Annuaire d' éditeur / Yellow Now
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Yellow Now

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1972
À l’origine de Yellow Now, il y a Yellow, une galerie d’art installée fin 1969 au 46 en Roture, à Liège, à l’initiative de Guy Jungblut. La première exposition est consacrée à Jacques Lizène, petit maître liégeois de la deuxième moitié du XXe siècle et parangon, à son corps fendant, de l’art médiocre. C’était un assez bon début.
La galerie entendait promouvoir des artistes qui s’écartaient des supports traditionnels et exploraient la photographie, le livre, le cinéma, la vidéo (qui n’était encore que balbutiante). Elle exposera Ben, Nyst, Annette Messager, les Leisgen, Gerz, les Poirier, Gette, Charlier… En 1971, elle organise la première manifestation d’art vidéo en Belgique : Propositions d’artistes pour un circuit fermé de télévision.
 
En 1973, un premier « livre d’artiste » : Annette Messager, Mes clichés-témoins, se trouve à l’origine des éditions Yellow Now. Deux ans plus tard, dans l’indifférence, la galerie met la clé sous le pavé et Guy Jungblut entreprend de se consacrer essentiellement à l’édition : Bay, Gerz, Gette, Le Gac, Poirier, Nyst, Ransonnet, Lennep, Fernie – bref, quinze années d’édition de livres d’artistes.
 
À partir de 1988, sous l’impulsion de Patrick Leboutte, les éditions s’orientent vers le cinéma, avec d’abord la collection Long Métrage (dix-neuf titres : des Vacances de M. Hulot de Tati au Traité de bave et d’éternité d’Isidore Isou), que suivra dès 1990 une étroite collaboration avec la Cinémathèque française (notamment pour l’édition des dix-huit premiers numéros de la revue Cinémathèque, avec Dominique Païni). D’autres collections s’attachent à des réalisateurs peu diffusés, plus difficiles ou plus rares (Banlieues, dirigée par Charles Tatum, Jr : Freda, Trauberg, le Serial américain…) ou à des essais incisifs (De parti pris : Cinégénie de la bicyclette, Eloge de la pornographie, ou plus osé encore : Pour le cinéma moderne). Des collaborations s’ébauchent encore avec différents festivals de cinéma (Locarno, Dunkerque : une belle diagonale pour une course que l’on aurait encore osé appeler, à l’époque, cycliste !). Dans cette veine – et probablement parce que le titre contient la racine cyclo – plusieurs encyclopédies seront coproduites : Une encyclopédie des cinémas de Belgique (avec le musée d’Art moderne de la Ville de Paris), Une encyclopédie du nu au cinéma (avec Le Studio 43 de Dunkerque, la Coursive de La Rochelle, Le Volcan du Havre…) et la plus récente, parue en 2004 : Une encyclopédie du court métrage français (avec le Festival Côté court de Pantin).
 
