Annuaire d' éditeur / Indigo & Côté femmes
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Indigo & Côté femmes

Maison d'édition à compte d'éditeur
260 livres au catalogue

Les Objectifs des éditions INDIGO & Côté-femmes :

Promouvoir l'écriture des femmes du passé et du présent en faisant découvrir des textes anciens non réédités, essentiellement écrits par des femmes et sur les femmes, et de textes traitant des rapports entre les sexes, le genre et sa naturalisation tout au long de l'histoire.

Proposer des éditions en langues française, espagnole et bilingue (français/espagnol).

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Adresse

16 rue des Ecoles, 75005 Paris
France

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Par voie postale:

Service des manuscrits
16 rue des Ecoles
75005 Paris
France

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Compte tenu des multiples allers-retours entre nos directeurs de collection, Téraèdre ne serait en aucun cas responsable des manuscrits égarés.

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Accusé de réception: NON

Maisons d'éditions similaires :

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Infolio

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1999
Créées en 1999, les éditions Infolio sont basées à Gollion, près de Lausanne, dans une région où l'édition est traditionnellement et ancestralement bien établie. La proximité de centres de formation dans tous les métiers du livre, ainsi que le grand nombre d'unités d'impression de qualité permet à notre maison de bénéficier des compétences les plus larges. La politique éditoriale des éditions Infolio touche des domaines aussi variés que l'archéologie, l'architecture, l'histoire, l'art ou la photographie. Une équipe de 7 personnes (graphistes, photolithographes, responsable marketing) travaille en étroite relation avec les milieux scientifiques (Département d'Architecture EPFL, Université de Lausanne et de Genève, Archeodunum SA investigations archéologiques, etc.).
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Galilée

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1971

Les Éditions Galilée naissent en 1971. Dès les premières parutions, en 1973, le ton est donné, l’orientation est prise. 1973, c’est l’année de Critique du capitalisme quotidien de Michel Bosquet ; Les Figures juives de Marx d’Elisabeth de Fontenay ; Le Discours impur de Jean-Noël Vuarnet ; Camera obscura – de l’idéologie de Sarah Kofman ; Le Titre de la lettre, de Jean-Luc Nancy et Philippe Lacoue-Labarthe ; L’Archéologie du frivole de Jacques Derrida, préfaçant l’Essai sur l’origine des connaissances humaines de Condillac. Moins d’une année plus tard, Jacques Derrida, Jean-Luc Nancy, Philippe Lacoue-Labarthe et Sarah Kofman créent la collection « La philosophie en effet » que Jacques Derrida inaugure par la publication de Glas, aventure éditoriale aussi bien que graphique, littéraire et philosophique : mise en effet du questionnement philosophique, non pas pour lui-même, mais tel qu’au monde et tel qu’en l’autre, la pensée le met au travail. C’est dans cette même collection que Sarah Kofman fera paraître peu après Quatre romans analytiques (1974).

Dans le même moment, sur les mêmes modes, tandis que la maison édite les revues Digraph et Chorus, se déploie le questionnement esthétique avec la parution de Marcel Duchamp ou le grand fictif de Jean Clair (1975) ; L’Invention du corps chrétien de Jean-Louis Schefer ; suivi par Détruire la peinture de Louis Marin et Les Transformateurs Duchamp de Jean-François Lyotard. Ce dernier fait ainsi son entrée dans la maison d’édition qui, jusqu’à sa disparition en 1998, publiera l’essentiel de son œuvre.

La rencontre avec les artistes, le travail dans et par le livre avec les créateurs, axe essentiel de la politique éditoriale, seront inaugurés par Wifredo Lam avec l’ouvrage intitulé sobrement Dessins dont il fera la couverture (1975).

Le champ littéraire, essentiel lui aussi, est ouvert par Georges Perec avec son si fameux Espèces d’espaces (1974) bientôt suivi d’Alphabets, illustré de dessins de Dado (1976).

Au croisement de l’art et de la littérature, c’est l’édition de Farce de Jean-Marie Touratier avec une couverture originale de Christian Boltanski et un tiré à part où une fenêtre ouverture à même le livre insère un sucre taillé par Boltanski dans une cage grillagée (1979).

À la fin des années 1970, de nouveaux auteurs rejoignent la maison d’édition à laquelle ils vont donner année après année la part la plus importante de leur œuvre : André Gorz, Fondements pour une morale, Paul Virilio, Vitesse et politique  Jean Baudrillard, Oublier Foucault (1977), suivi de De la séduction (1980) ;

En près de cinquante ans, ces orientations n’ont cessé de se renforcer avec des artistes tels que Valerio Adami, Pierre Alechinsky, Karel Appel, Paul Jenkins, François Rouan, Simon Hantaï, Antoni Tàpies, Vladimir Velickovic, Ernest Pignon-Ernest, Raymond Mason, Philippe Cognée, Gérard Titus-Carmel… ; et des auteurs comme Christine Buci-Glucksmann, Jacques Rancière, Étienne Balibar, Hélène Cixous, Yves Bonnefoy, Michel Onfray, Pascal Quignard, Bernard Stiegler, Philippe Bonnefis…

Aux interrogations de la pensée s’associent les questions du texte, de la langue, des pratiques de l’art, la permanente recherche de l’acuité pour ce qui met les enjeux de l’homme et du monde en question, ou comme l’aurait dit Derrida : en effets.

