Sextant (Éditions du): contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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Maisons d'éditions similaires :
Le Soupirail
Maison d'édition indépendante de littérature contemporaine française et étrangère, fondée en 2014. Elle se propose de mettre en valeur "L'écart qu'offre l'écriture littéraire contemporaine face au monde" en publiant des voix singulières, des textes rythmés français et étrangers, des univers d'écritures d'auteurs, dans un souci d'accompagnement des textes et des auteurs.
Publication de 6 à 10 titres par an. Parmi les textes publiés, des auteurs d'Iran, Syrie, Iles Canaries, Espagne, France, Haïti, Roumanie, Bulgarie. Une présentation esthétique sobre mais élégante et une mise ne page mettant en valeur le texte et favorisant le confort de lecture.
Larzac (Éditions du)
Qui nous sommes
Éditeur indépendant constitué en collectif d'auteurs et d'artistes, « Les éditions du Larzac » est le département éditorial de l'herbe sous le pied, association loi de 1901. L'herbe sous le pied a pour objet de promouvoir l'écologie.
Le collectif travaille de manière collégiale avec la direction éditoriale de la maison pour permettre la publication d'ouvrages — de fiction ou de documentaire — apportant leur contribution à la ligne éditoriale : « L'esprit écologique en récits dessinés ».
Ce que nous défendons
Face aux inconséquences de la civilisation industrielle et consumériste, au pouvoir hégémonique des marchés, à l'effondrement des écosystèmes et à l'aggravation abyssale des inégalités sociales, nous pensons la création littéraire comme un acte subversif capable d'infléchir la cadence.
Ainsi, nous nous engageons à publier et à défendre toute oeuvre provoquant, au moyen d'un récit, le désir d'un monde porteur de sens.
Pour anticiper un autre modèle de société et maintenir des liens de solidarité dans une culture de la résilience, nous recherchons les ouvrages inventeurs de nouvelles représentations et créateurs d'un nouvel imaginaire.
Corridor Bleu (Le)
Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.
La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.
Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien. Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.
Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.
Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.
Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.
Le Passager Clandestin
Le passager clandestin publie des textes de critique sociale qui se rapportent notamment à l’écologie, à la décroissance, à la désobéissance civile... Nous ne croyons pas à un quelconque ordre immuable de la société. Nous dénonçons chaque fois qu’il est possible les fondements idéologiques d’un système qui se donne pour « naturel » et auquel il n'y aurait d'autre issue que de s'adapter. Le choix de l’édition indépendante, dont on sait qu’elle doit constamment lutter pour survivre, constitue, en soi, une prise de position. Cette indépendance est à la fois une condition et l’un des buts de notre activité. Elle repose sur un ensemble de pratiques et d’échanges peu formalisés, en prise directe avec les lieux et les gens.
Le passager clandestin aborde souvent des sujets réputés graves, mais nous n’avons aucun goût pour le dogmatisme et les « passions tristes ». Nos livres se veulent honnêtes, rigoureux ; ils exigent parfois un effort pour déplacer le regard. Mais notre activité se nourrit aussi de l’imagination, de la joie et de l’humour, sans lesquels ce monde ne serait décidément pas habitable.
Outre la réédition de textes anciens, nous avons publié récemment le Petit livre noir des grands projets inutiles ; un essai consacré à l’Utopie du logiciel libre ; le Rapport Brazza, document historique inédit à ce jour sur les dégâts du colonialisme français au Congo au début du XXe siècle. Nous avons a également créé deux nouvelles collections en 2013 : une collection de science-fiction, « Dyschroniques », série de textes d’anticipation écrits vers le milieu du XXe siècle par des auteurs renommés dans le genre ; et la collection les « Précurseurs de la décroissance » dirigée par Serge Latouche.
Les Arêtes
5 sens
5 Sens Editions est une maison d'édition créée en avril 2015 et domiciliée dans le canton de Genève.
L’essence même de 5 Sens est basée sur l’ambition de faciliter l’accès à l’édition. Afin que cela soit possible, un véritable partenariat entre l’auteur et l’éditeur est essentiel. Ne possédant pas les moyens des grandes maisons traditionnelles, en ce qui concerne les effectifs ou sur le plan financier, il est important que chacun de ses acteurs mette la main à la pâte (participation aux salons littéraires, lectures publiques, dédicaces... selon les envies). La communauté d'auteurs, au fur et à mesure qu’elle grandira, facilitera la propagation des publications, idées, partages ou collaborations.
Notre statut de petite maison, nous permet de prendre en charge nos livres sur plusieurs années. Evitant ainsi la philosophie d’immédiateté propre au monde littéraire en général. Ce statut offre également un rapport plus humain et en phase avec la réalité. Bien que le milieu littéraire soit connu pour être aussi difficile d’accès qu’un refuge perdu au mont Everest, il existe tout un monde indépendant, où des libraires, des associations, des éditeurs, des auteurs cohabitent avec un état d’esprit plus ouvert aux nouvelles découvertes.
L’écriture est un moyen d’expression au même titre que le parler, le dessin, la danse, la peinture, etc. La publication de livres, d’idées, de mondes différents ou visions novatrices, ne sera jamais une action à limiter ni en quantité ni en temps, de la même manière que nous ne limitons pas la parole lorsqu’elle partage une expérience, éclaire une réalité ou fait tout simplement rêver.
Ex Aequo éditions
Fabrique (La)
Agullo
mot et le reste (Le)
Le mot pour dire le langage et le reste pour dire l’espace, le monde, le social. Mais c’est aussi le mot que confient les auteurs et l’éditeur s’applique au reste.
Créées en 1996 à Marseille par Yves Jolivet, les éditions Le mot et le reste publient environ vingt-cinq titres par an au sein de cinq collections. Les textes reflètent la volonté de fournir des éléments de réflexion sur le monde, de faire circuler des formes poétiques libres de tons, de faire entendre des voix nouvelles et singulières, d’introduire des questionnements esthétiques, le tout sans enfermement. Afin d’explorer ses multiples facettes, une même thématique peut être abordée au sein des différentes collections dans une intention de transversalité. Le lecteur est ainsi invité à s’aventurer au-delà des genres et dépasser les frontières usuelles entre le poétique et le politique, le document et l’esthétique.
Chacun des titres est défendu auprès des libraires, bibliothécaires, lieux de formations, sur Internet… afin qu’il puisse trouver ses lecteurs. Il est essentiel de créer une relation vivante entre le livre et les lecteurs, l’auteur et les lecteurs. Aussi, de nombreux temps d’échanges : rencontres, lectures, conférences… ont lieu tout au long de l’année.