Annuaire d' éditeur / Atelier (Éditions de l')
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Atelier (Éditions de l')

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1929

Les Éditions de l’Atelier, un éditeur indépendant depuis plus de 90 ans !

Éditeur indépendant depuis sa création en 1929, sous le nom des Éditions Ouvrières, les Éditions de l’Atelier publient une trentaine de titres par an dans les domaines de l’histoire, de l’économie, de la politique, de l’éthique, de l’éducation, de la connaissance des religions et de l’expression d’un christianisme impliqué dans la société.

Elles éditent le Maitron, Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier et du mouvement social ; formidable outil de mémoire de toutes celles et ceux qui ont contribué aux avancées politiques, sociales et intellectuelles de notre temps (60 volumes, 150 000 biographies de militants connus et inconnus).

Cultivant l’humain et croisant les savoirs dans des domaines de la vie en société, des cultures et des religions, les livres des Éditions de l’Atelier mettent en valeur les recherches, initiatives novatrices et les récits qui permettent une émancipation humaine par la culture, la relation aux autres, le lien entre le passé, le présent, et l’avenir. Nos livres s’inscrivent dans une démarche d’éducation populaire visant à augmenter les capacités d’être des personnes afin de favoriser la transformation du monde vers plus de démocratie, de justice, d’égalité et de fraternité.

Contact

contact@editionsatelier.com

Téléphone

0145152020

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51-55 rue Hoche Bât. B Hall 1 Étage 3, 94200 Ivry-sur-Seine
France

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Service des manuscrits
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Maisons d'éditions similaires :

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Favre

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1971
Fondées en 1971, affiliées au groupe Libella depuis 2012, les Editions Favre ont publié à ce jour environ 1500 ouvrages. Distribuées en France, Suisse, Belgique et au Canada, elles éditent une cinquantaine de livres par année, qui s’articulent autour des collections décrites ci-dessous. Notre maison s’attache principalement à publier des ouvrages destinés au grand public, reflétant des points de vues différents, sans parti pris.
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Droz

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1924

Telle fut la notice qui figura longtemps en tête des catalogues de la maison d'édition.

II fallait de l'intelligence, du cran et du caractère à une femme pour fonder et diriger une maison d'édition dans le Paris des années folles. C'est en décembre 1924 exactement que la neuchâteloise Eugénie Droz, alors âgée de trente et un ans, publia ses premiers livres, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle.

Ce fut bientôt l'inévitable VIe et le 25 rue de Tournon, dans cette maison donnée par un roi à un poète.

L'érudite demoiselle resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève.

Dès l'origine l'ancrage genevois de la maison était inscrit, sinon dans les astres, du moins sur la page de tous les titres, puisqu'Eugénie Droz avait choisi comme marque celle de l'imprimeur Jean de Stalle, actif à Genève de 1487 à 1493, et dont le troisième et vraisemblablement dernier livre, un Ars minor de Donat édité par Antonio Mancinelli, qu'il imprime le 15 mai 1493, fut le seul à porter la marque aux quatre putti tenant son propre monogramme.La seule modification qu'osa l'éditrice moderne fut de remplacer les initiales I.S. par les siennes.

Plus tard, elle voulut que son affaire restât genevoise et, en 1963, c'est à deux jeunes historiens aux intérêts complémentaires, Giovanni Busino et Alain Dufour, qu'elle céda la société. Ils perpétuèrent l'audience scientifique de la maison. En 1966 eut lieu le dernier déménagement; le 11, rue Firmin-Massot étant depuis l'adresse de la Librairie Droz S.A.

Depuis 1995, une troisième génération a pris la relève et Max Engammare dirige les destinées de la Librairie Droz.

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Eyrolles

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1925
3000 livres au catalogue dont 420 publiés par an
Le Groupe Eyrolles est une société indépendante, présidée par Serge Eyrolles, petit-fils du fondateur. Sous les marques des Éditions Eyrolles et d'Organisation, le Groupe Eyrolles se positionne, en France, comme l'un des premiers éditeurs professionnels, leader en sciences et techniques de l'ingénieur et en gestion de l'entreprise, informatique, photographie, graphisme, mode, vie pratique, développement personnel et loisirs créatifs. La diffusion de ce catalogue s'appuie sur Geodif, une force de vente spécialisée, qui diffuse une centaine d'autres éditeurs. Le Groupe Eyrolles possède un réseau de librairies et une librairie en ligne. Il emploie plus de 230 personnes, pour un chiffre d'affaires global de 55 millions d'euros en 2013.
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Complicités

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1991

Les éditions Complicités ont été fondées en 1991 par Chantal Vieuille, formée par l'éditeur Robert Morel puis devenue, entre autres, une collaboratrice de Christian de Bartillat alors éditeur chez Plon.

