Abordo: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
« A bordo ! » « (Montez) à bord ! »
Par cette injonction, nous vous invitons au voyage, à venir avec nous à la découverte de poésies nouvelles, ou à la redécouverte d'auteurs disparus dont la parole est toujours en résonance.
En gardant le cap d'une ligne éditoriale originale et singulière, nous appuyant sur la volonté d'affirmer l'acte poétique comme un lieu de réflexion et d'expression esthétique, nous fabriquons des livres qui privilégient les écritures vivantes, ouvertes sur le monde.
« Ne chantons pas la rose, faisons-la refleurir ! »
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Maisons d'éditions similaires :
Nats éditions
Leha éditions
Leha, une jeune maison d’édition des littératures imaginaires pas comme les autres.
Un peu pompeux comme accroche ? Peut-être si vous ne nous connaissez pas encore, mais ce n’est pas l’esprit. L’esprit de Leha, c’est l’envie de donner un souffle nouveau et puissant à un genre littéraire qui tient à cœur à son équipe : l’imaginaire. Et pour cela, nous avons décidé de rompre avec les positionnements traditionnels en éditant aussi bien des romans que des guides de voyages (dans des mondes imaginaires bien sûr) ou des jeux de rôle. Notre volonté est de trouver des auteurs et des écrits d’excellence dans chacun de ces modes de narration et, quand cela a du sens, croiser ces univers créatifs. Par exemple transposer un roman dans un jeu de rôle, noveliser une bande dessinée et la transformer à cette occasion en jeu de rôle, inviter un auteur de jeu de rôle à écrire un guide de voyage ou un roman, etc…
Leha est très heureuse de constater que ce positionnement constitutif de son ADN fait l’objet depuis de quelques adaptations chez certains de ses éminentes consœurs.
Autre singularité dans son positionnement, dès le départ, Leha a choisi d’éditer des auteurs à tous les stades d’avancée de leur carrière : écrivain « star », débutant ou encore auteur talentueux déjà édité et en quête d’une meilleure visibilité auprès du public.
Cette approche singulière de Leha est expliquée par son éditeur dans le cadre d’interviews accordées dans les medias à son lancement en 2017.
Impressions nouvelles (Les)
Fondées en 1985 et riches d’un catalogue de près de 350 titres, les Impressions Nouvelles sont une maison d’édition indépendante et généraliste, ouverte à tous les médias qui façonnent la vie contemporaine.
L’ambition des Impressions Nouvelles est au moins double.
D’une part, la maison publie des textes de création et de réflexion littéraires : roman, poésie, reportage, autobiographie, mais aussi essai littéraire. Les fictions et les analyses publiées par les Impressions Nouvelles allient souci du style et enjeux sociaux, culturels, politiques ou philosophiques. Le parti pris des mots y va de pair avec le compte tenu des choses.
D’autre part, les Impressions Nouvelles accordent une large place aux images et éditent des essais sur les grands médias de la culture moderne : bande dessinée, cinéma, photographie, télévision, mais aussi architecture, philosophie, sociologie, esthétique. Dans tous ces domaines, les Impressions Nouvelles publient des livres qui allient lisibilité, goût de l’engagement et désir de vulgarisation intelligente.
Par l’attention accordée à la qualité du livre comme à celle de l’écriture et des images, par la volonté d’intervenir dans les débats les plus actuels, mais aussi d’accompagner des auteurs dans la durée et de construire une politique à long terme, les Impressions Nouvelles s’imposent comme un acteur important de l’édition en langue française.
Doucey éditions
Mers du Sud
Pierre Philippe
La maison, créée en 2011, est une structure indépendante qui ne publie que des romans.
Tous nos auteurs sont publiés à compte d'éditeur.
Asphalte éditions
Cerisier
« Quand c’est arrivé, il y avait presque dix ans que nous faisions du théâtre-action, au Théâtre des Rues. Cela veut dire que nous écrivons collectivement nos textes. Nous écrivons aussi, avant qu’elles les jouent, avec des personnes pas du tout habilitées à le faire : des ouvrières, des féministes, des jeunes, des immigrés, des syndicalistes, des chômeurs, des étudiants.
En 1985, nous avions la conviction (peut-être s’est-on trompé, mais tant mieux) que ces textes ne trouveraient aucun éditeur alors que nous voulions - avant de, peut-être, céder la place - laisser une trace.
Les Editions du Cerisier sont nées ainsi, et l’esprit qui les hante ne peut que se rapprocher de celui du théâtre-action. L’envie qui prime est de publier une littérature prolétarienne. Pour autant que ce terme ne soit pas en coma dépassé. Pour autant aussi qu’il soit renoncé aux querelles sur la pureté ou l’impureté prolétarienne probable ou improbable de l’auteur.
Donc les Editions du Cerisier publient, par privilège et prédilection, des romans, des nouvelles, du théâtre, des essais qui, sans fard, traitent de la société d’aujourd’hui.
Pour nous, être à l’écoute de la littérature sociale c’est un engagement, pas un dogme. C’est cette ligne éditoriale qui fait qu’un éditeur est un petit rien de plus qu’un fabricant. »
Vedrana éditions
Vedrana Editions est une maison d'édition graphique placée sous le signe de la nouveauté, accueillant divers auteurs et illustrateurs.
Le quotidien, les sentiments, l'humour, le questionnement, les rencontres sont
des éléments forts qui inspirent l'originalité de nos livres, au travers de narrations diverses.
Nos livres offrent une vision sensible et poétique du rapport texte-image.
Ils les confrontent en leur donnant un troisième sens.
Incitant ainsi le lecteur à s'interroger sur le sens de l'image, le sens du texte, amenant en conséquence une triple lecture.
Trois collections :
-Sous un trait de type naif, avec des images plus abstraites et un travail de la matière, utilisant des éléments de récupération intégrés dans les images (un vieux papier, un pétale de fleur ramassé au détour d'une rue...), la Collection du Chapeau est basée sous la thématique de la poésie et ne narre pas forcément des histoires avec des actions, mais davantage des recueils d'impressions.
-Ici on conte les histoires de mer agitées remplies de poissons abandonnés, de barrière franchissable (mais seulement avec un parapluie), d’usines à cœur ... Réécrire des histoires à travers des symboles, une mise en page, un trait. On retrouvera surtout une recherche du symbole dans la Collection Porte-Manteau, comment utiliser un symbole pour faire passer un message, comment s’approprier un symbole.
Dans ces deux collections, nous poussons le lecteur à trouver, lier et relier les éléments pour constituer lui-même sa propre lecture, créant ainsi un nouveau langage.
-La troisième collection accueille des hybrides et ovnis littéraires.
Nous ne nous adressons pas à des tranches d'âge, mais à des sensibilités.
Corridor Bleu (Le)
Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.
La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.
Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien. Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.
Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.
Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.
Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.
Modalité d'envois
Uniquement poésie contempoiraine et écritures actuelles.
- Collection "L'Appel du Large" : Écritures actuelles - Jeunes auteurs (premier livre publié).
- Collection "Quan Garona monta" : Auteurs d'aujourd'hui - Récit, prose poétique.
- Collection "La Lanterne du passeur" : Auteurs disparus dont la poésie est encore vivante aujourd'hui (proposer un receuil retravaillé - compilation, traduction, préface, ...).
Hors collection : Poésie contemporaine.