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Ausonius

Maison d'édition à compte d'éditeur
Ausonius Éditions est issu, en 1995, du regroupement des trois grandes unités bordelaises de recherche sur l’Antiquité et sur le Moyen Âge : Centre Charles Higounet, Centre Pierre Paris, Centre Georges Radet. Ce regroupement a donné naissance à l’Institut Ausonius (UMR 5607-CNRS/Université Michel de Montaigne-Bordeaux 3). Dès ce moment s’est imposée l’idée de doter ce nouveau centre d’un service de publication à sa mesure. Le Centre Pierre Paris, à l’impulsion de Robert Étienne, avait jeté les bases d’un tel instrument. C’est dans ce sillon que sont nées et se sont développées, dans un souci tout autant de continuité que de modernisation et d’expansion, les publications Ausonius, devenues aujourd’hui Ausonius Éditions. Alain Bresson en a été le premier directeur, de 1995 à 2004 ; Jérôme France lui a succédé jusqu’en 2011.

Contact

Adresse

8, esplanade des Antilles, 33607 Pessac Cedex
France

Maisons d'éditions similaires :

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Infolio

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1999
Créées en 1999, les éditions Infolio sont basées à Gollion, près de Lausanne, dans une région où l'édition est traditionnellement et ancestralement bien établie. La proximité de centres de formation dans tous les métiers du livre, ainsi que le grand nombre d'unités d'impression de qualité permet à notre maison de bénéficier des compétences les plus larges. La politique éditoriale des éditions Infolio touche des domaines aussi variés que l'archéologie, l'architecture, l'histoire, l'art ou la photographie. Une équipe de 7 personnes (graphistes, photolithographes, responsable marketing) travaille en étroite relation avec les milieux scientifiques (Département d'Architecture EPFL, Université de Lausanne et de Genève, Archeodunum SA investigations archéologiques, etc.).
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Le Festin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1989
109 publiés par an

Hier
Le Festin a cette année 30 ans. Du chemin a été parcouru depuis le n° 1 de septembre 1989, sous-titré « Lettres, Lieux, Vues », et imprimé à quelque 1 000 exemplaires. La première page annonçait déjà en substance les grandes lignes directrices de ce que sera cette aventure éditoriale : ne pas aborder les patrimoines et la création en Nouvelle-Aquitaine sous un angle académique, mais selon une approche décomplexée et généreuse. Élevé au rang de doctrine, ce principe restera toujours le credo du Festin.

« L’Esprit Festin »
Il fallait redynamiser l’image vieillotte que véhiculait encore le patrimoine, en restituant la connaissance et en la rendant intelligible et attractive à tous, en défendant une vision plus prospective que nostalgique, plus régionale que régionaliste, plus familière qu’élitiste.
De fait, en tant qu’objet, la revue se présente à mi-chemin entre le livre et le magazine. Quant à son contenu, il associe des recherches scientifiques, inédites et documentées, à une démarche de vulgarisation. Partis pris, coups de cœur constituent le ferment de ce que l’on pourrait appeler « l’esprit Festin », autant éloigné du bulletin de société savante que du fanzine touristique. Un soin tout particulier est apporté aux images (recherches iconographiques ou actualité des reportages), car elles aiguillonnent la curiosité du lecteur. Elles éclairent, au même titre que la mise en page, le contenu rédactionnel, le soulignent en même temps qu’elle le divertit, afin qu’il n’y ait aucun hiatus entre le fond et la forme.
Enfin, le terrain d’action du Festin s'étend à toute la région Nouvelle-Aquitaine afin de proposer une lecture transversale du territoire. S’il existe une identité culturelle régionale, elle réside dans cet espace sensible où chaque site, chaque œuvre, chaque territoire est support d’interprétations, de correspondances et d’échanges. C’est aussi la diversité de la Nouvelle-Aquitaine qui fait la force de la revue. Réalisé par des amateurs passionnés pour d'autres passionnés, Le Festin se met au service de la connaissance, de l’expérience, de la découverte et du plaisir.

Aujourd’hui
En 2019, Le Festin fête ses 30 ans.  Entre temps, il a tenté d’évoluer et d’améliorer par petites touches son propos rédactionnel et visuel. D’abord semestriel, puis trimestriel (à partir de 2002), il s’est imposé comme un rendez-vous désormais attendu pour les lecteurs. Il comptabilise aujourd’hui un catalogue de 109 numéros (dont beaucoup sont épuisés), auquel s’ajoute une trentaine de hors-série thématiques. Parallèlement, la maison d’édition propose chaque année une vingtaine de nouveaux titres (littérature, catalogue d’exposition, livres d’art, essais) qui viennent ainsi compléter le fonds culturel et patrimonial régional. Pour la seule revue, les plus de 10 000 pages qu’elle totalise depuis ses débuts en font un sommaire encyclopédique unique pour la Nouvelle-Aquitaine. Ce sont quelque 10 000 exemplaires et 2500 abonnements qui sont diffusés chaque trimestre dans plus de 600 points de vente.

