Annuaire d' éditeur / Chronique Sociale
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Chronique Sociale

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1892
Fondée à Lyon en 1892, elle est à la fois un organisme de formation, un lieu d'échange, de confrontation, de recherche, et une maison d'édition.
Ces trois secteurs d'intervention s'avèrent d'ailleurs complémentaires : pas d'édition sans formation, ni de formation sans recherche. Juridiquement, la Chronique est, à la fois, une association régie par la loi de juillet 1901 et dirigée par un Conseil d'Administration (créé en 1967) pour ses activités de formation et de recherche, et une Société anonyme à responsabilité limitée (SARL créée en 1920) pour l'activité édition.
Les deux structures sont liées juridiquement et travaillent en synergie au quotidien pour mettre en oeuvre le même projet.
Historiquement, la Chronique Sociale s'est préoccupée, dès ses origines, de sensibiliser le grand public aux évolutions de la société en suggérant une organisation de la vie collective plus solidaire et plus respectueuse des personnes.
Sa spécificité - et son originalité - consistent à privilégier la culture de proximité et l'échange d'informations en faisant appel à celles et ceux qui ont enrichi un savoir théorique initial par un savoir-faire de terrain ou l'inverse.
Elle s'adresse, en retour, à tous les acteurs d'humanité soucieux de mieux comprendre le monde en vue de le servir mieux, depuis leur propre épanouissement jusqu'à leur action au sein des organisations et au sein de la société.

Contact

Téléphone

0478372212

Adresse

1, rue Vaubecour, 69002 Lyon
France

Dépôt de manuscrits

Par internet:

secretariat@chroniquesoci ale.com

Maisons d'éditions similaires :

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Gallimard

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1911
30000 livres au catalogue dont 800 publiés par an
Créées en 1911, les Éditions Gallimard, nées de la célèbre Nouvelle Revue Française, sont dirigées par Antoine Gallimard, le petit-fils du fondateur, et présentent un large catalogue en littérature française et étrangère et en sciences humaines, au travers de nombreuses collections ("Blanche", "Folio", "Série Noire", "Du Monde entier", "Bibliothèque des Histoires", "NRF Essais", "La Pléiade", etc), d'auteurs du fonds comme Camus, Sartre, Beauvoir et Foucault, et d'auteurs contemporains internationalement connus comme le Prix Nobel de Littérature J.M.G. Le Clézio mais également Philip Roth, Muriel Barbery et bien d'autres. Le groupe Gallimard réunit plusieurs filiales et marques d'édition : Denoël, Mercure de France, Gallimard Jeunesse, Verticales, Alternatives, Gallimard Loisirs, La Table Ronde, P.O.L, Joëlle Losfeld, Futuropolis'
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ESF Editeur

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1928

ESF Éditeur publie depuis 1928 des guides et ouvrages de référence dans le domaine de l’action sociale. Rédigés dans un langage clair et accessible par des auteurs experts, ils offrent aux professionnels de l’action sociale l’assurance de disposer de toute l’information indispensable pour mener à bien leur mission.

La qualité des produits ESF Éditeur s’appuie sur 5 engagements : des ouvrages et services pratiques, accessibles, exhaustifs, objectifs et toujours actualisés. Une cellule spécialement dédiée à la Relation Clients nous permet de connaître parfaitement les attentes de nos clients et de mener régulièrement des enquêtes de satisfaction. Pour nos chargés de clientèle, « chaque client est unique et chaque dossier est traité de manière spécifique » que ce soit par courrier, par téléphone ou par e-mail.

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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Souffle d'Or (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1983

Après avoir passé plus de 20 ans à Barret-sur-Méouge, un village rural de basse montagne de 250 habitants, le Souffle d’Or a transféré ses bureaux et entrepôts à Gap, préfecture des Hautes Alpes. Yves Michel, gérant de la société, joue au jour le jour son rôle d’éditeur précurseur éclairé et rigoureux. Avec le soutien de la Région Provence Alpes Côte d'Azur, de la commune, de la Poste et des partenaires des environs, Le Souffle d’Or est un acteur de développement local. Son équipe est composée à ce jour de 6 personnes. 

Le Souffle d’Or est avant tout une maison d’édition indépendante de tout groupe financier et de tout groupe de pensée. Le Souffle d’Or est reconnu pour être précurseur, ouvert, non dogmatique et rigoureux dans sa démarche. Tous les concepts et outils proposés doivent pouvoir être débattus, et apporter des changements dans la vie quotidienne des lecteurs.

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Retz

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1975
En 1987, les éditions Retz ont été rachetées par Nathan puis intégrées comme une marque autonome au groupe d’édition Editis.
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InterEditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1978
230 livres au catalogue dont 27 publiés par an
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Hèbe (Les éditions de l')

Maison d'édition à compte d'éditeur
Les Éditions de l'Hèbe souhaitent incarner une dynamique culturelle romande francophone grâce à leurs neuf collections.
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Fleurus

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1946
4500 livres au catalogue dont 700 publiés par an
Leader sur le marché des livres illustrés, Fleurus Éditions publie aussi bien des albums, des livres d'activités, des documentaires et des livres religieux que de la fiction jeunesse. Fleurus a également développé un catalogue adulte avec des livres de loisirs créatifs, cuisine, décoration, jeux, jardinage, nature, animaux et livres religieux. Plus de 1 000 titres sont désormais disponibles en version e-book. Fleurus Éditions et Fleurus Mame sont composés des marques Fleurus, Mango, Rustica et Mame.
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La joie de lire

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1937

L’histoire de La Joie de lire remonte à 1937, lorsque Paul Robert fonde à Genève la librairie du même nom. L’idée est pionnière et La Joie de lire devient l’une des premières librairies jeunesse d’Europe. Francine Bouchet en prend la direction dès 1981 et met sur pied plusieurs activités, dont les mercredis de lecture et le Prix Enfantaisie qu’elle lance en 1987.

Elle fonde la même année les éditions La Joie de lire, s’inscrivant ainsi dans la longue tradition suisse d’éditeurs-libraires engagés. «Je suis venue tardivement à l’édition », commente-t-elle.

Après quelques années en Faculté des Lettres, Francine Bouchet commence à enseigner et s’intéresse à l’approche junguienne de la psychologie. « Elles ont été mes années de formation en quelque sorte. J’ai beaucoup appris dans tous les domaines ». Un goût pour l’éclectisme qui se retrouve dans le catalogue qu’elle a étoffé de manière intuitive, « au gré des rencontres ».

Si l’éditrice fait confiance à son instinct et sait se laisser surprendre, certaines exigences demeurent. La qualité tout d’abord, du texte et de l’image, mais aussi beaucoup de créativité car si ses livres n’ont pas de fonction pédagogique, ils doivent avoir une valeur éducative.

Le livre comme espace de liberté, le livre comme « une proposition qui ne fournit pas de réponse ».

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J'ai lu

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1958
Créées en 1958, les éditions J'ai lu (groupe Flammarion), publient chaque année près de 400 nouveautés au format poche. La variété des titres et des genres, qui fait la richesse du catalogue, répond à l'ambition de J'ai lu d'offrir au plus grand nombre un panorama des différentes littératures actuelles. Ainsi, autour de la littérature générale qui accueille des auteurs français et étrangers, classiques ou contemporains, J'ai lu propose de la science-fiction, du fantastique, du policier, des romans sentimentaux, de l’ésotérisme, du bien-être et des romans érotiques. Les ouvrages J'ai lu sont disponibles dans les librairies, les points de vente spécialisés et les grandes surfaces, ainsi que sur les sites Internet de vente de produits culturels. Bonne lecture !
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