herbe du fond des mers.

Les éditions du Lamantin sont fières de porter le nom de cet animal sympathique et sociable dont nous nous sentons proches.

Depuis notre naissance en janvier 2008, Les éditions du lamantin ont deux activités parallèles :

- une maison d’édition « classique » , qui publie les romans qui lui plaisent et qui portent “nos”  valeurs. Pour en savoir plus, plongez dans les eaux douces de ce site vers la page des "choix éditoriaux du Lamantin". Nous publions entre trois et cinq livres par an, romans policiers, romans pour ados… Notre catalogue dépasse les 40 titres. Et il ne cesse de grandir !

- un travail auprès des écrivains en herbe Cela passe par l’animation régulière d’ateliers d’écriture. Nous intervenons tous les ans dans des écoles et collèges pour animer des ateliers. Notre crédo : écrire ne doit pas être un devoir scolaire, mais aussi une porte ouverte vers l’imaginaire, accessible à tous.

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Poétisthme

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2020
4 publiés par an

Les Éditions POÉTISTHME proposent des écrits transversaux que l’on ne peut apprécier sans faire un pas de côté – des vies latérales qui se sont refusées au littéral. Nous assumons une littérature qui se dérobe au couperet de la verticalité et à la sécheresse de l’orthodoxie. Nous revendiquons une littérature horizontale, transnationale – une littérature qui est le carrefour où se rencontrent les langages pour donner forme et visibilité au dialogue entre des voix différentes. Nous prenons donc le parti de faire face aux tensions dans le rapport à la langue pour questionner la dimension linguistique de la condition humaine – car la Parole, qu’on la méprise, la manipule ou la révère, est le point nodal de notre existence commune.

 


LE PARTI-PRIS DE LA POÉSIE


Si nous mettons en partage des écrits – des fragments –  des fulgurances à caractère poétique, c’est parce que nous croyons qu’ils sont le lieu-dit où se manifeste le plus clairement que la langue – la culture – l’identité, ne sont pas une totalité close ou un tout figé, mais bien le fruit d’un engagement, d’un geste performatif allant de Soi vers l’Autre. La poésie se confronte aux certitudes – démantèle le cadre identitaire – met en branle l’autorité illusoire, notamment celle des frontières en le Je et le Nous : deux sujets qui s’interrogent mutuellement dans le poème.

Pour Nous, éditer de la poésie, c’est revendiquer une manière de prêter attention au langage en décalage avec les usages. Non pas pour sombrer dans le particularisme ou dans un discours intellectuel nombriliste, mais pour tenter de recréer du commun sans méconnaître les identités ou, dit autrement, de permettre aux identités de s’inscrire dans le langage commun. Ce mouvement est à nos yeux celui du langage poétique.


NOS COLLECTIONS


FEU DE BRANDES : voix-brûlots – compositions au bord du poétique – paroles houleuses & émotions cahot-iques – textes qui se tissent sur la brèche – mailles obliques – scories & mété-or-es – secousses s-isthm-iques où confluent nos passions atomiques.
« Les abrutis ne voient le beau que dans les belles choses », Arthur Cravan, Maintenant (1912).


CONFLUENCES : voix enlacées non corsetées – mots choraux dont l’arborescence donne naissance à des mots-coraux – récifs où l’on s’échoue & se retrouve – paroles qui se répondent dans le désert des siècles – par-delà l’écart incommensurable une langue de terre qui joint lettre à l’être.
« Les évènements m’ennuient. Les évènements sont l’écume des choses. C’est la mer qui m’intéresse. C’est dans la mer que l’on pêche ; c’est sur elle que l’on navigue ; c’est en elle que l’on plonge… », Paul Valéry.

 

CIRCUMNAVIGATION : « L’errance est vocation », disait Glissant. Pour nous, elle sera raison : raison d’éditer, de chercher dans l’ailleurs – d’un îlot, d’une nation – des voix qui ouvrent des voies pour penser l’écart entre le proche et le loin – cet entre-deux que nous nommons isthme. À travers l’errance, nous voulons quitter l’exil intérieur auquel nous condamnent les racines langagières : nous voilà partis à la quête d’un verbe qui n’existe qu’autre part...

 

 

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Corridor Bleu (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1997

Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.

La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.

Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien.  Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.

Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.

Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.

Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.

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