Annuaire d' éditeur / Ellipses Marketing
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Ellipses Marketing

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1973
7000 livres au catalogue dont 600 publiés par an
Ellipses est l'une des premières maisons d'édition universitaire françaises avec plus de 500 nouveautés par an et un catalogue riche de plus de 7000 références. Les ouvrages d'Ellipses couvrent tous les domaines de l'enseignement supérieur et du parascolaire et s'adressent aux élèves, aux étudiants, aux enseignants ainsi qu'aux bibliothèques, mais peuvent également intéresser un public élargi ou spécialisé.

Contact

export@editions-ellipses.fr

Téléphone

0145677419

Adresse

32, rue Bargue, 75740 Paris
France

Maisons d'éditions similaires :

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De Boeck Supérieur

Maison d'édition à compte d'éditeur
2000 livres au catalogue dont 160 publiés par an

Avec un catalogue de près de 2 000 livres et ebooks, et plus de 160 nouveautés publiées chaque année, De Boeck Supérieur est l’un des principaux éditeurs du Savoir en France et dans les pays francophones.

Nous vous proposons :

- des manuels et livres de référence pour les #étudiants de l’université et plus largement du supérieur, ainsi que pour les #chercheurs
- des livres pour les #professionnels (psychologues, métiers de la rééducation, managers, RH, enseignants…)
- des titres à destination du plus grand nombre, que vous soyez curieux ou passionnés : #vulgarisation scientifique, #parenting, #beaux livres…

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Grasset

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1907
5200 livres au catalogue dont 160 publiés par an
Grasset est un des leaders de l'édition-texte française de qualité : romans littéraires, essais et documents, littérature jeunesse. Fondées en 1907, les éditions ont 3 000 titres à leur catalogue et publient 180 titres en moyenne par an. Leur catalogue de fonds comprend des ouvrages d'André Malraux, François Mauriac, ou encore Jean Cocteau. Elles publient des auteurs français contemporains tels qu'Alexandre Jardin, Bernard-Henri Lévy, Michel Onfray, ou des auteurs étrangers tels que Gabriel Garcia Marquez, Umberto Eco ou Isabel Allende.
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Robert Laffont

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1941
6700 livres au catalogue dont 170 publiés par an
Depuis 1941, les éditions Robert Laffont s'illustrent dans tous les genres littéraires. Parmi nos auteurs à succès nous comptons des écrivains tels que Marc Levy, Marek Halter, Jean d'Ormesson, Paul Eluard, Frédéric Mitterrand, Ken Follett, Bret Easton Ellis, et Carlos Ruiz Zafòn. Julliard, la maison d'édition qui a fait connaître Françoise Sagan au grand public, a joint Robert Laffont en 1995 et continue de révéler les grands noms de la littérature contemporaine à l'instar de Mazarine Pingeot, Yasmina Khadra, et Jean Teulé. L'ambition de Robert Laffont n'a pas changé : toujours informer, émouvoir, et amuser, mais aussi étonner et provoquer ! Le groupe Robert Laffont rassemble quatre maisons d'édition : Robert Laffont, Julliard, Seghers, et Nil. Chaque année, ils publient 200 titres nouveaux et ce dans tous les domaines : romans français et étrangers, essais, documents, récits, mémoires, témoignages, biographies, poésies, théâtre.
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Bord de l'eau (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1993
Fondées en 1993 autour de la revue littéraire éponyme, les éditions LE BORD DE L’EAU se sont progressivement installées comme un éditeur en Région reconnu aux niveaux national et international. Notre ligne éditoriale, essentiellement consacrée aujourd’hui aux sciences humaines, se veut pédagogique, ancrée dans le présent pour mieux faire connaître le passé, pour comprendre le monde afin de contribuer à « faire société » pour reprendre les mots de Jaurès. « Transformer le monde » et/ou « changer la vie » — Marx et Rimbaud réunis… — voilà le terrain des idées que nos livres cherchent à féconder… Nous ne renonçons pas à l’exigence de sens, à sa construction collective… à donner à lire et à relire des textes donnant accès à des outils de résistance intellectuelle dans un monde qui se proclame si souvent univoque. « Je suis ce que je fais » écrivait Castoriadis… Nous souhaitons simplement contribuer, par nos livres, à la construction d’un « être collectif » agissant autant que possible les « yeux ouverts ».
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Écosociété Éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1992

Les livres peuvent-ils changer le monde ? Lire, réfléchir et agir sont les trois verbes qui animent Écosociété en travaillant autour de deux pôles intimement liés : cultiver les savoirs, ouvrir les possibles.

