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Distributed Art Publishers

Maison d'édition à compte d'éditeur
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Étoile du Matin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2018
1 livres au catalogue dont
Maison d'édition de livres chrétiens
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Seuil

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1935

"Publier des ouvrages qui permettent de comprendre notre temps
et d'imaginer ce que le monde doit devenir. "

 
 
L'ambition des fondateurs du Seuil est aujourd'hui intacte et plus utile que jamais. Fort de ces convictions, Le Seuil est désormais au premier rang des maisons généralistes, présent dans tous les domaines éditoriaux : littératures française et étrangère, thrillers et policiers, sciences humaines, documents, spiritualités, sciences, jeunesse et beaux-livres.

Créé en 1935, sous le double signe de l'engagement intellectuel et du catholicisme social, Le Seuil connaît son véritable essor à partir de 1945. Dès lors, Jean Bardet et Paul Flamand, les fondateurs, façonnent un catalogue ouvert à tous les secteurs de la création et du savoir. En 1979, Michel Chodkiewicz fait fructifier l'héritage des fondateurs et, à partir de 1989, Claude Cherki mène une politique de développement éditorial et commercial.

La fidélité à ses origines, au brassage des idées, l'attention portée à son époque ont favorisé le renouvellement de la maison. La dimension spirituelle s'est perpétuée avec les collections dirigées par Emmanuel Mounier, avec Paul-André Lesort, ou encore Teilhard de Chardin. Dans les années 1960, Le Seuil prend part aux débats liés à l'aggiornamento de l'Église.  Une réflexion sur la dimension sociale du religieux qu'aura approfondie Jean-Louis Schlegel.

Le secteur politique reflète les luttes et les contradictions du monde contemporain. Les combats en faveur de la décolonisation, la volonté de saisir "L'Histoire immédiate" à partir des années 1960 (Jean Lacouture puis Jean-Claude Guillebaud), le soutien apporté à la littérature dissidente d'Europe de l'Est (Soljenitsyne), "Combats" de Claude Durand ou encore "L'épreuve des faits" de Hervé Hamon et Patrick Rotman, marquent, jusqu'à la période récente, cette attention critique à l'actualité politique, ce que confirme l'investissement intellectuel de la maison dans toutes les disciplines des sciences humaines.

François Wahl a, entre autres, permis le succès de "L'Ordre philosophique" (avec Paul Ricœur, collection aujourd’hui dirigée par Michaël Foessel et Jean-Claude Monod)), du "Champ freudien" (avec Jacques Lacan). Jacques Julliard et Michel Winock fondent  "L'univers historique" en 1974 (aujourd’hui dirigée par Patrick Boucheron). Jean-Marc Lévy-Leblond reprend "Science ouverte". Sans prétendre à l'exhaustivité, il faut mentionner encore "La Couleur des idées" (Jean-Pierre Dupuy, Jean-Luc Giribone et Olivier Mongin), "La Librairie du XXe (puis du XXIe) siècle" (Maurice Olender), "Libre examen" (Olivier Bétourné), "Liber" (Pierre Bourdieu), "Economie humaine" (Jacques Généreux), « Anthropocène » (Christophe Bonneuil). On y publie en sciences humaines des auteurs majeurs, tels Edgar Morin, Roland Barthes, Hubert Reeves, Georges Duby, Gérard Genette, Pierre Bourdieu, John Rawls, Jean-Pierre Vernant, Alain Badiou... Et puis il y a aussi les revues : Poétique, Communications, Actes de la recherche en sciences sociales, Pouvoirs, Le Genre Humain, etc.