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Le Festin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1989
109 publiés par an

Hier
Le Festin a cette année 30 ans. Du chemin a été parcouru depuis le n° 1 de septembre 1989, sous-titré « Lettres, Lieux, Vues », et imprimé à quelque 1 000 exemplaires. La première page annonçait déjà en substance les grandes lignes directrices de ce que sera cette aventure éditoriale : ne pas aborder les patrimoines et la création en Nouvelle-Aquitaine sous un angle académique, mais selon une approche décomplexée et généreuse. Élevé au rang de doctrine, ce principe restera toujours le credo du Festin.

« L’Esprit Festin »
Il fallait redynamiser l’image vieillotte que véhiculait encore le patrimoine, en restituant la connaissance et en la rendant intelligible et attractive à tous, en défendant une vision plus prospective que nostalgique, plus régionale que régionaliste, plus familière qu’élitiste.
De fait, en tant qu’objet, la revue se présente à mi-chemin entre le livre et le magazine. Quant à son contenu, il associe des recherches scientifiques, inédites et documentées, à une démarche de vulgarisation. Partis pris, coups de cœur constituent le ferment de ce que l’on pourrait appeler « l’esprit Festin », autant éloigné du bulletin de société savante que du fanzine touristique. Un soin tout particulier est apporté aux images (recherches iconographiques ou actualité des reportages), car elles aiguillonnent la curiosité du lecteur. Elles éclairent, au même titre que la mise en page, le contenu rédactionnel, le soulignent en même temps qu’elle le divertit, afin qu’il n’y ait aucun hiatus entre le fond et la forme.
Enfin, le terrain d’action du Festin s'étend à toute la région Nouvelle-Aquitaine afin de proposer une lecture transversale du territoire. S’il existe une identité culturelle régionale, elle réside dans cet espace sensible où chaque site, chaque œuvre, chaque territoire est support d’interprétations, de correspondances et d’échanges. C’est aussi la diversité de la Nouvelle-Aquitaine qui fait la force de la revue. Réalisé par des amateurs passionnés pour d'autres passionnés, Le Festin se met au service de la connaissance, de l’expérience, de la découverte et du plaisir.

Aujourd’hui
En 2019, Le Festin fête ses 30 ans.  Entre temps, il a tenté d’évoluer et d’améliorer par petites touches son propos rédactionnel et visuel. D’abord semestriel, puis trimestriel (à partir de 2002), il s’est imposé comme un rendez-vous désormais attendu pour les lecteurs. Il comptabilise aujourd’hui un catalogue de 109 numéros (dont beaucoup sont épuisés), auquel s’ajoute une trentaine de hors-série thématiques. Parallèlement, la maison d’édition propose chaque année une vingtaine de nouveaux titres (littérature, catalogue d’exposition, livres d’art, essais) qui viennent ainsi compléter le fonds culturel et patrimonial régional. Pour la seule revue, les plus de 10 000 pages qu’elle totalise depuis ses débuts en font un sommaire encyclopédique unique pour la Nouvelle-Aquitaine. Ce sont quelque 10 000 exemplaires et 2500 abonnements qui sont diffusés chaque trimestre dans plus de 600 points de vente.

Avec le temps, Le Festin a ainsi inventé son propre modèle économique, sans y perdre son âme ni ses ambitions. Loin de là, la grande aventure demeure intacte, l’équipe rédactionnelle et l'équipe commerciale composées de 15 salariés s’impliquent aujourd’hui dans cette profusion d’ouvrages avec toujours la même passion.

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Calicot (Éditions Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur
Dans un monde dirigé par l’économie, où l’individu n’a sa place que dans des colonnes statistiques, Le Calicot propose aux enfants et aux adolescents des livres pour développer leur sens critique et pour rêver un monde qu’ils  méritent.
Des livres de fiction pour les pré-adolescents et pour les adolescents ; des essais pour tout le monde ; des livres pour se distraire, s’émouvoir, réfléchir, grandir.
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Hoëbeke

