Annuaire d' éditeur / Monde Diplomatique (le)
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Monde Diplomatique (le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1954

Fondé en 1954 par Hubert Beuve-Méry, Le Monde diplomatique porte la marque d’une époque où tout paraît possible : les empires coloniaux vacillent, le tiers-monde s’assemble à Bandung pour opposer son unité aux grandes puissances de l’époque, les pensées émancipatrices s’épanouissent. Bientôt, elles soulèveront les populations, au Nord comme au Sud.

Héritier de cet esprit frondeur et volontaire, Le Monde diplomatique est à la fois le journal français le plus diffusé dans le monde — il est traduit en dix-neuf langues dans une trentaine de pays — et celui qui, le premier, assura sa présence sur Internet (1). Il conjugue une large ouverture sur les questions internationales avec une vision critique de ce qui demeure le plus souvent dans l’angle mort de la presse : l’idéologie et le fonctionnement global du capitalisme, les conséquences écologiques et sociales du libre-échange, les dangers du « choc des civilisations », l’arrière-plan des alliances militaires, les utopies nécessaires, les perspectives des nouvelles formes de démocratie à l’ère des grands basculements géopolitiques.

Convaincue que les approches comparatives et le recul historique dissipent les illusions d’une actualité haletante, l’équipe du mensuel s’emploie à ce que chaque numéro combine analyses, reportages et enquêtes. Porteur d’une manière de voir singulière et rigoureuse, que confortent ses centaines de collaborateurs étrangers, Le Monde diplomatique est le journal de référence de tous ceux qui veulent comprendre le monde — mais aussi le changer.

Dépôt de manuscrits

Modalité d'envois

Le Monde diplomatique dispose d’un large réseau d’auteurs et de sa propre équipe de journalistes. Nous ne publions qu’exceptionnellement des articles provenant de propositions spontanées. Il ne peut s’agir que de textes originaux, inédits et non proposés à d’autres publications, ayant des références précises, vérifiables et une longueur adaptée à nos formats. Nous ne pouvons décider de donner suite à une proposition que sur la base d’un synopsis, pas seulement d’une idée. Les textes que nous publions font l’objet d’un travail d’édition approfondi, que l’auteur devra accepter et valider.

Maisons d'éditions similaires :

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L'Age d'Homme (Editions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1966
4000 livres au catalogue dont

La maison d'édition L'Age d'Homme est fondée en 1966 à Lausanne par Vladimir Dimitrijevic. C'est sans doute à L'Age d'Homme, forte aujourd'hui de 4000 titres, que nous devons de ne plus réduire la littérature russe aux seuls noms de Dostoïevski , de Tolstoï ou de Gorki. Grâce à la collection «Classiques Slaves», les lecteurs ont pu découvrir les œuvres majeures du symbolisme russe, celle d'André Biely (Pétersbourg,

La Colombe d'Argent, Kotik Letaiev), d'Ossip Mandelstam, d'Alexandre Blok ; des auteurs aussi considérables que les polonais Witkiewicz ou Ladislas Reymont ; les écrits esthétiques de Malévitch, les essais et les romans de Zamiatine, de Leskov ou de Boris Pilniak. De Ivo Andritch et Dobritsa Tchossitch aux chefs-d'œuvre d'Alexandre Zinoviev, la collection «Classiques Slaves» qui compte aujourd'hui plus de 500 titres, a permis de faire connaître un immense patrimoine littéraire que le «réalisme-socialiste» n'avait pas réussi à étouffer.

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François Bourin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
Créées en 1987, les Éditions François Bourin ont marqué le paysage de l’édition française en publiant un certain nombre d’auteurs comme Jeanne Bourin, Michel Serres, Jacques Testard, Alain Etchegoyen, autour d’une ligne éditoriale privilégiant une approche tranchée des grandes questions de société. Après avoir rejoint le groupe de la Cité en 1994, la maison reprend son indépendance en 2002 et publie des auteurs comme Marc Fiorentino avec Tu seras un homme riche, mon fils, Laurence Benhamou avec Le Grand Bazar Mondial, Charles Gave, Christian Saint-Etienne, Philippe Chalmin, Patrice Romain, auteur des Mots d’excuse ou l’écrivain chinois Jian Rong, auteur du best-seller Le Totem du Loup. Mais à la suite de difficultés personnelles, François Bourin a été contraint de céder sa maison en 2013. Après une période de flottement, François Bourin a repris la tête de sa Maison en Mai 2016 avec l’appui financier du Groupe Chevrillon et de plusieurs actionnaires privés. Le groupe Chevrillon, dirigé par Cyrille Chevrillon, est une société à actionnariat familial qui investit dans des entreprises industrielles, de services et de haute technologie. Il développe également ses activités dans le domaine culturel, notamment dans la production cinématographique, musicale et théâtrale. Les Éditions François Bourin représentent son premier investissement dans le secteur de l’édition. La maison reste aujourd’hui fidèle à son ADN : les questions de sociétés et s’applique à éclairer les grandes ruptures de notre époque, qu’elles soient sociétales, économiques, politiques ou scientifiques, en s’appuyant sur les auteurs qui lui sont restés fidèles et en suscitant l’émergence de nouveaux talents. La Maison s’efforce de répondre à ces questions dans tous les domaines, littérature, essais, documents mais aussi humour ou livres illustrés. Le rythme de publication, une vingtaine de titres par an, nous permet de défendre au mieux chacun d’eux auprès de la presse et des libraires. Les couvertures ont également été retravaillées pour améliorer la qualité de nos parutions et leur visibilité en librairie.
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Equateurs (Editions des)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2003
200 livres au catalogue dont
Créées en 2003 par Olivier Frébourg, écrivain et journaliste, les Éditions des Équateurs ont un catalogue de plus de 200 titres, axé sur la littérature, l’histoire et les documents d’actualité. Particulièrement sensibles aux jeunes écrivains, aux voyages et à la société contemporaine, elles publient notamment Sylvain Tesson (Petit traité sur l'immensité du monde; Géographie de l'instant), Flore Vasseur (Comment j'ai liquidé le siècle; En bande organisée), Isabelle Spaak (Ça ne se fait pas, Une allure folle), Hyam Yared (La Malédiction), Léonard Vincent (Athènes ne donne rien), Teresa Cremisi (La Triomphante), Jean-Paul Kauffmann (Outre-terre), Pierre Adrian (La piste Pasolini), et des auteurs américains comme Christopher Moore (Sacré Bleu) et B.J. Novak (Aura-t-on assez de temps au paradis pour voir Sinatra ?). Les Éditions des Équateurs se sont fait connaître en éditant le Rapport de la commission d'enquête sur les attentats du 11 septembre 2001 et l'intégralité de l'Histoire de France de Jules Michelet. Elles ont notamment publié Le manifeste Chap. Savoir-vivre révolutionnaire pour gentleman moderne de Gustav Temple et Vic Darwood, Underground de Julian Assange et Suelette Dreyfus et, tout récemment, En cherchant Majorana. Le physicien absolu d'Etienne Klein, Golden Holocaust. La conspiration des industriels du tabac de Robert N. Proctor, ainsi que les best-sellers Un été avec Montaigne (Antoine Compagnon) et Un été avec Proust (sous la direction de Laura El Makki), Un été avec Baudelaire (Antoine Compagnon), Un été avec Victor Hugo (de Laura El Makki et Guillaume Gallienne) en coédition avec France Inter.
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Cygne (Editions du)

