Annuaire d' éditeur / Aluna éditions
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Aluna éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2013

Le nom Aluna est « reçu » du vocabulaire kogi.
C’est dans Aluna, monde de l’esprit, que se trouveraient les principes de vie et les potentiels, dont les formes physiques seraient de simples reflets.
Aluna est à la fois souffle de vie, mémoire, potentiels et intention.
Les Kogis se disent les « grands frères » et veillent sur l’équilibre du monde.

Née d’une rencontre entre amis, Aluna Éditions souhaite développer plusieurs collections.
Les ouvrages édités seront ouverts à la spiritualité, plus spécialement la non-dualité, aux traditions et arts d’Orient et d’Occident.
Ces textes accompagnent le lecteur dans son questionnement et son cheminement vers la connaissance de soi, des autres, et du monde qui nous entoure.

Contact

Adresse

15 rue de la côte des Bènes, 31600 MURET
France

Maisons d'éditions similaires :

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Chariot d'or

Maison d'édition à compte d'éditeur
100 livres au catalogue dont 10 publiés par an
Les éditions Chariot d’Or sont principalement spécialisées en spiritualité et médecine orientale, Tao et techniques de bien-être. Ses ouvrages sur le Qi Gong font référence dans le domaine, avec notamment les 5 tomes du Traité de Qi Gong médical du Pr Jerry Alan Johnson. La maison propose un catalogue de plus de 100 titres dont une dizaine de nouveautés par an.
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Loubatières (Éditions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1978
Maison d'édition indépendante, spécialisée en histoire et patrimoine.
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Mercure de France

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1894
5000 livres au catalogue dont 50 publiés par an
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Almora

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2005
Almora est une maison d’édition (créée en 2005) et une librairie (2015) dédiées au mieux-être et à la spiritualité.
 
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Stock

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1708
1050 livres au catalogue dont 85 publiés par an
Depuis sa création en 1708, Stock s'est imposé sur le marché littéraire français. La Collection "Bleue" est réputée pour ses romans de qualité valorisant aussi bien des auteurs de renom, tels que Philippe Claudel ou Nina Bouraoui, que de nouveaux talents. Ces dernières années, Stock a cherché à développer la publication d'ouvrages de non-fiction à travers différentes collections : "Un Ordre d'idées" est consacré à l'histoire, la sociologie et l'ethnologie, "Essais" perpétue une longue tradition de philosophes  et "L'Autre pensée" publie des penseurs  singuliers. "La Cosmopolite", qui compte un grand nombre de Prix Nobel, est depuis le début du 20
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Xavier Barral

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2002
150 livres au catalogue dont 14 publiés par an
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A Vue d'Oeil

Maison d'édition à compte d'éditeur
200 livres au catalogue dont 70 publiés par an
À vue d’œil est une maison d’édition comme les autres. Comme nos consœurs dites « Tous publics », nous aimons les livres passionnément. Et nous aimons faire partager ce goût de la littérature par des choix éditoriaux qui nous ressemblent, que nous souhaitons éclectiques, et en prise avec l’actualité littéraire. Une maison d’édition comme les autres, donc, avec juste une petite particularité : nous proposons des livres en gros caractères. Et qu’est-ce qu’un livre en gros caractères ? C’est un livre dont l’ergonomie facilite grandement la lecture, par la taille agrandie des caractères utilisés, une mise en pages très lisible, un papier antireflet, une couverture illustrée en couleurs… Une somme de détails très précis et étudiés, permettant à tous ceux et celles, nombreux et de tous âges, qui souffrent de déficits visuels variés, de renouer avec le plaisir de lire dont ils étaient trop souvent exclus. En somme, des livres simplement pensés et adaptés pour répondre à des besoins spécifiques. C’est tout.
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Caraibeditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2008
Caraïbéditions a souhaité créer un espace d’expression créole et plus largement « domien ». Elle publie des ouvrages qui ont tous un lien direct ou indirect avec les Antilles-Guyane et La Réunion, que ce soit grâce à la langue (les créoles), grâce aux auteurs (originaire ou vivant dans les DOM) ou grâce aux histoires qui se déroulent dans les DOM. Elle a été la première maison d’édition à publier, dès 2008, des ouvrages célèbres en créole antillais, guyanais et réunionnais. C’est ainsi que figurent à son catalogue des romans, des contes et des BD en créole aussi célèbres que « L’étranger » d’Albert Camus, « Le Petit Prince » d’Antoine de Saint-Exupéry ou "Astérix" d’Uderzo et Goscinny sans oublier des ouvrages tels que « Trajédi Rwa Kristof » d’Aimé Césaire. Avec la publication de ces ouvrages en créole, Caraïbéditions a souhaité créer et publier ses propres séries en français. C’est ainsi que sont nées diverses séries manga, BD et albums jeunesse. La série BD "Mémoire de l’esclavage" de Serge Diantantu est une des rares séries BD parrainée par l’UNESCO. Caraïbéditions possède également une collection de polars et de romans dans lesquelles sont publiées des auteurs connus et reconnus tels que Raphaël Confiant, Ernest Pépin ou Lyonel Trouillot... Le polar "Le gang des Antillais" de Loïc Léry a été porté à l’écran fin 2016. Une collection érotique figure également au catalogue de Caraïbéditions. Une collection essais et ouvrages universitaire figure également au catalogue de Caraïbéditions avec notamment plusieurs ouvrages de santé et bien-être qui connaissent un joli succès tels que "Psychologie des sociétés créoles" ou "Les violences dans les sociétés créoles" d’Errol Nuissier.
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Fleurus

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1946
4500 livres au catalogue dont 700 publiés par an
Leader sur le marché des livres illustrés, Fleurus Éditions publie aussi bien des albums, des livres d'activités, des documentaires et des livres religieux que de la fiction jeunesse. Fleurus a également développé un catalogue adulte avec des livres de loisirs créatifs, cuisine, décoration, jeux, jardinage, nature, animaux et livres religieux. Plus de 1 000 titres sont désormais disponibles en version e-book. Fleurus Éditions et Fleurus Mame sont composés des marques Fleurus, Mango, Rustica et Mame.
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