André Frère: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Cofondateur et éditeur chez Images En Manœuvres Éditions, après avoir obtenu en 2011 le prix Nadar avec Jean Christian Bourcart pour l’ouvrage Camden et en juillet 2012 le «Prix du livre historique» aux Rencontres d’Arles pour l’ouvrage Les livres de photographie d’Amérique Latine de Horacio Fernandez, il crée en 2013 André Frère Éditions, maison spécifiquement axée sur le champ de la photographie qui publie entre 6 et 10 titres par an, 75 titres au catalogue à ce jour.
André Frère Éditions édite des ouvrages monographiques de photographes de renom mais aussi de nombre de photographes émergents, il développe parallèlement une collection de livres d’entretiens « Juste entre nous » avec aujourd’hui sept titres réalisés.
Issu des arts graphiques et directeur artistique de formation, André Frère s’est toujours attaché dans ses productions à explorer le travail de la forme, des matières et du graphisme, chaque livre est adapté au travail du photographe afin de le servir et de l’exprimer au mieux.
André Frère Éditions est diffusé par Pollen/Cedif pour la France et pays francophones et par IdeaBooks, basé à Amsterdam pour l’international il participe à de très nombreux salons et festivals en France et à l’étranger.
André Frère Éditions est une marque de l’association Ce qu’il nous reste à voir.
Contact
Site Web
https://www.andrefrereditions.com/Téléphone
0491331172Adresse
42, rue Saint Saëns, 13001 Marseille FranceSite Web
https://www.andrefrereditions.com/Téléphone
0491331172Adresse
42, rue Saint Saëns, 13001 Marseille FranceMaisons d'éditions similaires :
Imago
Imago, comme image, imaginaire… Marie-Jeanne et Thierry Auzas fondent, en 1977, les Éditions Imago.
Avec une vingtaine de titres par an, la maison compte aujourd'hui à son catalogue plus de trois cents titres. Privilégiant le croisement des disciplines, Imago publie des ouvrages de référence — faits de société, ethnologie, histoire, psychanalyse, critique littéraire — destinés à l'« honnête homme », au large public cultivé, avec une prédilection toujours vive pour les sujets insolites, curieux et rares…
L'Echappée belle édition
L’échappée belle est une maison d’édition fondée en 2010 à Paris par Florence ISSAC.
Elle se veut :
- introspective, donnant tout son relief à un langage de l’intériorité et de l’émotion ;
- humaniste et engagée, proposant un regard généreux sur le monde et les Hommes et leurs infinies virtualités ;
- plateforme collaborative et solidaire.
Avec pour ligne d’horizon la recherche de la beauté : beauté des mots (poésie, nouvelle, théâtre) ; beauté des artéfacts matériels (architecture et design, photographie) ; beauté de l’âme et du corps (danse, bien-être).
Vlb
Archipel (L')
Liana Levi
Coop Breizh
Depuis vingt ans, Coop Breizh est devenu éditeur dans le double but de renforcer ses structures et d’offrir aux auteurs et aux lecteurs une image à la fois traditionnelle et moderne de la littérature bretonne.
Avec un programme d’environ trente nouveautés par an, le secteur édition représente environ 45% de l’activité livres. Les principaux domaines abordés sont les contes et légendes, l’histoire, les beaux-livres, la jeunesse et la littérature. Au rythme de 10 à 15 nouveautés par an, tant sous forme de productions pures que de licences, Coop Breizh est aujourd’hui le premier label de Bretagne.
Ocrée (éditions)
Gope éditions
Création en 2009, suite à une expérience de traduction et une volonté de partager avec le plus grand nombre possible un livre qui sortait de l’ordinaire (Trois autres Thaïlande).
L’existence des Éditions GOPE se justifie par le constat suivant :
- il y a des gens qui s’intéressent à l’Asie du Sud-Est et à ses littératures ;
- l’offre en livres concernant cette zone géographique est vraiment très limitée, tout aussi bien en ce qui concerne les genres proposés que la quantité ;
- l’offre existante en auteurs thaïlandais, malais, philippins et indonésiens est de bonne qualité, mais représente une goutte d’eau dans l’océan qu’est la production des gros éditeurs (même spécialisés) et elle manque cruellement de visibilité et de mise en contexte ;
- il existe en Asie du Sud-Est un vivier d’auteurs natifs ou expatriés qui, sans pouvoir prétendre au prix Nobel de littérature, n’en sont pas moins capables d’écrire correctement sur des sujets et/ou cadres qu’ils connaissent bien ;
- nous souhaitons faire partie des acteurs de la francophonie et contribuer à la présence du français en Asie du Sud-Est.
Archibooks
Notre département d’édition sous le nom d’Archibooks a été créé en 2006, avec déjà plus de 300 titres au catalogue.
Le rythme de parution est de l’ordre d’une trentaine d’ouvrages par an et l’activité éditoriale est exclusivement consacrée aux contenus associés à la pratique de l’architecture contemporaine et de l’urbanisme. Dans le but de contribuer à mieux faire connaître la « culture » du projet, architectural ou urbain, ainsi que les actions de nombreux maitres d’ouvrages, se développe un contenu précis sur l’aménagement et le renouvellement urbain de sites emblématiques. Les livres sont conçus en collaboration avec les architectes, maitres d’ouvrage, constructeurs et institutions.
Nos livres sont diffusés en librairies par la SODIS (Groupe Gallimard) et présents dans un millier de points de vente en France et à l’international.
Cinquième Couche (La)
La Cinquième Couche est une maison d'édition belge indépendante. La Cinquième Couche, dite aussi 5c, publie essentiellement de la bande dessinée depuis 1993.