Avec le temps, Le Festin a ainsi inventé son propre modèle économique, sans y perdre son âme ni ses ambitions. Loin de là, la grande aventure demeure intacte, l’équipe rédactionnelle et l'équipe commerciale composées de 15 salariés s’impliquent aujourd’hui dans cette profusion d’ouvrages avec toujours la même passion.

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Antipodes

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1995
250 livres au catalogue dont 15 publiés par an
Les Editions Antipodes ont été créées en 1995. Au rythme d’une quinzaine de livres par année, le catalogue compte plus de 250 titres, principalement des ouvrages de sciences sociales: histoire, sociologie, anthropologie, philosophie, science politique, psychologie, mais également de la BD et des romans graphiques avec la collection Trajectoires et une nouvelle collection jeunesse Petitpodes.
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Cristel (Éditions)

Maison d'édition à compte d'éditeur
Les Éditions Cristel se sont spécialisées dans la publication de livres liés à l’histoire maritime et bretonne, l’histoire littéraire et l’histoire de l’art. Sous le label « Cristel Éditeur d’Art », elles proposent également, avec le concours de grands peintres contemporains et de peintres officiels de la Marine, de prestigieux tirages de tête et des livres rares, numérotés et estampillés, dans la belle tradition de la bibliophilie française.
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Contrepoint (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur
Le Contrepoint est un éditeur de livres décomplexés et audacieux, qu’il s’agisse de découvrir de nouveaux territoires, de plonger dans les grands débats qui n’en finissent pas ou de se frotter à des sujets improbables mais qui en disent long… C’est par le biais de publications et collections curieuses et décalées que nous souhaitons offrir au lecteur une expérience toujours renouvelée, avec des objets éditoriaux à la forme aussi soignée que le fond, le tout financièrement abordable. Petite équipe hétérogène et volontaire pour trouver sujets et auteurs à la mesure de nos projets, nous espérons que vous aurez envie de suivre nos aventures, de découvrir nos livres, et d’aider Le Contrepoint à rencontrer ses lecteurs !
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Michel de Maule

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
400 livres au catalogue dont

Créées en 1987, les Éditions Michel de Maule ont plus 30 ans.

Elles ont aujourd'hui 400 titres actifs réunis autour de 6 collections :

- Littérature française
- Littérature étrangère
- Histoire et Sciences sociales
- Musique
- Beaux-Livres
- Esthétique

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EHESS

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1959
800 livres au catalogue dont 25 publiés par an
Les Éditions de l'EHESS ont pour mission de faire connaître et diffuser des recherches exigeantes et novatrices dans le domaine des sciences sociales. En accord avec la tradition expérimentale de l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, elles participent à l'exploration de nouveaux champs de savoirs et travaillent au projet intellectuel des sciences sociales, dans la pluralité des manières de faire, des terrains et des périodes qui organisent ces disciplines. Le fonds de l'EHESS contient des travaux ayant durablement  influencé la vie scientifique depuis un demi-siècle, soit 900 titres, dont 650 sont disponibles. Il s'enrichit chaque année d'une trentaine de titres en histoire, histoire de l'art, anthropologie, sociologie, économie, linguistique, psychologie, géographie.
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Buchet-Chastel

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1936
850 livres au catalogue dont 60 publiés par an
Nées en 1936 des éditions Corrêa, les éditions Buchet/Chastel furent fondées par Edmond Buchet et Jean Chastel. Edmond Buchet fut un véritable découvreur de talents littéraires français (Blaise Cendrars, Maurice Sachs') et publia également des auteurs confirmés (André Gide, Paul Valéry, Colette'). Avant-gardiste, il développa un important catalogue de littérature étrangère (Henry Miller, Lawrence Durrell, Malcolm Lowry). De 1970 à 1994, Guy Buchet développa les collections non littéraires et lança une collection "Spiritualité". La maison intègre Libella en 2001. Depuis cette date, elle a conservé et développé sa dominante littéraire : fictions française et étrangère, essais et documents, musique, tout en s'ouvrant à d'autres domaines comme l'écologie.
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Armand Colin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1870
1800 livres au catalogue dont 200 publiés par an
Maison créée en 1870, Armand Colin est l'un des principaux éditeurs universitaires francophones de lettres, histoire, sciences humaines et sociales. Fort d'un catalogue de près de 1 500 ouvrages, cet éditeur publie environ 200 nouveautés par an ainsi que des revues scientifiques. Les collections "U" et "Cursus" sont emblématiques de la marque. Ancrée dans l'enseignement supérieur et la recherche, Armand Colin s'ouvre également à d'autres publics. Il propose une analyse des grands enjeux contemporains dans diverses collections comme "Nouvelles biographies historiques" ou "Sociétales". La collection "Cinéma-Arts visuels" positionne Armand Colin comme l'éditeur de référence dans le domaine de l'enseignement des arts.
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