Fondée en 1992 par un groupe de militants convaincus qu’il était grand temps de défendre une société où l’écologie sociale serait une valeur cardinale, cette maison d’édition indépendante a fait le pari de la circulation des idées. Écosociété est une œuvre collective, traversée par des énergies diverses, des tempêtes et des envolées, des têtes fortes infatigables. 

Avec la conviction que le grand public a soif de livres d’idées, et pas seulement de divertissement, Écosociété publie des livres à la fois exigeants, audacieux et accessibles. Écosociété s’est donné pour mandat d’informer le public sur les grands enjeux écologiques et leurs liens intrinsèques avec les enjeux économiques, sociaux et politiques. Ancrée dans la réalité sociale et les grands questionnements qui la traversent, Écosociété alimente la réflexion et les débats au sein de l’espace public sur ces questions en rejoignant tant le grand public que les milieux plus spécialisés. Écosociété publie des auteurs francophones mais a également une longue tradition de traduction d’œuvres pour le public francophone.

Par son travail d’éditeur critique et indépendant, Écosociété a fait le pari d’essaimer et d’inspirer, en accompagnant avec soin et professionalisme ses auteur.e.s, une mission constamment renouvelée. Passeurs d’idées et de paroles originales, les livres de la maison suscitent des débats publics nécessaires et créent des liens pour rassembler ceux et celles qui souhaitent joindre l’action à la réflexion, et ce, afin de construire dès aujourd’hui les alternatives incontournables de demain.

La maison favorise la production et la diffusion d’ouvrages critiques, dans le but de définir les fondements d’une société plus conviviale et plus respectueuse des ressources de la biosphère, d’une démocratie plus proche des citoyennes et citoyens et d’une économie durable et sociale. Les thèmes de prédilection d’Écosociété sont l’écologie et le renouvellement de la pensée politique, sociale et économique, la démocratie participative, la santé, l’agriculture et la souveraineté alimentaire, les rapports nord-sud, l’économie capitaliste, la globalisation financière et la décroissance. Ces thématiques se déploient au sein de nos essais classiques et au sein de plusieurs collections, de « Théorie » à « Résilience », en passant par les collections « Parcours », « Polémos », « Retrouvailles » et « Guides Pratiques »...

Dans un souci constant de trouver un équilibre entre la dénonciation et la proposition d’alternatives, nous voulons donner aux lecteurs toutes les clefs d’analyse nécessaires tout en évitant un sentiment de découragement. Éditeur de fonds, nous prenons toujours nos décisions éditoriales en pensant à la pérennité des idées défendues. Nos livres sont diffusés au Canada par Dimedia et en Europe francophone par Harmonia Mundi Livre.

Écosociété est membre de l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) et de l'Alliance internationale des éditeurs indépendants. 