Au fil des années, la maison d'édition a développé un catalogue de livres autour de plusieurs collections où l'art se mêle à la littérature. La maison d’édition a ensuite été cédée en 2008 à Patrick Ardoin, auparavant patron de presses, qui a mis en place une nouvelle dynamique commerciale, de nouvelles ambitions, notamment en faveur de l'édition numérique.

Tout en poursuivant cette volonté de servir la culture de l'écrit, en utilisant les moyens technologiques mis à sa disposition. Après 8 années à la direction de la maison, Patrick Ardoin a choisi de se concentrer sur ses activités associatives et notamment la présidence de Teriya Amitié Mali. Il a donc cherché un successeur.

Désormais reprise par Olivier Petot, celui-ci poursuivra le développement de la maison dans le respect des fondements mis en place par ses glorieux prédécesseurs. Olivier Petot a créé en l’an 2000 les Editions Publibook et y a travaillé pendant 16 ans.

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Albin Michel

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1900
6000 livres au catalogue dont 500 publiés par an
Fondée en 1900, Albin Michel est une des rares maisons d'édition françaises encore indépendante.  Au fil des années, le groupe familial Albin Michel s'est étoffé avec l'acquisition de Magnard/Vuibert (dont Delagrave, Casteilla et Librairie des écoles), 40% de LGF/Le Livre de poche (contrôlé par Hachette) et le diffuseur-distributeur Dilisco pour constituer l'un des dix principaux acteurs du marché de l'édition française avec environ 500 salariés. La maison compte à ce jour 6 000 titres à son catalogue et publie 500 nouveautés  par an. Abondamment présentes  à chaque rentrée littéraire, les éditions Albin Michel font confiance aussi bien à des auteurs débutants que confirmés.
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Privat

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1839

Créées à Toulouse en 1839, les Éditions Privat restent une des rares maisons d’édition françaises implantée en région à rayonnement national.

Situées en plein coeur du centre historique de Toulouse au 10 rue des Arts, elles sont aujourd'hui complètement distinctes de la librairie Privat située 14 rue des arts à Toulouse.

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Cosmopole

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1998

En 1998, les éditions Cosmopole commencent par publier des récits de voyage et d’histoire. Au fil des ans, des biographies historiques de grands personnages de l’épopée napoléonienne ainsi que des dictionnaires ont enrichi le catalogue.

En 2008, la maison est reprise ; l’accent sera mis sur l’histoire et la découverte avec la publication de récits d’exploration. Le vrai tournant est pris en 2010 avec la création d’une collection élégante et originale, « Les dictionnaires insolites », dirigée par Vanessa Pignarre et Patrick Arfi. Cette collection a d’abord proposé un voyage différent, à travers les mots, dans des pays, des régions et des villes du monde entier.

Le succès des dictionnaires insolites tient à tous ceux qui ont œuvré à la conception des livres, les auteurs (journalistes, universitaires, écrivains ou encore expatriés) qui apportent leurs connaissances et laissent entrevoir leur personnalité, et les graphistes, Karin Doering-Froger puis Amélie Pignarre, dont le talent et l’imagination ne se sont pas démentis.

En 2021, la collection s’ouvre à la déclinaison de thèmes culturels comme les rapports des humains aux chats, la problématique des frontières, l’attrait pour la mer, l’insularité…

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Klincksieck

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1842
900 livres au catalogue dont 30 publiés par an
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Calmann-Lévy

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1836
1800 livres au catalogue dont 100 publiés par an
Calmann-Lévy est une maison d'édition française fondée en 1836 par Michel (1821-1875) et Kalmus — dit « Calmann » — Lévy (1819-1891), de Phalsbourg en Moselle, sous la raison sociale « Michel Lévy frères », devenue « Calmann Lévy » après la mort de Michel en 1875. Elle fait partie du groupe Hachette depuis 1993. Elle est dirigée depuis mai 2016 par Philippe Robinet.
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