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1984
250 livres au catalogue dont 25 publiés par an
Les Éditions Hoëbeke sont nées en 1984. Elles font immédiatement appel au graphiste Massin qui dessinera la plupart des livres de la maison et donnera une idée de permanence à l'ensemble. Leur premier livre est consacré au dessinateur Peynet, l'auteur des Amoureux. Ce sera un best-seller comme, quelques années plus tard, les livres de Samivel, de Doisneau ou de Pierre Dubois.
Ce premier titre annonçait la ligne éditoriale de la maison : élargir la notion de beaux-arts au graphisme, à la publicité, à l'illustration, aux dessins de presse, à la photographie et au-delà même des catégories établies. Bel exemple également que l'exceptionnel et historique ouvrage d'Hervé Di Rosa, L’Art modeste.
Mais la maison garde aussi une place à part dans son catalogue pour les ouvrages de Pierre Dubois : la Grande Encyclopédie des lutins, la Grande Encyclopédie des fées ...  qui ont précédé (ou annoncé) l'engouement pour le monde féerique avant de devenir des classiques et la référence internationale dans le monde du merveilleux et du légendaire (beaucoup copié, jamais égalé !).
Dans le domaine littéraire, les deux collections «Retour à la montagne» et «Destins de montagne» réunissent les meilleurs écrivains et plus grandes histoires de l'altitude.
«Étonnants voyageurs», la collection du festival éponyme de Saint-Malo, dirigée par Michel Le Bris, revendique une littérature aventureuse, voyageuse, ouverte sur le monde et soucieuse de le dire. Ou quand les écrivains redécouvrent le monde.
Bousculer les catégories, fouiller dans le passé comme dans le présent, éditer mais aussi créer, renouveler les genres, marier les expressions, raconter l'histoire autrement, rester libre, vous surprendre, renouveler vos plaisirs, vous faire voyager, vous étonner et vous rappeler, on l'espère, quelques bonheurs de l'enfance.
Lionel Hoëbeke
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Mon Limousin (éditions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2018
30 livres au catalogue dont 15 publiés par an

Maison d'édition à compte d'éditeur, les éditions Mon Limousin défendent les richesses du territoire dans une région Nouvelle-Aquitaine ouverte sur le large...

Littérature / Patrimoine / Histoire / Arts

Tout texte en rapport avec la région (Creuse, Corrèze, Haute-Vienne, mais aussi Dordogne, Cantal, Charente...) OU d'auteurs originaires du Limousin.

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Ad Solem

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1992
Ad Solem, « vers le Soleil » : un nom, un esprit aussi, résolument tourné vers la « Lumière qui éclaire tout homme» (Jn 1, 12). Depuis 1992, chaque livre veut à sa manière être un éclat, une étincelle pour faire rayonner le sens ; un espace pour permettre la rencontre de l’Autre à travers le chemin des mots. Rencontre par le biais de l’écriture, laquelle, comme une trace, atteste le passage de Celui qui ne se laisse découvrir qu’après coup, dans la distance. Pendant quelques instants, le temps de lire une ligne ou une page, le lecteur abandonne sa volonté propre pour suivre l’empreinte laissée par les mots sur la surface de la page. Moments de communion avec l’auteur, dont les mots veulent réveiller en nous «le désir de l’éternité inconnue sous la douceur des mots connus» (saint Grégoire le Grand). On ne ressort jamais le même de la lecture d’un livre. L’édition est un art : un savoir-faire qui doit communiquer un savoir-vivre. Le livre, pour Ad Solem, n’est pas un moyen parmi d’autres de transmettre savoir et sagesse. Si le codex a remplacé le volumen aux premiers siècles du christianisme, c’est que sa forme traduisait le contenu de la foi dont son apparition est solidaire. Au déroulement infiniment répété du rouleau a succédé l’arrêt sur la page, la fin de la ligne. A l’éternel retour a succédé la Nouvelle Alliance. Aujourd’hui, les textes se déroulent sur l’écran des ordinateurs. Le temps du nihilisme se traduit par la civilisation du rouleau numérique. Comment être «à la page» aujourd’hui si le livre est menacé sinon de disparition du moins d’une marginalisation croissante ? Peut-être en reprenant conscience de ce que livre n’existe pas sans un regard qui se pose sur la page. Avant d’être un objet, le livre est un verbe : il «se livre» au regard. Quelqu’un s’y donne. Mais dans un retrait. « Il se tait et les mots qui nous restent s’écartent peu à peu pour laisser passer entre eux son regard » (Jean-Pierre Lemaire).
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Hugo doc

Maison d'édition à compte d'éditeur
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Apogée éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur
23 publiés par an
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BPI du Centre Pompidou

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1977
300 livres au catalogue dont 40 publiés par an
Les Éditions du Centre Pompidou sont reconnues depuis la création de l'établissement en 1977 pour la qualité de leur production. Avec environ 40 titres publiés par an, les Éditions du Centre Pompidou témoignent de leur ambition d'être plus que jamais un acteur de référence dans le secteur de l'art moderne et contemporain, en cohérence avec les missions du Centre et dans le prolongement de ses actions. Le dispositif éditorial autour des expositions du Centre Pompidou s'est enrichi dans les dernières années de nouveaux titres et de plusieurs séries permettant de mettre en valeur des témoignages importants d'artistes, quelquefois inédits, et des fonds souvent méconnus de la collection du Musée national d'art moderne. 300 titres sont actuellement en catalogue.
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