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Equateurs (Editions des)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2003
200 livres au catalogue dont
Créées en 2003 par Olivier Frébourg, écrivain et journaliste, les Éditions des Équateurs ont un catalogue de plus de 200 titres, axé sur la littérature, l’histoire et les documents d’actualité. Particulièrement sensibles aux jeunes écrivains, aux voyages et à la société contemporaine, elles publient notamment Sylvain Tesson (Petit traité sur l'immensité du monde; Géographie de l'instant), Flore Vasseur (Comment j'ai liquidé le siècle; En bande organisée), Isabelle Spaak (Ça ne se fait pas, Une allure folle), Hyam Yared (La Malédiction), Léonard Vincent (Athènes ne donne rien), Teresa Cremisi (La Triomphante), Jean-Paul Kauffmann (Outre-terre), Pierre Adrian (La piste Pasolini), et des auteurs américains comme Christopher Moore (Sacré Bleu) et B.J. Novak (Aura-t-on assez de temps au paradis pour voir Sinatra ?). Les Éditions des Équateurs se sont fait connaître en éditant le Rapport de la commission d'enquête sur les attentats du 11 septembre 2001 et l'intégralité de l'Histoire de France de Jules Michelet. Elles ont notamment publié Le manifeste Chap. Savoir-vivre révolutionnaire pour gentleman moderne de Gustav Temple et Vic Darwood, Underground de Julian Assange et Suelette Dreyfus et, tout récemment, En cherchant Majorana. Le physicien absolu d'Etienne Klein, Golden Holocaust. La conspiration des industriels du tabac de Robert N. Proctor, ainsi que les best-sellers Un été avec Montaigne (Antoine Compagnon) et Un été avec Proust (sous la direction de Laura El Makki), Un été avec Baudelaire (Antoine Compagnon), Un été avec Victor Hugo (de Laura El Makki et Guillaume Gallienne) en coédition avec France Inter.
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La Découverte

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1983
160 publiés par an
Fondées en 1983, les Éditions La Découverte ont pris le relais des Éditions François Maspero (elles-mêmes créées en 1959). Éditeur principalement de non-fiction, La Découverte publie des livres pour comprendre, des livres pour agir : dans notre monde bousculé et complexe, saturé d'informations et d'images, notre conviction est que le livre occupe une place essentielle. Qu'il s'agisse de se former professionnellement ou de s'informer pour lutter efficacement contre les scandales, les inégalités et les violences du siècle, l'accès aux travaux et aux réflexions des chercheurs, journalistes ou acteurs de terrain est plus que jamais indispensable. C'est d'abord cette conviction qui nous anime et qui guide nos choix éditoriaux.
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Riveneuve

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2001
40 publiés par an

Riveneuve : la maison d’édition indépendante qui raconte le monde aux Français et les Français au monde

Nées en 2001 au bord de la Méditerranée, quai Rive-Neuve dans le vieux port de Marseille, les éditions Riveneuve publient d’abord une revue littéraire : Riveneuve Continents, revue des littératures de langue française. Mais, déjà, le parti pris est celui de l’ailleurs, des nouvelles rives, des nouvelles frontières. Montées à Paris en 2007, elles deviennent généralistes en sciences humaines et en littérature largement ouvertes sur le monde.

En 2016 la maison déménage dans un espace plus grand – une ancienne boutique d’opticien dont elle conserve l’enseigne lumineuse, au 85 rue de Gergovie dans le 14e arrondissement. C’est l’occasion d’un nouveau souffle et d’un nouveau concept : Riveneuve ne fait pas seulement près d’une cinquantaine de livres par an diffusés et distribués par Interforum, elle tisse du lien social autour des livres, elle « fait société ». Expositions, conférences, débats, lectures-musicales, concerts, ateliers d’écriture ou de calligraphie, marché de Noël, etc., Riveneuve est aussi un petit centre culturel en plein 14e !
 

À l’échelle d’une petite maison d’édition indépendante, il s’agit de penser global et d’agir local. En pleine conscience qu’une part conséquente de la littérature de langue française – c’est-à-dire du monde multiforme de la francophonie ou en traduction – et des sciences humaines est générée par l’exil et le voyage, Riveneuve entend contribuer aux débats qui animent la société française au travers de destins engagés en Europe, en Afrique, en Asie ou aux Amériques. Riveneuve est à l’écoute de la part étrangère qu’il y a dans chaque Français comme de la part française qui existe dans chaque auteur étranger qu’elle publie. Il s’agit de raconter le monde aux Français et les Français au monde.

Plutôt qu’une ligne éditoriale, il s’agit d’un environnement culturel auquel participe le nouveau concept (Riveneuve Concept-Store), le nouveau logo, la bande son de Riveneuve (texte et musique d’HK), le nouvel espace (« la boutique »), les nouvelles collections, le nouveau site web, la nouvelle équipe.

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