Maison d'édition à compte d'éditeur
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Economica

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1971

Éditions Economica est une maison d'édition française spécialisée dans les sujets économiques et stratégiques.

Basée à Paris, elle a été fondée en 1971 par Jean Pavlevski, agrégé d'économie et originaire de Macédoine.

Wikipédia

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Syllepse (Éditions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1989

Les Éditions Syllepse ont été fondées en 1989. Chacun de ses membres est un coopérateur qui a fait le choix de se « faire éditeur » pour faire vivre une maison d'édition engagée afin de créer un espace autonome, coopératif et autogéré d'édition. C'est également une économie solidaire que Syllepse construit, ouvrage après ouvrage, entre les auteurs et leurs titres.

Insérés dans le mouvement des mouvements de ceux et celles qui sont à la recherche d'autres possibles, nous avons bâti notre projet éditorial pour transgresser la frontière de la « fin de l'histoire » que certains ont cru pouvoir tracer sur les ruines des révolutions trahies et des utopies défaites. Pour qu'il y ait une bonne résistance à l'air du temps, il faut dégager un horizon qui éclaire les combats quotidiens et redonne corps aux espérances. Redonner l'espoir, c'est aussi faire vivre l'idée de la transformation sociale avec cette terrible arme de la nuit qu'est le livre. Nous entendons y participer en construisant cet outil pluraliste et coopératif que représente notre maison d'édition.

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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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L'Herne

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1957
L'Herne est une maison d'édition française dirigée par Laurence Tacou. Fondée en 1963 par l'écrivain Dominique de Roux et ses amis, elle est issue d'un canular d'étudiants. Il s'agissait d'abord d'une revue à souscription (qui a paru de 1957 à 1972) qui a pris la forme définitive des "Cahiers de l'Herne" en 1966, une collection de monographies librement consacrées à des figures méconnues de la littérature, comprenant des articles, des documents, et des textes inédits. Les "Cahiers" et les "Carnets" sont les deux principales collections parmi les huit que compte la maison.
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Cherche-Midi (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1978
500 livres au catalogue dont
Fondé en 1978, Le Cherche Midi éditeur compte plus de 500 titres à son catalogue dont les lignes éditoriales sont : l'humour, y compris le dessin, la poésie, les documents, la littérature, les livres d'art, l'aéronautique, les guides, la gastronomie et les coéditions avec Amnesty International, la ligue des droits de l'Homme, la ligue de l'Enseignement.
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Arthaud

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1870
Vers 1870, Jules Rey, libraire de Grenoble, commence à publier des livres sur la montagne. Il fonde une maison d'édition en 1882. En 1922, elle est la première en France à s’équiper d’une machine d'héliogravure, et, en 1923, à utiliser l'héliochromie. Benjamin Arthaud en devient propriétaire en 1924 en rachetant les parts de son beau-frère Alexandre Rey, fils du fondateur. En 1930, il installe un bureau des éditions Arthaud à Paris, 6 rue de Mézières dans le VIe arrondissement. À cette époque, les éditions publient diverses collections consacrées à l'histoire et à la géographie (paysages, sites, monuments…). En 1949, il lance la célèbre collection de livres de montagne et de récits d’aventure « Sempervivum », avec notamment le best-seller Annapurna, premier 8000 de Maurice Herzog. Dans les années 1960, la deuxième génération Arthaud prend les commandes de la maison. Claude Arthaud oriente davantage les éditions vers les grands livres d’art. Jacques Arthaud4 crée avec succès la collection « Mer », inaugurée par Éric Tabarly. Des collections encyclopédiques sont lancées, telles que « Les grandes civilisations », « L’histoire des sociétés contemporaines », « Littérature française » ou « Signes des temps ».
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