C'est Jean Cayrol qui aura posé la première pierre du domaine littéraire, avec sa collection "Ecrire" (1956). Les revues Tel Quel (Philippe Sollers) et Change (Jean-Pierre Faye) placent l'éditeur au cœur des débats d'avant-garde. En 1959, un an après qu'Edouard Glissant a été distingué par le Renaudot, un premier Goncourt récompense André Schwarz-Bart. La collection littéraire "Cadre Rouge" est d'abord animée par François-Régis Bastide. Elle est marquée par Didier Decoin, Patrick Grainville, Louis Gardel, Elie Wiesel, Erik Orsenna, Tahar Ben Jelloun, Andreï Makine, Régis Jauffret, Lydie Salvayre. Depuis 1974, "Fiction & Cie", fondée par Denis Roche, reprise en 2004 par Bernard Comment, mêle les genres avec Jacques Roubaud, Olivier Rolin, Chantal Thomas, Antoine Volodine, Thomas Pynchon…

Une forte lignée francophone singularise Le Seuil, avec Mouloud Feraoun, Mohammed Dib, Kateb Yacine, Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, Anne Hébert, Jacques Godbout, puis Nelly Arcan, Ahmadou Kourouma, Alain Mabanckou ou Charif Majdalani.

Très tôt, la littérature étrangère ("Cadre vert") occupe au Seuil une place centrale, d'abord avec des œuvres venues d'Allemagne (Heinrich Böll, Günter Grass...). Ce domaine s'impose vite, avec Gabriel Garcia Marquez, Italo Calvino, Carlo Emilio Gadda, John Updike, William Boyd, John Irving, John Michael Coetzee, José Saramago, Manuel Vázquez Montalbán, Arturo Pérez-Reverte, Antonio Muñoz Molina, Elfriede Jelinek...

Dans les années 1990, tandis que son appareil de diffusion-distribution se renforce, le périmètre éditorial du Seuil s'élargit. Jacques Binsztok monte un département jeunesse, tandis que Jean-Robert Masson puis Claude Hénard assurent le développement des Beaux-livres. Le littéraire s'étend avec la création de L'Olivier (Olivier Cohen). "Seuil Policiers", collection fondée par Robert Pépin, publie Michael Connelly et Henning Mankell. Les essais s'enrichissent avec "La République des Idées" (Pierre Rosanvallon).

Innovateur dans l'édition de poche avec Microcosme (1951), Le Seuil a mené à partir de 1970 une politique active de développement de la série "Points". Un essor qui suit les évolutions du catalogue. Il débute avec des collections de sciences humaines, d'essais et de documents, puis "Points Romans". Après sa filialisation en 2006, Points, sous l'impulsion d'Emmanuelle Vial, voit son catalogue s’enrichir à vive allure tandis que de nouvelles séries sont créées.

En 2004, La Martinière Groupe rachète Le Seuil. Denis Jeambar prend les rênes en octobre 2006. 

En janvier 2010, Olivier Bétourné, qui était entré dans la maison comme lecteur en 1977, puis en était devenu le secrétaire général en 1984 avant de quitter la rue Jacob en 1992, prend les fonctions de Président. Le Seuil déménage au 25 boulevard Romain Rolland, dans le quatorzième arrondissement de Paris.
En 2016, la maison est organisée en huit départements éditoriaux : Littérature (sous la direction de Frédéric Mora), Littérature étrangère, Sciences humaines (sous la direction de Séverine Nickel), Documents, Beaux-livres (sous la direction de Nathalie Beaux), Jeunesse (Béatrice Decroix), Don Quichotte (Stéphanie Chevrier) et les éditions du Sous-sol (Adrien Bosc). Thierry Diaz succède à Patrick Gambache à la tête de Points, l’une des trois filiales du Seuil avec les éditions de L'Olivier (Olivier Cohen) et les éditions Métailié (Anne-Marie Métailié). Autour d’Olivier Bétourné, la direction est renforcée : Ludovic Rio devient Directeur général adjoint, tandis qu’Adrien Bosc assure les fonctions de Directeur adjoint de l’édition. Bernard Comment est nommé conseilleur du Président pour le développement de la littérature.

En avril 2018, Hugues Jallon est nommé président du Seuil, après avoir été directeur éditorial pendant 4 ans au Seuil puis Président des éditions La Découverte de 2013 à 2018. 