Au milieu des années 90 : après une brève période de molle turbulence (due partiellement à une énième faillite de distributeur – il y en aura une dizaine en tout) et de ralentissement des parutions (période propice à la réflexion et à la redéfinition des collections), le vélo ivre reprend son rythme de croisière. Yellow Now dessine depuis 2000, avec la collaboration d’Emmanuel d’Autreppe, une géométrie du hasard la plus irrégulière possible, une roue pentagonale faite de cinq collections, cinq côtés, plus ou moins proportionnels aux carrés de l’hypoténuse de l’âge de leurs capitaines : Côté cinéma, Côté films, Côté photo, Côté arts : quatre lignes de force (la cinquième est au fond de l’escalier). Le « côté cinéma » s’ouvre à la diversité des genres : recueils de textes critiques (Philippe Arnaud, Alain Philipon, André S. Labarthe, Noël Godin…), écrits de cinéastes (Marcel Hanoun, Glauber Rocha), monographies (sur Storck, sur Monteiro, sur Ulmer), essais singuliers (le Palimpseste noir de Dick Tomasovic, sur le cinéma américain contemporain). Avec l’aide de Fabrice Revault d’Allonnes et de Marcos Uzal, le « côté films » reprend, prolonge et rafraîchit le concept de l’ancienne collection Long Métrage (Monika de Bergman, Vaudou de Ulmer, The Reflecting Pool de Viola, Sayat Nova de Paradjanov, Mulholland Drive de Lynch…). Enfin, les collections s’ouvrent, on l’a dit, bien plus largement qu’auparavant à la photographie (Pierart, Plossu, Claass, un essai de Clément Chéroux sur la photographie ratée, pas mal de « premiers livres » de photographes) et aux autres arts, plastiques ou moins plastiques. Le côté « côté » indique bien sûr des contours flous et des débordements possibles, voire souhaités. Quand ça déborde vraiment trop, une collection hors collection (la cinquième fesse du dé : « à côté ») est là pour recueillir les épanchements encombrants mais dont on ne voudrait pas se priver : livres d’artiste comme au bon vieux temps, catalogues d’exposition, collaborations honteusement opportunistes, fonds de tiroir à pépites multiples, accès de fièvre monomaniaques, incontinences et logorrhées.
Aux dernières nouvelles, il semble ressortir, de discussions régulières entre quatre zyeux et même davantage lorsque les circonstances s’y prêtent, que Yellow Now entend bien continuer, et que personne jusque-là n’ait été contrôlé positif dans l’équipe. Touchons de la pierre – dont on fait les menhirs – , et du bois – dont on fait les pipes.
 
Emmanuel d’Autreppe

Contact

Adresse

15, rue François Gilon, 4367 Crisnée
Belgique

Partenaires

Maisons d'éditions similaires :

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Zellige Editions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2001
40 livres au catalogue dont 8 publiés par an
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Hazan

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1946
485 livres au catalogue dont 50 publiés par an
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Silvana Editoriale

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1948

C’est en 1948 que Amilcare Pizzi a fondé Silvana Editoriale (ainsi appelée en souvenir de sa fille Silvana, prématurément disparue en 1944) et a ensuite développé avec rigueur et passion les activités de la maison d’édition en publiant des ouvrages de très grande qualité.

Mentionnons les « Cartelle Silvana » (comme Masaccio, Beato Angelico, Piero della Francesca, Michel-Ange, Léonard et Raphaël), qui ont vu le jour à l’occasion du premier congrès de l’UNESCO, organisé à Beyrouth en 1949, et la « Collezione UNESCO dell’arte mondiale », créée en 1954, également pour cette institution. À ces deux premières collections se sont ajoutées « Mito del colore », « Monografie », « Pochoir » et « Arte Moderna », dans laquelle a été publiée la première édition italienne en trois volumes des lettres de Vincent Van Gogh.

Parmi les monographies, signalons en particulier le livre consacré aux fresques de Mantegna dans la chapelle Ovetari de l’église des Érémitiques de Padoue, le seul document existant réalisé par les techniciens de la société Amilcare Pizzi spa en mars 1944, quelques jours avant que la chapelle ne soit détruite par les bombardements ; le livre de Mina Gregori sur Giacomo Ceruti (1982) ; la monographie de Carlo Bertelli sur Piero della Francesca (1991) ; Gesta dipinte. La grande decorazione nelle dimore italiane dal Quattrocento al Seicento de Julian Kliemann (1993, lauréat du deuxième prix Amilcare Pizzi).

La maison d’édition s’est employée pendant des décennies à valoriser le dessin italien, en créant une collection inaugurée avec I grandi disegni italiani dell’Albertina di Vienna (1972) de Walter Koschatzky, Konrad Oberhuber et Eckhart Knab, auquel s’ajouteront plus tard Raffaello. Il Cartone per la Scuola di Atene (1972) de Konrad Oberhuber et Lamberto Vitali, et I disegni del Codice Resta (1979) de Giulio Bora. Cette collection prendra fin avec le volume annuel édité en 2005.

