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Le Texte Vivant

Maison d'édition à compte d'éditeur
LE TEXTE VIVANT est une maison d’édition indépendante. Nos éditions font le plus souvent l'objet d'une campagne de financement participatif, sur Ulule, qui nous permet de constituer des communautés de lecteurs autour de nos ouvrages et leurs auteurs, de développer des projet éditoriaux ambitieux autour du livre numérique enrichi. Nous avons édité depuis 2013 des livres sur la musique (Alan Véga, conversation avec un indien ; Des voix dans le corridor ; Downtown Manhattan 78-82), des livres de cuisine (Pump up the cook ; Cuisiner le monde), des livres d'humour (Délicieusement désinvolte ; Ça va être ta fête), des livres insolites (Paris Horribilis ; Qui a peur des chats noirs ?), des livres fantastiques et de science-fiction (Les aventures fantastiques du Prince Jérémie ; Marilyn et l'ange turfiste).

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0184166252

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43, rue des artistes, 75014 Paris
France

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Maisons d'éditions similaires :

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Corridor Bleu (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1997

Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.

La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.

Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien.  Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.

Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.

Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.

Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.

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Alter Real

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2017
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Lansman

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1989
Créées en 1989, les éditions Lansman se consacrent aux arts de la scène avec trois objectifs : participer à la promotion de l'écriture dramatique contemporaine, assurer la circulation des textes dans le monde francophone et promouvoir le plaisir de lire le théâtre dans et hors cadre scolaire. Parmi plus de mille ouvrages au catalogue, on note un nombre significatif de pièces à lire et à jouer par et pour les jeunes (enfants et adolescents). Ces textes sont regroupés dans plusieurs collections spécifiques en partenariat avec divers organismes publics et privés, belges et français.Depuis 2012, la maison d'édition est intégrée dans les activités de l'association Emile&Cie qui développe de nombreux projets pour compte de tiers.
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Tarabuste

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1986

Nul regret ne les taraude, eux, les compagnons de Tarabuste. Nul remords ne les traverse, ne les dévore. Ne se tracassent pas. Jamais. Jamais ou presque. Ne sont pas facilement troublés, bouleversés. Pertubateurs plus que perturbés, les compagnons.

Haïssent la tristesse. En la tristesse, écrit Descartes, dans "Les Passions de l'âme" (1649), "le pouls est faible et lent ; (...) on sent des liens autour du coeur, qui le serrent, et des glaçons qui le gèlent et communiquent leur froideur au reste du corps". Ne se sentent pas oppressés, pas ligotés, les Compagnons de Tarabuste. N'ont pas de glace dans le coeur, mais une flamme, tantôt timide, tantôt intense. Sont du côté de l'allégresse, les Compagnons. leur pouls est rapide.

Traboulent, les Compagnons de Tarabuste. Se faufilent dans les labyrinthes. Nomades. Ils errent. Traversent l'univers en des détours permanents. Rarement immobiles. Ne s'arrêtent un instant que pour s'offrir le plaisir de repartir brusquement, de commencer à nouveau un vagabondage que son interruption momentanée transfigure.

Traitent les obstacles, les limites, avec désinvolture. Avec impatience, se révèlent passe-muraille, sans toujours s'en rendre compte.

Sur leurs petits chevaux tatars, les Compagnons de Tarabuste parcourent en tous sens la toundra. Et leurs courses hasardeuses dessinent sur la terre, d'une écriture invisible, la forme des constellations.

Leurs rites sont hommages aux vents et aux tempêtes. Ils sacrifient des singes au simoun, des cygnes au sirocco, des ânes à la tramontane. En l'honneur du mistral, ils fracassent des miroirs. Ils sifflent pour appeler et apprivoiser les cyclones. Ils offrent aux ouragans des ourses noires. Ils dressent des autels dans les déserts et dans les clairières des forêts obscures.

Les Compagnons de Tarabuste sont barons du Tirliberly, ducs du Tohu-Bohu, comtes du Travestissement, princes de la Traverse. Tantôt ils désirent le silence ; plus souvent ils jouissent du Tintamarre.

Ils entrent en transe entre deux tranchées. Truculents, ils tentent de truander le destin, en trichant aux tarots. Ils tracent des trapèzes sur le sable que bleuit le crépuscule. Trapus, ils traquent les troupeaux de taureaux sauvages et les autruches dorées.

