logo

Delga

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2004
60 livres au catalogue
Les Editions Delga, fondées en 2004, sont une maison d’édition spécialisée en sciences humaines, engagée dans la défense du service public culturel, la recherche marxiste et l’histoire du mouvement communiste international.

Contact

editionsdelga@yahoo.fr

Téléphone

0781778296

Adresse

38 rue Dunois, 75013 Paris
France

Maisons d'éditions similaires :

logo-similar-editor

Antipodes

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1995
250 livres au catalogue dont 15 publiés par an
Les Editions Antipodes ont été créées en 1995. Au rythme d’une quinzaine de livres par année, le catalogue compte plus de 250 titres, principalement des ouvrages de sciences sociales: histoire, sociologie, anthropologie, philosophie, science politique, psychologie, mais également de la BD et des romans graphiques avec la collection Trajectoires et une nouvelle collection jeunesse Petitpodes.
logo-similar-editor

Classiques Garnier

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1896
Depuis 1896 Classiques Garnier publie dans des éditions de référence des œuvres littéraires du monde entier, françaises et étrangères, de l'antiquité à nos jours. En 2009, Classiques Garnier a étendu ses publications à tout ce qui concerne la littérature et les sciences humaines pour éditer des études et des essais des meilleures spécialités sur la littérature française, les littératures étrangères, la linguistique, l'histoire, l'art, la musique, le droit et les sciences économiques et sociales. Maison d'édition utilisant les technologies les plus avancées, Classiques Garnier publie ses ouvrages sur trois supports : en grand format, en bases de données et en format poche.
logo-similar-editor

Table Ronde (La)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1944
3345 livres au catalogue dont 40 publiés par an
C’est en 1944, à Paris, que Roland Laudenbach, Jean Turlais et Roger Mouton, trois jeunes gens réunis par le goût de la littérature, lancent l’aventure de La Table Ronde.
L’idée première est de créer une revue. Conviés autour de la table, Thierry Maulnier, André Fraigneau et Jean Cocteau participent au projet. André Fraigneau suggère un titre énigmatique : La Couronne fermée. Jean Cocteau lui préfère La Table Ronde, qui correspond davantage à l’esprit du groupe. François Salvat dessine les maquettes et le premier numéro des « Cahiers de La Table Ronde » voit le jour fin 1944. Jean Anouilh confie alors sa pièce Antigone à Roland Laudenbach, sans limitation de tirage. Ce sera le premier livre en édition courante, celui qui fait de La Table Ronde une maison d’édition à part entière.
L’effervescence littéraire et intellectuelle du demi-siècle ne perdant rien de sa vigueur, des auteurs tels François Mauriac et Henry de Montherlant collaborent à la revue, tandis que Paul Morand livre son Journal d’un attaché d’ambassade et Jean Giono Un roi sans divertissement. Au fil des années cinquante, une génération d’écrivains turbulents fait son apparition. Parmi eux, Antoine Blondin, Michel Déon, Jacques Laurent, Roger Nimier, tous amis de Roland Laudenbach, que Bernard Frank réunira — un peu rapidement — sous le nom de « hussards ».
Au cœur de cette époque, La Table Ronde publie des romans drôles et mélancoliques, sensibles et délicats.
L’éclosion d’écrivains comme Alphonse Boudard, Gabriel Matzneff, Frédéric Musso ou encore Eric Neuhoff, offre aux hussards des successeurs pleins de panache. Les années quatre-vingt-dix s’ouvrent sur les disparitions successives de Roland Laudenbach et Antoine Blondin. Avec l’arrivée de Denis Tillinac à la tête de La Table Ronde en 1990, le catalogue accueille Jean-Paul Kauffmann, Frédéric Fajardie, Yves Charnet, Jean-Claude Pirotte, Xavier Patier, le poète William Cliff ou plus récemment Michel Monnereau. En 1997, La Table Ronde reprend la collection Quai Voltaire, pour la dédier à la littérature étrangère, en publiant, entre autres, Alice Mc Dermott, Tracy Chevalier, et Richard Russo. Dirigées aujourd’hui par Alice Déon, Les Éditions de La Table Ronde continuent de réunir des auteurs restés fidèles à la liberté de ton de leurs fondateurs.
logo-similar-editor

Boîte à Pandore (La)

Maison d'édition à compte d'éditeur

Notre maison d’édition s’inscrit résolument dans la volonté de faire avancer les grandes questions de société.

Notre unique volonté est de donner la parole à des auteurs qui interpellent, questionnent ou bouleversent le lecteur. Journalistes, experts, témoins ou protagonistes, ils ont l’ambition, à travers leurs livres, d’ouvrir des portes que l’on croyait cachées, de jeter un pont entre le passé et l’avenir, entre l’envie d’ailleurs et le questionnement sur soi…

Notre volonté d’Éditeurs est celle d’être les partenaires d’un monde qui change et qui s’interroge, et cela même si, à l’instar d’Albert Londres nous portons le fer dans la plaie.

Partenaires de réflexion qui montrent le réel de ce monde que nous voulons meilleur, les livres de notre catalogue sont des invitations à la réflexion et à la découverte.