En ce qui concerne les coéditions dans le domaine de la photographie et de l’art contemporain, nous tenons à signaler les albums photographiques de William Klein Mosca et Tokyo (1964) et, parmi les ouvrages monographiques, la première monographie sur Francis Bacon (1966), l’œuvre complet de Marino Marini (1971, avec 50 exemplaires de luxe numérotés en coffret avec eau-forte) et le livre sur Calder, issu de la collaboration de H. Harvard Arnason et Ugo Mulas (1971).

Parmi les nombreux catalogues d’exposition, mentionnons en particulier ceux de Franco Russoli sur Picasso (1953), de Charles Terrasse sur Pierre Bonnard (1955), de Renata Cipriani et Giovanni Testori sur les Pittori della realtà in Lombardia (1953), de Roberto Longhi sur l’Arte lombarda dai Visconti agli Sforza (1958), de Massimo Pallottino sur la Mostra dell’arte e della civiltà etrusca (1955), de Mario Bussagli sur l’Influsso classico ed iranico sull’arte dell’Asia Centrale (1956), sans oublier l’ensemble du corpus des catalogues des expositions (11) à l’occasion des manifestations pour le cinq-centième anniversaire de la mort de Laurent de Médicis (1992).

Dans le domaine de l’art contemporain, rappelons la collaboration avec le PAC – Pavillon d’Art Contemporain de Milan, qui a donné lieu à la publication des catalogues sur Luciano Fabro de Germano Celant (1980), sur Lella et Massimo Vignelli (1980) et Lluís Domènech i Montaner (1980), sur les Origini dell’Astrattismo (1979), Alik Cavaliere. I luoghi circostanti (1992) de Guido Ballo, et Afro. Dipinti 1931-1975 (1992) de Luciano Caramel, tous les trois pour le Palais Royal de Milan, ainsi que le catalogue sur Aliventi, Arp et Viani pour le Forte di Belvedere à Florence (1992), sous la direction d’Enrico Crispolti.

Dans le secteur du graphisme et du design, signalons la collection « Progetto Immagine » (1976), distribuée avec la marque Amilcare Pizzi Editore et forte de quatre titres : Lo Studio Boggeri 1933-1973 ; Carla Cerati. Mondo Cocktail ; Alberto Rosselli, lo spazio aperto ; Roberto Sambonet, il disegno come doppio, ainsi que la collection « Arte e Pubblicità » (1959), inaugurée par les trois volumes consacrés à l’activité d’Erberto Carboni, avec les préfaces, respectivement, de Herbert Bayer, Gio Ponti et Gillo Dorfles, auxquels s’ajouteront La Grecia in sogno, avec une préface de Jean Cocteau, où le graphisme, l’impression, la photographie et les textes composent un unique portrait recréant une atmosphère délicate empreinte d’un charme subtil. Erberto Carboni réalisera la couverture du catalogue général de la maison d’édition de 1962-1963, suivi par Paolo Lionni avec la photographie d’Ugo Mulas (1963) et par Marco del Corno, qui sera ensuite le directeur artistique de Silvana Editoriale pendant plusieurs années.

À partir du milieu des années 1990, la maison d’édition a redéfini sa stratégie éditoriale et s’est engagée dans un parcours de croissance et de développement sur les marchés national et international, principalement dans les secteurs de l’art, du design, de l’architecture et de la photographie. Toute cette activité est documentée dans le catalogue disponible sur le site internet.

Aujourd’hui, Silvana Editoriale publie plus de 400 titres par an, en collaboration avec des fondations, des instituts de recherche, des universités et des musées présents principalement en Europe, aux États-Unis et au Moyen-Orient.

Dans le domaine de l’art antique, à côté de monographies et de catalogues d’exposition, nous tenons à mentionner les collections « Studi della Biblioteca Hertziana » (depuis 2006), « Biblioteca d’Arte » (depuis 2002), une collection plurilingue réunissant des essais, des recherches et des actes de congrès nationaux et internationaux, et forte aujourd’hui de plus de 60 titres, et la revue Arte Medievale (depuis 2002).