Gilbert Lascault

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Editions Interlude

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2006
Nous publions des textes suscitant la réflexion autour de l'être humain et/ou de la société, de façon éclectique, à travers des faits réels ou des romans de fiction.
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Amourier (L')

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1995

Contrairement à ce qui saute aux yeux, le nom de l’Amourier ne doit rien à Cupidon. C’est tout simplement le nom du quartier où se situe la maison d’édition; ce lieu était jadis complanté de mûriers – amourier en occitan – arbres dont les feuilles sont utilisées pour l’élevage des vers à soie. On est ici dans la patience et l’obstination, dans le tissage, le textile; dans l’avènement des textes en somme.

Notre maison ne publie pas ce qu’on appelle des « nouveautés »; sa taille ne lui confère pas la visibilité indispensable à ce genre d’exercice. En revanche, depuis plus de 25 ans nous nous appliquons, titre après titre, à bâtir un catalogue où, à travers romans, poésie, nouvelles et formes narratives courtes, nous essayons de privilégier la diversité. Celle-ci découle naturellement des contributions apportées par chacune des personnes qui constituent notre comité de lecture.

Aux carrefours de nos mondes, plus encore depuis ces dernières années, s’ouvrent des voies funestes propres à compromettre la vie. La vie sur terre et celle de chacun dans son intégrité, dans sa dignité. Depuis 2015, année de nos 20 ans, nous avons ouvert une collection  « Bio », certes elle contient un choix de biographies; grandes figures qui par l’exemple de leur détermination, de leurs luttes concourent à l’expression de la vie, mais aussi l’exploration par les textes de mouvements, de pensées, de perspectives nous permettant d’envisager de nouvelles ressources pour alimenter nos devenirs.

Nous voudrions avec ce nouveau site intensifier les échanges au moyen d’informations, de chroniques, d’entretiens, de relations d’événements en rapport avec nos réseaux et publications.

Au-delà de ces quelques mots destinés à vous ouvrir les portes de la maison, nous vous laissons découvrir ce site et le catalogue des éditions…

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Cent mille milliards

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2013
20 livres au catalogue dont

Éditeur indépendant créé en 2013, Cent Mille Milliards publie une dizaine de titres par an dans tous les domaines : roman, nouvelle, essai, voyage, cuisine, religion, entreprise, politique… 

Tout est dans le nom : Cent mille milliards de poèmes publiés en une seule fois donnent une idée du potentiel de l’écriture comme de l’audace de l’édition. Avec Cent Mille Milliards, l’indépendance n’a pas de prix, et la créativité est illimitée…

Notre ambition est aussi d’augmenter l’influence du livre grâce aux nouvelles technologies : dans les relations avec les auteurs (qui trouvent enfin le public qu’ils cherchent), avec les lecteurs (qui accèdent à autre chose qu’à des têtes de gondoles) et avec les libraires (qui croulent déjà sous les cartons), dans l’impression à la demande (il n’y a plus de pilon), dans la gestion (vite imprimé, vite livré), dans les formes de paiement, dans la diffusion d’un contenu sur plusieurs médias, etc.

 

Le monde change radicalement, il est urgent de s’engager pour améliorer la vie et y apporter du rêve.

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Klincksieck

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1842
900 livres au catalogue dont 30 publiés par an
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Hugo et Compagnie

Maison d'édition à compte d'éditeur
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Mainard (Pierre)

Maison d'édition à compte d'éditeur

Pierre Mainard, éditeur... une aventure charpentée par l’urgent désir de faire émerger une littérature exigeante et en recherche, saluée de petits succès que d’autres qualifient de grands... Une communauté d’auteurs et un éditeur donnent naissance à des livres dans lesquels s’expriment des voix différentes – auxquelles l’éditeur témoigne sa fidélité sans pour autant s’y enchaîner – sous des formes différentes : nouvelles, récits, aphorismes, poèmes, journaux..., qui représentent pour chacun de nous une possible rencontre propre à faire vivre notre imaginaire et par là même notre liberté.


La littérature nous fait ce don et bien d’autres encore... C’est pour cela qu’à tout instant notre pensée va vers tous ceux qui ont écrit, écrivent et écriront.

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