Fondée par un groupe d'auteurs de l'atelier de bande dessinée de l'Institut Saint-Luc de Bruxelles (Damien Rocour, Sarah Masson, Michel Squarci, Sibylle Loof, Olivier Fable, Vincent Dutreuil, Nicholas Wood, Sébastien Kempenaers, Christophe Poot, Renaud De Heyn et Xavier Löwenthal), elle demeure jusqu'à la fin des années 1990, un groupe informel qui auto-publie ses productions. Ce n'est qu'au tournant des années 2000 qu'elle devient une réelle structure d'édition. Elle est actuellement pilotée par William Henne.
Cinq collections ont été créées : F., Extracteur, écritures, ESSAIM et Point métal.
En 2016, le catalogue compte 110 publications (5 revues publiées entre 1993 et 1998 et le reste publié à partir de 1999), par une soixantaine d’auteurs, provenant d’une dizaine de pays différents (Belgique, France, Suisse, Allemagne, Autriche, Portugal, Grèce, Finlande, États-Unis, Corée…)
La 5e Couche n’a jamais clairement définit sa ligne éditoriale a priori, sinon qu’en redéfinissant sans cesse son média, elle inscrit la bande dessinée dans les pratiques contemporaines (Tout ce qui frôle la bande dessinée et tend à l’en éloigner intéresse la 5e Couche, extrait du catalogue). Cependant, on peut dégager une tendance lourde en survolant le catalogue de l’éditeur : l’approche conceptuelle. Les publications procèdent majoritairement d’un dispositif narratif ou graphique d’ordre ludique, spéculatif, théorique, poétique ou auto-référentiel, qui préside au propos de l’auteur. Alors certes ce sont des dispositifs que l’on pourra trouver ailleurs (que ce soit en bande dessinée, en littérature ou dans les arts visuels), mais il y a incontestablement, dans les choix du comité éditorial, une inclination jubilatoire pour les jeux sur le langage et les codes visuels : les détournements, les mises en abîme, les structures narratives renversées et/ou systématiques, le jeu sur les contraintes, la déconstruction du récit, la parodie, les postulats surréalistes (poétiques, insolites, absurdes), la déconstruction de l’image, le rapport texte/image dissocié, l’abstraction, le récit métaphorique, la structure musicale, l'imposture,... Tous ces dispositifs formels n’oblitèrent pas les propos de leurs auteurs, au contraire, ils les réactivent : en abordant un thème, déjà mille fois traité, sous une forme renouvelée ou inusitée, l’auteur met en avant son sujet, qu’il soit politique, autobiographique, philosophique ou social.
Cette inclination conceptuelle et ludique n’escamote pas non plus les préoccupations formelles purement rétiniennes des auteurs : couleur, matière, techniques, texture, forme, dessin, composition… (ce sont des aspects traditionnels et modernistes déjà très présents chez d’autres éditeurs, y compris plus classiques).
De même que La 5e Couche participe d’une tendance générale de ces dernières décennies, le décloisonnement. Les livres publiés par la 5C sont pour la plupart à la lisière de la bande dessinée. Les auteurs publiés investissent le plus souvent d’autres disciplines et cela se répercute sur leur pratique de la bande dessinée : le théâtre, la performance et l’installation, la musique, la peinture, la sculpture, le graphisme, la sérigraphie, le cinéma d’animation et la vidéo, le dessin contemporain, la photo, l’affiche, la littérature,… (cet aspect n’est pas forcément spécifique à La 5e Couche et se retrouve chez de nombreux auteurs publiés ailleurs).
Quelques épisodes marquant ont jalonné l’histoire de la 5C : de 2004 à 2007, elle a repris à son catalogue la revue de littérature contemporaine écritures. De 2010 à 2013, elle a publié également la revue "Soldes, Fins de Séries", de Marc Borgers et Jean-Louis Sbille. Elle a été l'éditeur de la Bande dessinée Katz, détournement controversé de Maus, de Art Spiegelman, dans lequel l'auteur anonyme (Ilan Manouach) avait remplacé toutes les têtes des différentes espèces représentées par des têtes de chats. La 5e Couche est aussi l'éditeur de Judith Forest, succès de la bande dessinée féminine, en réalité une imposture littéraire de ses éditeurs de l’époque, William Henne, Xavier Löwenthal et Thomas Boivin.
Texte du catalogue : La bande dessinée est une forme contemporaine parmi d'autres.5C la tient en haute estime, elle et ses lecteurs. Tout ce qui frôle la bande dessinée intéresse La 5e Couche et tend à l’en éloigner. Son champ d’action est, par définition, poreux et illimité. Il ne serait pas étonnant de trouver, parmi ses livres, un précis d’urbanisme tatare ou de dodécaphonisme bantou, pourvu qu’ils s’articulent. Deux images / photos / mots etc. peuvent suffire à établir une articulation narrative. 5C montre. Du jamais vu, jamais comme ça, s’il en est.
5C agence. 5C fomente les conditions qui rendent la création possible. 5C n’a pas de cible. Son manifeste, ce sont ses livres.
Dès l’origine, le sens fusait de toutes parts. Parce que le sens n’est pas dans l’ordre des causes et des conséquences jusqu’au dénouement. Parce que le sens n’est pas dans l’élucidation. Comme un robot privé de sa fonction : il est inutile et libre. 5C aujourd’hui, c’est un catalogue de plus de vingt ans de publications, depuis les expériences collectives du groupe initial jusqu’aux livres d’aujourd’hui. Vous le tenez entre vos mains.