Dans le domaine de l’art moderne et contemporain, nous désirons signaler, à côté des monographies, la collection « Biblioteca d’Arte Contemporanea » (depuis 2001), qui compte aujourd’hui plus de 30 titres, la collection « Fil rouge », qui raconte les histoires des collectionneurs et de leurs collections, ainsi que la collection des catalogues généraux et raisonnés d’artistes italiens et étrangers, dont ceux sur Francesco Paolo Michetti (2018) et Achille Perilli (2019), les derniers parus.

Dans le domaine de l’architecture, rappelons la collection de l’université d’Architecture de Mendrisio (depuis 2010), en coédition avec Mendrisio Academy Press, et la nouvelle collection « Biblioteca d’Architettura », qui regroupera des essais, des monographies, des recherches et des actes de congrès nationaux et internationaux.

Dans le secteur du design, notre maison d’édition se distingue par son engagement en faveur de la valorisation du design italien du XXe siècle, avec la publication, en particulier, de catalogues généraux en collaboration avec des archives privées et avec les archives universitaires de l’IUAV de Venise et du CSAC de Parme.

Dans le domaine de la photographie, Silvana Editoriale a renforcé sa collaboration avec Camera – Centro Italiano per la Fotografia de Turin (depuis 2015), avec le Festival Fotografia Europea de Reggio Emilia (depuis 2014) et avec l’Institut du Monde Arabe de Paris, pour la Biennale de Photographie Arabe Contemporaine (depuis 2017), qui vient s’ajouter à une importante production annuelle d’ouvrages monographiques.

Dans le secteur du graphisme publicitaire, Silvana Editoriale poursuit son travail d’approfondissement et de valorisation grâce à la collection « Manifesti/Posters » (depuis 2009) et « Grafica e Pubblicità » (depuis 2016), en poursuivant la tradition inaugurée par Amilcare Pizzi en 1959.

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Cercle d'Art

Maison d'édition à compte d'éditeur

Pablo Picasso lui-même joua avec les Éditions Cercle d’Art le rôle de la bonne fée se penchant sur le berceau du nouveau-né en 1949. Ayant encouragé son ami Charles Feld, imprimeur durant la Résistance, à créer son entreprise, il resta son compagnon de route jusqu’à sa disparition. En effet, bien avant Andy Warhol, Picasso fut sans doute le premier artiste au monde à avoir compris l’intérêt de diffuser son œuvre sur tous les supports existants. À travers Feld et le Cercle d’Art, il entrevoyait le très large public auquel il allait pouvoir faire connaître son œuvre par le procédé nouveau de l’imprimerie offset.

Grâce à la notoriété de Picasso et à son aura artistique et intellectuelle tant en France que dans le monde entier, les Éditions Cercle d’Art ont construit progressivement un très riche catalogue de livres de fond sur l’art international, ancien, moderne, aussi bien que contemporain. Plus d’un demi-siècle après sa fondation, sa mission est demeurée la même : promouvoir la création et les artistes par le livre.

Pluridisciplinaire, la ligne éditoriale délaisse querelles de chapelles, d’époques, de courants pour transposer l’époque dans les plus beaux livres, les mieux réalisés, les plus soignés qui soient. Cercle d’Art veut agir en interprète des créateurs et de leurs thématiques personnelles, de leurs univers et de leurs émotions.

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Grandes personnes (Editions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2009
144 livres au catalogue dont 22 publiés par an
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Magnani Editions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2011
22 livres au catalogue dont 4 publiés par an
Consacrées au livre illustré, les éditions Magnani attendent d’un auteur qu’il soit moderne, que son œuvre permette de prendre conscience d’une autre possibilité du réel, une possibilité nouvelle de voir, de penser, de se construire et d’exister. L’objet livre incarne tout le savoir-faire de la maison mais aussi toute sa conviction sur le métier d’éditeur. L’éditeur n’est pas seulement un pourvoyeur d’auteurs, un révélateur ou une sage-femme, mais un constructeur de livres et un metteur en pages. À l’heure de la dématérialisation des contenus, la croyance de la maison est que l’enfant, pour son développement, a besoin d’œuvres conçues sous forme de véritables livres, de leurs images immobiles, de leur silence, de leur unité, nécessaires pour enrichir son imagination, sa faculté à donner vie aux images, à les interpréter. Il ne doit pas y avoir un monopole de la culture par l’écran, le son et le mouvement. Les éditions Magnani considèrent le livre comme l’essence même du travail de l’éditeur, par la pérennité qu’il offre à l’œuvre de ses auteurs et sa potentielle éternité pour le lecteur. Objet qui se partage et se transmet entre les générations. Les éditions Magnani veulent offrir aux lecteurs une enfance qui n’est pas prête de s’effacer.
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Riveneuve

