Monographic: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Aucune conjoncture n'a jamais aboli une passion
« LE MÉTIER D'ÉDITEUR TIENT D'ABORD D'UNE PASSION QUI S'ENRICHIT D'EXPÉRIENCES ET DU SOUCI DE TOUJOURS ŒUVRER AU MIEUX ».
C'est le bilan de Roger Salamin dont le premier ouvrage est paru il y a plus de quarante ans à l'enseigne des Editions Monographic (Légendes et Réalités du Val d'Anniviers, Symphorien Florey, 1974).
Plus de 300 titres se sont égrainés au fil des années avec la collaboration d'historiens, d'écrivains et de divers spécialistes permettant ainsi d’offrir un large éventail de thèmes.
Souvent, les maisons d'éditions s'éteignent avec leur fondateur. Fortes de l'expérience acquise, les Editions Monographic entendent relever le défi. Conserver la ligne éditoriale, la réactualiser, telle est l'ambition que manifeste Monographic à travers ses dernières parutions.
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http://www.monographic.ch/Adresse
Technopôle 2 CP 636, 3960 Sierre SuisseSite Web
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Technopôle 2 CP 636, 3960 Sierre SuisseMaisons d'éditions similaires :
Sutton éditions
"Les Nouvelles Editions Sutton bénéficient du soutien de Ciclic-Région Centre-Val de Loire dans le cadre de l'aide aux entreprises d'édition imprimée ou numérique".
Les Nouvelles Éditions Sutton, dont le siège social est à Tours, ont gardé leur ligne éditoriale historique, publiant principalement des ouvrages d'histoire locale, régionale ou nationale.
"Mémoire en Images" est la plus ancienne des collections de la Maison. Elle a permis la publication de plus de 2000 livres retraçant l'histoire locale (XIXe et XXe siècles) des villes et villages de France. Ces ouvrages sont élaborés par des auteurs locaux à partir d'archives photographiques (cartes postales anciennes, photographies familiales, fonds publics ou privés, etc.). L'image y occupe une place prépondérante. Elle se décline aussi en ouvrages thématiques (guerres, grands personnages, transports...), en études complètes du XXe siècle (chronique d'un siècle) ou des Trente Glorieuses (1945/1975), et enfin en titres publiés sur certaines villes ou régions d'ailleurs, notamment Alger, Tunis, Madagascar, La Nouvelle-Calédonie…
Des mondes à faire
Fondées en 2015 à Vaulx-en-Velin, les Éditions des mondes à faire
ont pour volonté de rendre compte à la fois de la perpétuelle métamorphose des mondes dans lesquels nous vivons et de la part que nous prenons à leur instauration. Chacun des livres que nous publions constitue une expérience collective et singulière, où la philosophie, la politique, l’histoire, les sciences, les savoir-faire, l’art et la fiction sont l’expression d’une pensée vivante.
Dans leur forme comme dans leur élaboration, ces livres sont le fruit de recherches indissociablement graphiques, narratives et politiques, qui oeuvrent à donner consistance aux mondes dans lesquels nous voulons habiter.
Feryane
Chloé des Lys
Créées en 1999, les Editions Chloé des Lys sont situées à Barry, dans la « couronne verte » de la ville de Tournai. Elles publient romans, nouvelles, poésies, témoignages à compte d’éditeur.
Atypique dans le paysage du monde de l'édition, notre maison est pilotée par des bénévoles, eux-mêmes écrivains donc sensibilisés aux problèmes que les auteurs rencontrent au jour le jour.
Si nous avons choisi de ne pas limiter notre ligne éditoriale, nous ne publions que les textes de qualité qui sauront trouver leur place auprès des lecteurs.
Ethique, entraide, écoute restent le credo de notre maison d'édition. Nous évoluons sans cesse afin de coller aux exigences d'un monde éditorial en perpétuelle mutation.
Corridor Bleu (Le)
Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.
La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.
Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien. Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.
Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.
Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.
Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.
L'Age d'Homme (Editions)
La maison d'édition L'Age d'Homme est fondée en 1966 à Lausanne par Vladimir Dimitrijevic. C'est sans doute à L'Age d'Homme, forte aujourd'hui de 4000 titres, que nous devons de ne plus réduire la littérature russe aux seuls noms de Dostoïevski , de Tolstoï ou de Gorki. Grâce à la collection «Classiques Slaves», les lecteurs ont pu découvrir les œuvres majeures du symbolisme russe, celle d'André Biely (Pétersbourg,
La Colombe d'Argent, Kotik Letaiev), d'Ossip Mandelstam, d'Alexandre Blok ; des auteurs aussi considérables que les polonais Witkiewicz ou Ladislas Reymont ; les écrits esthétiques de Malévitch, les essais et les romans de Zamiatine, de Leskov ou de Boris Pilniak. De Ivo Andritch et Dobritsa Tchossitch aux chefs-d'œuvre d'Alexandre Zinoviev, la collection «Classiques Slaves» qui compte aujourd'hui plus de 500 titres, a permis de faire connaître un immense patrimoine littéraire que le «réalisme-socialiste» n'avait pas réussi à étouffer.
Prise de parole
« Ancrées dans le Nouvel-Ontario, les Éditions Prise de parole appuient les auteurs et les autrices de la francophonie canadienne. »
Ce mandat reflète la volonté de la maison de stimuler, à partir de Sudbury, la création littéraire en milieu minoritaire et la réflexion portant sur ces milieux, et ce, à l’échelle canadienne. La maison publie romans, récits, contes et nouvelles, poésie et théâtre, ainsi que des études et des essais en sciences humaines et sociales. Elle pérennise ses œuvres les plus marquantes dans la Bibliothèque canadienne-française.
Elle rend accessibles, par la traduction, des œuvres importantes d’autrices et d’auteurs canadiens-anglais et des Premiers Peuples.
Par ses activités de publication et d’animation, elle développe un espace littéraire en français toujours plus dynamique au pays.
La maison publie 17-18 ouvrages par année. Depuis 1973, année de sa fondation, elle a publié 475 titres de 200 auteurs et autrices.
Nord Avril
Losfeld (Joëlle)