Prenez la route avec nous et avec nos Auteurs, nous avons tant de choses à nous dire.

Les Éditeurs

logo-similar-editor

Fayard

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1857
7800 livres au catalogue dont 230 publiés par an
Dès sa création en 1857 par Arthème Fayard, la Librairie Arthème Fayard avait pour objectif de rendre le livre accessible à tous, et publiait des ouvrages historiques et des romans populaires. À la mort de son fondateur, en 1895, son successeur du même nom développa l'édition d'auteurs classiques et contemporains à prix réduits, la littérature étrangère et créa une collection de romans policiers qu'il dirigea jusqu'à sa mort en 1936. En 1956, Fayard devient une société anonyme, et en 1958 une filiale d'Hachette. Aujourd'hui, son catalogue compte des collections d'histoire, de sciences, de littérature classique et contemporaine, française et étrangère, de musique et de sciences humaines, ainsi que des documents d'actualité.
logo-similar-editor

Droz

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1924

Telle fut la notice qui figura longtemps en tête des catalogues de la maison d'édition.

II fallait de l'intelligence, du cran et du caractère à une femme pour fonder et diriger une maison d'édition dans le Paris des années folles. C'est en décembre 1924 exactement que la neuchâteloise Eugénie Droz, alors âgée de trente et un ans, publia ses premiers livres, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle.

Ce fut bientôt l'inévitable VIe et le 25 rue de Tournon, dans cette maison donnée par un roi à un poète.

L'érudite demoiselle resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève.

Dès l'origine l'ancrage genevois de la maison était inscrit, sinon dans les astres, du moins sur la page de tous les titres, puisqu'Eugénie Droz avait choisi comme marque celle de l'imprimeur Jean de Stalle, actif à Genève de 1487 à 1493, et dont le troisième et vraisemblablement dernier livre, un Ars minor de Donat édité par Antonio Mancinelli, qu'il imprime le 15 mai 1493, fut le seul à porter la marque aux quatre putti tenant son propre monogramme.La seule modification qu'osa l'éditrice moderne fut de remplacer les initiales I.S. par les siennes.

Plus tard, elle voulut que son affaire restât genevoise et, en 1963, c'est à deux jeunes historiens aux intérêts complémentaires, Giovanni Busino et Alain Dufour, qu'elle céda la société. Ils perpétuèrent l'audience scientifique de la maison. En 1966 eut lieu le dernier déménagement; le 11, rue Firmin-Massot étant depuis l'adresse de la Librairie Droz S.A.

Depuis 1995, une troisième génération a pris la relève et Max Engammare dirige les destinées de la Librairie Droz.

logo-similar-editor

Maison des Sciences de l'Homme

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1975
1400 livres au catalogue dont 40 publiés par an
Avec plus de 1 000 titres (entre collections et revues), les Éditions de la Maison des sciences de l'homme sont l'expression de la politique scientifique de la Fondation Maison des sciences de l'homme, politique d'ouverture soutenue par un statut et des missions qui en font un lieu favorable aux rencontres et aux échanges scientifiques entre états, cultures, institutions et disciplines. Dans le domaine des SHS, l'éditeur garantit certification et validation, soutien éditorial et formel. Ouvert à une diversification de ses techniques de fabrication, de diffusion et de distribution afin de mieux répondre à l'évolution du marché éditorial scientifique, un accent est mis sur la publication électronique afin de proposer une offre de services multi supports et multi canal à la communauté.
logo-similar-editor

Eclat (Éditions de l')

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1985

Les éditions de l'Éclat sont créées à Paris en février 1985 sous le statut d'association loi de 1901 puis de SARL à partir de 1988.

Le premier titre publié est Comment trouver, comment chercher une première vérité ? du philosophe Jules Lequier.

Sa diffusion à l’international est assuré par les distributeurs Zoé Diffusion en Suisse, Dimédia au Canada et Harmonia Mundi en France et Belgique.

 

Wikipédia

logo-similar-editor

DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

logo-similar-editor

Gallimard

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1911
30000 livres au catalogue dont 800 publiés par an
Créées en 1911, les Éditions Gallimard, nées de la célèbre Nouvelle Revue Française, sont dirigées par Antoine Gallimard, le petit-fils du fondateur, et présentent un large catalogue en littérature française et étrangère et en sciences humaines, au travers de nombreuses collections ("Blanche", "Folio", "Série Noire", "Du Monde entier", "Bibliothèque des Histoires", "NRF Essais", "La Pléiade", etc), d'auteurs du fonds comme Camus, Sartre, Beauvoir et Foucault, et d'auteurs contemporains internationalement connus comme le Prix Nobel de Littérature J.M.G. Le Clézio mais également Philip Roth, Muriel Barbery et bien d'autres. Le groupe Gallimard réunit plusieurs filiales et marques d'édition : Denoël, Mercure de France, Gallimard Jeunesse, Verticales, Alternatives, Gallimard Loisirs, La Table Ronde, P.O.L, Joëlle Losfeld, Futuropolis'
Pour écrire un commentaire, connectez-vous.