Une nouvelle étape de l'aventure est engagée.

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Codhos

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2001

Le Codhos est un réseau documentaire, une fédération d’institutions qui peuvent être tout aussi bien des centres de recherches universitaires, des fondations privées, des organismes proches des partis et des syndicats, des grandes institutions publiques. Selon ses statuts, le Codhos a pour but de faciliter l’information et les échanges entre ses membres, de réaliser des instruments documentaires et des outils informatiques concernant le mouvement ouvrier et social, à partir des fonds détenus par chaque organisme adhérent à l’association. Ces réalisations doivent faciliter les recherches des étudiants et des chercheurs. Le Codhos est né du constat de la dispersion des sources de l’histoire ouvrière et sociale en de nombreuses institutions, de taille, de statuts et de moyens très divers, dispersion à l’image du mouvement ouvrier et social français. Pour tenter d’y remédier, l’idée est venue à quelques-uns, documentalistes, archivistes, historiens, de mettre en commun leur expérience, de travailler en plus étroite collaboration. Le projet a pris corps au congrès de l’Ialhi (International association of labour history institutions) à Amsterdam en septembre 1999. En mars 2001 est né ainsi le Codhos, une association loi de 1901, qui élit un bureau comprenant obligatoirement un président, un secrétaire et un trésorier ; elle fonctionne avec des commissions de travail chargées de conduire les projets définis en commun lors des assemblées générales régulières. Tout organisme mettant au service du public des fonds documentaires concernant le mouvement ouvrier et social peut adhérer au collectif.

Sa candidature est soumise à l’assemblée générale qui se réunit deux fois par an. Les actions entreprises par le collectif, passé de dix à une quarantaines d’institutions partenaires en dix ans, s’inscrivent dans ces quelques objectifs : valoriser les fonds du mouvement ouvrier et social, proposer des guides de sources, sur support papier ou électronique, alerter les acteurs publics sur l’état des collections, participer à des actions de sensibilisation aux techniques et procédés de conservation et de sauvegarde des collections, avec naturellement aujourd’hui la mise en place de projets de numérisation.

Le Codhos désire également favoriser les échanges, l’aide mutuelle et la formation entre ses membres. Le Codhos peut permettre une mise en commun de moyens, favoriser la mise en place de formations communes à travers l’organisation de séminaires ou journées d’études qui concernent non seulement des questions techniques mais également le contexte scientifique dans lequel travaille chacun Le Codhos a fêté ses dix ans en 2011. Fort de son bilan d’activités qui a fait de lui en quelques années seulement le pôle de référence en histoire ouvrière et sociale en France, et reconnu comme tel par les grandes institutions publiques nationales et par ses partenaires européens de l’Ialhi, il reste un collectif reposant naturellement sur les investissements de chacun et la bonne volonté de ses membres, qui par leur diversité et leur complémentarité ont su créer une dynamique originale, partager des expériences et réaliser des initiatives concrètes.

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Contrechamps Editions

Maison d'édition à compte d'éditeur

Deux ouvrages sortiront à l’automne 2021 : le premier est un ensemble de textes du philosophe Theodor W. Adorno centrés autour du thème de la couleur dans la musique : l’auteur développe tout un ensemble de réflexions sur le timbre comme élément structurel ou simple couleur, sur les rapports entre la musique et la peinture, et sur deux compositeurs qui ont développé l’écriture orchestrale, lui donnant une fonction symbolique et illustrative, Wagner et Strauss. Une partie de ce volume reprend des textes regroupés dans un volume posthume de l’œuvre complète d’Adorno, les autres sont tirés de différentes sources. La plupart des textes sont inédits en français. La traduction et la présentation de l’ouvrage sont dues à Sofiane Boussahel.