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2001
40 publiés par an

Riveneuve : la maison d’édition indépendante qui raconte le monde aux Français et les Français au monde

Nées en 2001 au bord de la Méditerranée, quai Rive-Neuve dans le vieux port de Marseille, les éditions Riveneuve publient d’abord une revue littéraire : Riveneuve Continents, revue des littératures de langue française. Mais, déjà, le parti pris est celui de l’ailleurs, des nouvelles rives, des nouvelles frontières. Montées à Paris en 2007, elles deviennent généralistes en sciences humaines et en littérature largement ouvertes sur le monde.

En 2016 la maison déménage dans un espace plus grand – une ancienne boutique d’opticien dont elle conserve l’enseigne lumineuse, au 85 rue de Gergovie dans le 14e arrondissement. C’est l’occasion d’un nouveau souffle et d’un nouveau concept : Riveneuve ne fait pas seulement près d’une cinquantaine de livres par an diffusés et distribués par Interforum, elle tisse du lien social autour des livres, elle « fait société ». Expositions, conférences, débats, lectures-musicales, concerts, ateliers d’écriture ou de calligraphie, marché de Noël, etc., Riveneuve est aussi un petit centre culturel en plein 14e !
 

À l’échelle d’une petite maison d’édition indépendante, il s’agit de penser global et d’agir local. En pleine conscience qu’une part conséquente de la littérature de langue française – c’est-à-dire du monde multiforme de la francophonie ou en traduction – et des sciences humaines est générée par l’exil et le voyage, Riveneuve entend contribuer aux débats qui animent la société française au travers de destins engagés en Europe, en Afrique, en Asie ou aux Amériques. Riveneuve est à l’écoute de la part étrangère qu’il y a dans chaque Français comme de la part française qui existe dans chaque auteur étranger qu’elle publie. Il s’agit de raconter le monde aux Français et les Français au monde.

Plutôt qu’une ligne éditoriale, il s’agit d’un environnement culturel auquel participe le nouveau concept (Riveneuve Concept-Store), le nouveau logo, la bande son de Riveneuve (texte et musique d’HK), le nouvel espace (« la boutique »), les nouvelles collections, le nouveau site web, la nouvelle équipe.

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Dokument Press

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1992
Dokument Press is both a publisher and a knowledge providing company with its roots in the Swedish hip hop movement. The company started in 2000 sprung out of the graffiti magazine UP that was founded in 1992. Today, we cover a broad range of cultural expressions.
Our publishing includes book titles that both reaches large audiences and affects social discourse.
We give lectures and workshops both in Sweden and abroad, mainly on street culture, creativity, civic participation and the right to public space.
We also act as producers. We set up exhibitions, put together books and catalogs, do mural painting as well as research and investigation, risk analysis and media management at cultural production.
In total this makes us a dynamic and innovative company with broad expertise and the ability to reach a large audience.
Our clients include Riksutställningar, ABF, White architects, Sweco, Copenhagen Municipality, College of Arts (Konstfack), The Royal Academy of Fine Arts, Stockholm and Uppsala University, the City of Gothenburg and the Swedish Parliament.
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Alternatives

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1975
Les éditions Alternatives ont célébré leur quarante-quatrième anniversaire en 2019. Plus de quarante ans d'un parcours le nez au vent, privilégiant les chemins de traverse aux itinéraires balisés, toujours prêts à suivre les idées vagabondes.
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Citadelles et Mazenod

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1936
300 livres au catalogue dont 25 publiés par an
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