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Maisons d'éditions similaires :
La joie de lire
L’histoire de La Joie de lire remonte à 1937, lorsque Paul Robert fonde à Genève la librairie du même nom. L’idée est pionnière et La Joie de lire devient l’une des premières librairies jeunesse d’Europe. Francine Bouchet en prend la direction dès 1981 et met sur pied plusieurs activités, dont les mercredis de lecture et le Prix Enfantaisie qu’elle lance en 1987.
Elle fonde la même année les éditions La Joie de lire, s’inscrivant ainsi dans la longue tradition suisse d’éditeurs-libraires engagés. «Je suis venue tardivement à l’édition », commente-t-elle.
Après quelques années en Faculté des Lettres, Francine Bouchet commence à enseigner et s’intéresse à l’approche junguienne de la psychologie. « Elles ont été mes années de formation en quelque sorte. J’ai beaucoup appris dans tous les domaines ». Un goût pour l’éclectisme qui se retrouve dans le catalogue qu’elle a étoffé de manière intuitive, « au gré des rencontres ».
Si l’éditrice fait confiance à son instinct et sait se laisser surprendre, certaines exigences demeurent. La qualité tout d’abord, du texte et de l’image, mais aussi beaucoup de créativité car si ses livres n’ont pas de fonction pédagogique, ils doivent avoir une valeur éducative.
Le livre comme espace de liberté, le livre comme « une proposition qui ne fournit pas de réponse ».
Nouveaux débats publics
Le mot du président
« Les dirigeants sont au cœur de la mondialisation des économies et des sociétés. Ils vivent dans un monde où l’instantanéité de l’information est la règle. Ils affrontent des crises systémiques. Ils rendent des arbitrages. Ils prennent des engagements sociétaux. Le monde compte sur eux en temps de crise, comme en temps de croissance. Ils sont souvent enviés, parfois décriés, de temps en temps rejetés. Pourtant, ils réfléchissent à un monde plus humain, une consommation plus équilibrée, une utilisation des matières premières respectueuse des générations futures. Les éditions Débats Publics leur sont dédiées, parce que ces enjeux et leur engagement collectif valent bien leur participation à ces nouveaux débats publics. »
LA PHILOSOPHIE DES ÉDITIONS DÉBATS PUBLICS
Soutenir la voix des dirigeants dans le débat public
Créée en 2007, Débats Publics est une maison d’édition dont la vocation est de donner la parole aux dirigeants qui, à la lumière de leur expérience et de leurs convictions personnelles, souhaitent livrer leurs réflexions sur des sujets de société contemporains.
La crise économique et sociale que nous traversons actuellement remet en question l’ensemble des repères d’une société qui ne se reconnaît plus dans l’image qu’on lui renvoie. Et l’ampleur de cette crise est d’autant plus remarquable qu’elle est mondialisée.
Dans ce monde en plein bouleversement, au moment où il est question d’un nouveau départ et où l’on cherche à inventer les bases sur lesquelles construire l’après-crise, il existe aujourd’hui une nouvelle génération de dirigeants qui souhaitent partager leurs réflexions.
Car loin de s’accommoder d’une société utilisatrice, des hommes et des femmes se sentent une impérieuse responsabilité de réagir et d’agir.
Il y a aujourd’hui un vrai bouillonnement d’idées pour reconstruire un monde sans faire les mêmes erreurs. La crise va demander des efforts. Il faut un rêve, le rêve d’un nouveau XXIème siècle auquel ces dirigeants, en connexion avec leur temps, veulent contribuer.
Grâce à leurs métiers, leurs expériences et leurs expertises, ils ont acquis un savoir, une capacité d’analyse et des convictions qu’ils veulent aujourd’hui faire partager.
L’objectif pour les éditions Débats Publics est d’offrir une plate-forme à ces femmes et à ces hommes, de promouvoir leur dialogue avec l’opinion publique, de nourrir et de créer un débat public autour du sujet abordé par chacun de ces auteurs.
Les éditions Débats Publics sont dédiées à ces « auteurs-dirigeants » pour qu’ils contribuent à créer le sens d’une nouvelle société.