Le deuxième livre proposé cet automne appartient à la collection Poche qui a été lancée il y a un peu plus d’un an afin de proposer des monographies d’œuvres musicales contemporaines. Laurent Feneyrou s’est attaché au quatuor à cordes de Luigi Nono, Fragmente-Stille, an Diotima, qui dans une forme fondée sur le fragment et la discontinuité, est nourrie de l’intérieur par des phrases tirées de poèmes de Hölderlin. Il étudie cette œuvre singulière à partir des nombreuses esquisses déposées à l’Archivio Nono de Venise, montrant tout le travail d’élaboration qui aboutit à l’œuvre. Il situe aussi celle-ci dans le contexte politique de l’époque et dans la trajectoire de Nono (Laurent Feneyrou est par ailleurs l’éditeur des textes de Nono en français aux éditions Contrechamps).

Nous signalons aussi la sortie d’un autre Poche (fin juin 2021) qui se situe à la charnière des deux saisons, et qui est consacré à une œuvre de musique électro-acoustique, la première de cette ampleur : Symphonie pour un homme seul. Imaginée dans un premier temps par Pierre Schaeffer, pionnier et théoricien de la musique concrète, elle a été composée avec Pierre Henry, grande figure de cette même tendance musicale. Loïc Bertrand retrace la genèse de l’œuvre, notamment grâce au Journal inédit de Pierre Schaeffer, et tout en l’analysant, en signale les enjeux. Dans la dernière partie de son livre, il évoque les ballets que Béjart et Cunningham ont réalisé sur cette œuvre.

Rappelons que tous les textes de la collection Poche sont inédits et résultent d’une commande aux auteurs de la part des éditions Contrechamps.

En 2022, d’autres ouvrages de cette collection sont prévus : sur Gruppen de Karlheinz Stockhausen, par Pascal Decroupet, sur 4’33 de John Cage, par David Christoffel, sur les Espaces acoustiques de Gérard Grisey, par François-Xavier Féron, et sur Coro de Luciano Berio, par Alain Poirier.

Dans la grande collection, nous publierons un livre sur Gérard Grisey du musicologue et compositeur autrichien Lukas Haselböck, et le premier volume des écrits de Schönberg qui font l’objet d’un travail de longue haleine destiné à offrir au public francophone un ensemble représentatif des textes de ce compositeur, dont beaucoup sont restés inédits.

Tous les livres des éditions Contrechamps sont disponibles également en format numérique.

Philippe Albèra

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Cercle Profane

Maison d'édition à compte d'éditeur
Revue d'art consacrée aux amateurs, artistes et collectionneurs
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Editions raison publique

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2015

Raison publique, c'est initialement un forum philosophique et littéraire animé par la conviction que la réflexion, la discussion et l’imagination collectives peuvent concourir significativement à la formation de sociétés mieux éclairées, plus justes. 

​Publié initialement sous la forme d'une revue semestrielle, puis soutenu et enrichi par le lancement réussi en 2009 du site raison-publique.fr, le forum n'a pas cessé de se développer sous la direction de Patrick Savidan depuis sa création en 2003, et avec Sylvie Servoise, pour assurer son ouverture aux arts et à la littérature, à compter de 2009.

​Forts de ces expériences, Patrick Savidan et Sylvie Servoise ont souhaité aller plus loin en créant en 2017, sous la forme d’une association à but non lucratif, une maison d’édition, dont la vocation est de soutenir les activités du site raison-publique.fr, et de développer une activité éditoriale complète, avec la publication de revues, d’essais et de traductions dans son domaine de prédilection, celui des humanités politiques.

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INHA

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1973

L'Institut national d'histoire de l'art est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP), destiné à promouvoir la recherche scientifique en histoire de l'art. Il est placé sous la double tutelle du ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, et du ministère de la Culture.

Imaginé dès 1973 par Jacques Thuillier, puis formalisé en 1983 par André Chastel, l'INHA a été créé par décret le 12 juillet 2001.

