Apogee: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Les Éditions Apogée ont été fondées à Rennes en 1991 par André Crenn. Et reprises en novembre 2017 par Antoine Cam.
En l'espace de vingt-six ans, avec la complicité de ses partenaires et amis, elles ont développé une politique éditoriale généraliste.
Dans cette maison d'édition ouverte au plaisir de la rencontre, avec l’ambition de faire partager beauté, création, talent, idées, des plasticiens dans leur univers de formes et de couleurs, des universitaires de renom, des poètes et des écrivains ont souhaité donner à lire leurs imaginaires, leurs expériences et leurs recherches.
La volonté du fondateur de créer une maison ouverte aux questions d'aujourd'hui et à la créativité des auteurs a permis de constituer un fonds de 500 titres autour de trois grands catalogues :
Littérature
Sciences et sciences humaines
Beaux-arts
À cette diversité des collections répond la diversité des formats : les Éditions Apogée illustrent nombre des possibilités de l'objet livre. Après le temps de l'édition papier, des tirages de tête, des reproductions de qualité, et des CD multimédia accompagnant deux dictionnaires, vient s'ajouter celui du numérique et ses téléchargements.
Contact
Site Web
http://www.editions-apogee.com/Adresse
3, rue Carle Bahon, 35200 Rennes FranceDépôt de manuscrits
Par voie postale:
Service des manuscrits3, rue Carle Bahon
35200 Rennes
France
Retours
Temps de réponse: de 4 à 6 moisAccusé de réception: NON
Maisons d'éditions similaires :
De Boeck Supérieur
Avec un catalogue de près de 2 000 livres et ebooks, et plus de 160 nouveautés publiées chaque année, De Boeck Supérieur est l’un des principaux éditeurs du Savoir en France et dans les pays francophones.
Nous vous proposons :
- des manuels et livres de référence pour les #étudiants de l’université et plus largement du supérieur, ainsi que pour les #chercheurs
- des livres pour les #professionnels (psychologues, métiers de la rééducation, managers, RH, enseignants…)
- des titres à destination du plus grand nombre, que vous soyez curieux ou passionnés : #vulgarisation scientifique, #parenting, #beaux livres…
Lacour-Ollé (Éditions)
1er éditeur régionaliste de France, plus 9300 titres disponibles au catalogue. Depuis 1791, la dynastie OLLÉ LACOUR vit au service de la chose écrite, de l'imprimerie à l'édition, en passant par la diffusion. Les ancêtres colporteurs qui ont sillonné toutes les régions de France ont laissé à Christian Lacour, directeur des Éditions, le goût des voyages prospectifs dans l'hexagone, permettant des contacts profitables à tous. Ainsi en diffusant ses propres auteurs, l'éditeur aux aguets, découvre de nouveaux talents et exhume des ouvrages importants, devenus introuvables, qu'il se fait un plaisir de ressusciter pour la plus grande satisfaction des petites patries concernées.
A côté de ces monographies locales, de biographies, essais, romans, poésie, d'ouvrages consacrés à l'ésotérisme ou à la cuisine locale, les éditions Lacour réalisent de très beaux livres, aussi admirable par leur présentation matérielle, illustration, papier, couverture, que par leur intérêt intrinsèque, parfois national et même international, comme ces rééditions de précieux Dictionnaires des siècles derniers qui sont vendus jusqu'au Japon.
InterEditions
Lavoisier
Rue de l'échiquier
Impressions nouvelles (Les)
Fondées en 1985 et riches d’un catalogue de près de 350 titres, les Impressions Nouvelles sont une maison d’édition indépendante et généraliste, ouverte à tous les médias qui façonnent la vie contemporaine.
L’ambition des Impressions Nouvelles est au moins double.
D’une part, la maison publie des textes de création et de réflexion littéraires : roman, poésie, reportage, autobiographie, mais aussi essai littéraire. Les fictions et les analyses publiées par les Impressions Nouvelles allient souci du style et enjeux sociaux, culturels, politiques ou philosophiques. Le parti pris des mots y va de pair avec le compte tenu des choses.
D’autre part, les Impressions Nouvelles accordent une large place aux images et éditent des essais sur les grands médias de la culture moderne : bande dessinée, cinéma, photographie, télévision, mais aussi architecture, philosophie, sociologie, esthétique. Dans tous ces domaines, les Impressions Nouvelles publient des livres qui allient lisibilité, goût de l’engagement et désir de vulgarisation intelligente.
Par l’attention accordée à la qualité du livre comme à celle de l’écriture et des images, par la volonté d’intervenir dans les débats les plus actuels, mais aussi d’accompagner des auteurs dans la durée et de construire une politique à long terme, les Impressions Nouvelles s’imposent comme un acteur important de l’édition en langue française.
DDB
Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.
1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.
1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.
De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.
En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.
Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.
Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.
Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».
Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.
Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.
Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.
Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.
Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.
Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.
Huginn & Muninn
Alisio
Alisio est la marque des éditions Leduc.s dédiée aux voies qui inspirent : essais, documents, biographies, manifestes…
Alisio en portugais, trade winds en anglais, ces termes désignent les vents qui ont ouvert la voie des Amériques aux navigateurs et aux explorateurs du XVe siècle.
Héritiers de ces pionniers, les entrepreneurs, les leaders, les créateurs et les penseurs sont les aventuriers des temps modernes.
Alisio donne une voix à tous ceux qui ouvrent des voies : des figures, des idées, des modèles qui inspirent.
Cette année, les Éditions Alisio lancent un appel à manuscrits inédit afin de publier le récit d’un aventurier d’aujourd’hui.
Les Éditions Heptade
Chaque jour, notre maison d'édition continue à acquérir une solide réputation en tant que pilier de la scène littéraire à Lubumbashi. Nous avons publié une variété de genres, des romans aux recueils de poésie, en passant par des ouvrages de non-fiction. Chaque publication est le fruit d'une collaboration étroite entre l'auteur et notre équipe engagée de professionnels de l'édition, de correcteurs et de designers.
Modalité d'envois
Nous publions 20 à 25 livres par an, dont seulement une dizaine de littérature qui sont choisis par un comité de lecture après consultation des quelque 400 manuscrits que nous recevons chaque année.
Pour une petite structure comme la nôtre, la gestion, la lecture et le suivi des manuscrits représentent une charge de travail considérable et notre comité de lecture est essentiellement constitué de bénévoles.
Nous conseillons donc aux auteurs une visite approfondie de notre site avant l’envoi de tout manuscrit afin de bien cerner la ligne éditoriale de nos publications. À noter que nous ne publions plus de poésie.
Nous lisons uniquement les manuscrits sur papier, envoyés par voie postale. Si vous souhaitez que votre manuscrit vous soit retourné, il doit obligatoirement être accompagné d'une enveloppe affranchie au poids de votre manuscrit à votre adresse.
Lorsque les manuscrits sont retenus pour une lecture approfondie, leurs auteurs devront patienter 4 à 6 mois avant toute prise de décision. Au-delà de ce délai, s’ils ne sont pas contactés, c’est que leurs manuscrits n’auront pas été retenus et ils leur seront retournés s'ils ont prévu de joindre une enveloppe à cet effet.
Les auteurs des manuscrits non publiés ne pourront prétendre à quelque justification ou conseil que ce soit ; notre équipe est beaucoup trop réduite pour que cela puisse être possible. Les manuscrits non retournés sont archivés et conservés 2 mois avant d’être détruits.