Menu Fretin
Menu Fretin est créé aux premiers jours de 2007, par Laurent Seminel. Depuis notre première publication nous n’avons de cesse de proposer à nos lecteurs des ouvrages de référence et des livres originaux autour de la gastronomie. Nous avons publié plus d’une centaine d’ouvrages, une revue (les Cahiers de la gastronomie), un magazine (Gmag) et depuis 2018 nous organisons un festival culinaire, culturel et débonnaire (Entremets). Tous ces projets ont en commun de démontrer que la cuisine est une pratique sociale qui se pense plus qu’elle ne se mange. Parce que la cuisine est avant tout un fait culturel, au delà de la simple activité nourricière. Installés à Chartres, nous concevons, réalisons et imprimons nos ouvrages localement de manière artisanale et sincère. Nous éditons les livres que nous avons envie de lire.
Tout simplement. Le Menu Fretin, ce sont les choses insignifiantes, les poissons trop petits pour qu’on les comptabilise, la goutte d’eau que nous revendiquons d’être dans un océan de livres.
DDB
Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.
1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.
1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.
De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.
En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.
Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.
Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.
Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».
Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.
Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.
Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.
Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.
Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.
Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.
Robert Laffont
Trécarré (Éditions)
Nathan
Depuis leur création, en 1881, les éditions Nathan ont pour vocation les savoir et les apprentissages, en respectant le plaisir de la découverte et de la connaissance. Cette mission est centrée autour de l'enfant et de la pédagogie, de la petite enfance à l'Université. Avec ses départements, ses filiales et marques associées - Dictionnaires Le Robert, Retz, MDI, SEDES -, Nathan est le premier éditeur scolaire français.
Par le biais de la marque Clé International, Nathan est leader de l'apprentissage du français à l'étranger. Le département parascolaire édite, outre des cahiers de vacances, des exercices d'entraînement, des aides à la préparation aux examens, des ouvrages de méthode, des mémentos...Avec le succès de ses collections - 128 et fac. notamment -, Nathan confirme son développement dans le secteur du livre universitaire, tous cycles confondus, en lettres, sciences humaines et sociales, économie-gestion et sciences.
Nathan développe également des collections destinées au grand public, dans le domaine du livre pratique autour de la nature et de la science, et, depuis peu, des ouvrages consacrés à la photographie.Enfin, son fonds d'ouvrages pour la Jeunesse situe Nathan parmi les tout premiers éditeurs dans ce domaine, notamment avec les encyclopédies Méga, les collections Contes et Légendes ou, plus récemment, Première Lune, Demi-lune et Les Petits Cailloux. Les éditions Nathan appartiennent aujourd'hui au pôle Éducation/Référence du Groupe Havas.
Nathan est sur le marché français le leader dans le domaine éducatif. Son département jeunesse et l'un des plus importants en France : plus de 2000 titres à son catalogue, 250 nouveautés par an qui concernent tous les publics de 0 à 15 ans.Mars 2002 - Nathan propose deux collections de livres animés pour tout-petits. Intitulée "Livres surprises", la première joue à cache cache. La seconde collection s'appelle "animaux puzzles".En 2005, les éditions Nathan ont créé un nouveau département de livres de jeunesse sous la célèbre marque Rouge et Or. Le nouveau catalogue se structure; par les création de nouvelles collections pour les plus petits et d'un important domaine documentaire.
Phaidon
Edipro
Slatkine éditions
Depuis plus de trente ans, à côté de son activité de réimprimeur et d’éditeur universitaire, SLATKINE REPRINTS a développé une activité d’édition « grand public » sous la marque Éditions Slatkine.
Les Éditions Slatkine publient une trentaine de nouveautés par an, principalement à caractère régionaliste. Le catalogue permet de découvrir plus de 400 auteurs anciens et modernes : écrivains, historiens, poètes, journalistes, scientifiques, romanciers, conteurs, peintres, qui font découvrir au fil des pages et des images les traditions, les coutumes, les légendes, l’histoire, l’iconographie, la poésie et l’écriture de la Suisse romande et de ses contrées frontalières. Au surplus, de nombreux sujets d’actualité sont également traités.
Modalité d'envois
Une réponse favorable à la publication sera donnée entre 2 à 3 mois après réception de votre texte. Passé ce délai, les manuscrits ainsi non retenus par le comité éditorial seront systématiquement détruits. Les manuscrits non accompagnés d’une enveloppe timbrée affranchie du montant dû pour le tarif normal ne seront pas renvoyés. Il n’y a ni retour en recommandé, ni renvoi à l’étranger.