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Bréal

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1969
800 livres au catalogue dont 80 publiés par an

Les éditions Bréal sont une maison d'édition française fondée en 1969 par Jean-Michel Zunquin. Elle est devenue, en 2014, une marque éditoriale exploitée par le groupe Studyrama.

À l'origine, la spécialité scolaire et parascolaire de Bréal se manifeste dans des précis (de science, d'économie...) pour classes préparatoires et des fiches pour le lycée et l'université.

La maison publie aussi depuis 1999 des manuels pour le collège et des essais, et intègre de nouveaux auteurs comme Yves Cochet, Bernard Maris, Marcela Iacub, Patrice Maniglier, Emmanuel Pierrat, François Bégaudeau, Jean-Paul Escande, Michel Onfray, Serge Hefez, Jean-Paul Guedj, Joann Sfar, Ferrante Ferranti, Marc Montoussé, Laurent Carroué, Didier Collet, Claude Ruiz, Sylvie Brunel, Frédéric Fougerat ou, plus récemment, Kilien Stengel et François Jost.

Wikipédia

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Art press

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1972
Créée en 1972, artpress est une revue mensuelle d’information et de réflexion sur la création contemporaine. Acteur et témoin engagé de la création d’aujourd’hui, elle a pour vocation de couvrir l’ensemble de la scène artistique mondiale. En décembre 2012, le 40° anniversaire de la revue a été fêté par un ensemble d’événements à la Bibliothèque Nationale de France.
Bilingue (français/anglais) depuis 1992, artpress propose à ses lecteurs une approche éditoriale unique : lier les différentes formes de la création contemporaine – arts plastiques, littérature, photo, vidéo, cinéma, arts électroniques, architecture, danse, théâtre, musique, … – entre elles et les mettre en perspective.
Chaque mois, des articles de fond analysent les grands événements artistiques, les phénomènes culturels de notre époque, ainsi que les courants de pensée émergents. Des dossiers présentent des scènes artistiques à travers le monde, des interviews permettent de rencontrer créateurs, conservateurs et marchands. Des comptes-rendus d’expositions et chroniques thématiques enrichissent également chaque numéro.
La revue est en vente en kiosque le 21 de chaque mois.
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Ecole nationale des chartes

Maison d'édition à compte d'éditeur

L'École nationale des chartes publie sous forme imprimée et numérique cinq collections d’ouvrages :

- les Mémoires et documents de l'École des chartes, collection qui remonte à 1896 et qui accueille des monographies et des ouvrages collectifs d’envergure, au premier rang desquels des thèses d’anciens élèves de l’École des chartes
- les Études et rencontres de l'École des chartes, collection lancée en 1998, qui accueille avant tout les actes de journées d’études ou de rencontres scientifiques
- les Matériaux pour l'histoire, collection inaugurée en 1996 et constituée de volumes in-4° abondamment illustrés
- les Études et documents pour une Gallia Pontificia, collection coéditée par l'École nationale des chartes et l'Institut historique allemand de Paris depuis 2009 pour présenter les travaux réalisés dans le cadre de la Gallia Pontificia, entreprise scientifique qui se propose de recenser, publier et étudier les actes pontificaux concernant la France antérieurs à 1198
- Magister, collection qui propose des ouvrages de référence dans les domaines qui constituent le cœur des spécialités de l'École : ecdotique, archivistique, diplomatique, paléographie, codicologie, philologie, archéologie, histoire de l’art. Ces manuels, élaborés par les professeurs et enseignants-chercheurs de l’École, s’adressent aux étudiants ainsi qu’à tous ceux qui souhaitent s’initier à ces disciplines

À ces collections, s’ajoute une publication périodique liée à l’activité de formation de l’École des chartes :

les Positions des thèses soutenues par les élèves pour obtenir le diplôme d'archiviste paléographe publiées annuellement par l'École des chartes depuis 1849 ; elles sont intégralement disponibles en ligne depuis 2000 et répertoriées depuis 1849.

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