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Maisons d'éditions similaires :
Clé (Éditions)
Éditions Clé est une maison d'édition, basée à Lyon (France) qui publie des ressources aux formats papier et électronique de langue française pour comprendre la Bible et communiquer l'Évangile
Les ressources sont destinées à des responsables d'église, étudiants en théologie, pasteurs/prêtres, catéchistes, responsables des écoles du dimanche, étudiants de la bible et plus généralement toute personne intéressée par la culture biblique (croyant ou non).
Historique
Éditions Clé est une association 1901 à but non lucratif qui à pour objectif de développer la culture biblique par le moyen de la littérature dans toute la francophonie. Éditions Clé est membre du CNEF (Conseil national des évangélique de France).
Créée en août 1986 par Tom Julien, représentant la mission GBIM (maintenant Encompass World Partner) et Henry Bryant représentant la mission UFM (maintenant CrossWorld). L'idée a germée lors d'un repas amical entre les deux fondateurs dans la pure tradition lyonnaise !
Depuis 1991, les Éditions Clé éditent la version française de la Bible Online. Depuis 2012, les Éditions Clé publient sur Logos.com des produits destinés au monde francophone.
Le catalogue de livres n'a cessé de grandir au fil des ans, des auteurs (Keller, Carson, Varak, Piper, Margery, Bryant, Dever...) et des partenariats (IBG, IMPACT, ITEA, PDV, BCF, ...).
Agone
Issues d’une revue du même nom, née à Marseille en 1990, les éditions Agone se sont construites sur une ligne éditoriale soucieuse des luttes de notre présent, soumise aux exigences du savoir et appuyée sur un mode d’organisation autogestionnaire.
Au moment où le marché du livre se caractérise par un emballement productiviste qui pousse les éditeurs, pour imposer leurs marques, à publier toujours davantage d’ouvrages de moins en moins maîtrisés et dont la durée de vie est toujours plus courte, nous avons opté pour la lenteur d’une politique de fonds. Aussi nous démarquons-nous de la logique du marketing, qui prétend financer la création sur la base des nécessités du compromis : notre pari fut de ne jamais publier un livre pour le seul motif de sa rentabilité, de ne pas choisir un auteur sur le seul critère de sa notoriété et de ne pas traiter un sujet en vertu de sa seule actualité.
Ce projet éditorial répond à un projet politique : proposer des livres qui fournissent au plus grand nombre des outils pour comprendre le monde dans lequel nous vivons. Et cette production est fondée sur une répartition égalitaire des tâches, l’égalité des salaires au sein de l’équipe, le temps consacré à la réalisation des ouvrages.
B42
Les Éditions B42 publient des ouvrages qui interrogent l’environnement visuel dans lequel nous vivons, en contribuant à la constitution d’une bibliothèque d’outils de réflexion sur les pratiques du design, du design graphique, de la typographie et de la création contemporaine. Ces études croisent d’autres domaines que sont la technologie, les médias, le numérique, l’anthropologie ou les études culturelles.
B42 s’est engagé dans un travail de traduction de textes majeurs de l’histoire du design et de la typographie, et également dans la publication d’essais qui contribuent à la diffusion et au renouvellement des savoirs.
De ce travail engagé en 2008 a émergé un catalogue de livres de référence, plébiscités notamment par les enseignants, qui constituent un fonds vivant, toujours en mouvement. Ils occupent une place de choix dans les bibliothèques des designers, des graphistes, des architectes, des artistes, des étudiants et enseignants de ces domaines.
Cavalier Bleu (Éditions Le)
Parce que nous avons plus que jamais besoin des sciences humaines pour rendre notre monde intelligible.
Créées en 2000 par Marie-Laurence Dubray, les Éditions du Cavalier Bleu s’attachent à renouveler des domaines bien établis de l’édition de sciences humaines. En écho au Blaue Reiter qui a donné son nom à la maison, l’équipe partage le même désir de rompre avec la tradition et le refus de tout dogmatisme.
Les premiers titres ont vu le jour en 2001 dans la collection « idées reçues », devenue la collection phare du Cavalier Bleu avec plus de 200 titres. D’autres collections sont ensuite venues enrichir le catalogue avec, chaque fois, la volonté de faire appel à des auteur·e·s, spécialistes dans leur domaine, qui acceptent de relever le défi d’une vulgarisation intelligente et de rendre ainsi accessible au plus grand nombre une analyse nuancée des connaissances actuelles dans leur discipline.
Pour que chaque livre soit une invitation à changer d’angle et à réfléchir loin de tout prêt-à-penser.
DDB
Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.
1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.
1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.
De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.
En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.
Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.
Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.
Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».
Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.
Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.
Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.
Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.
Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.
Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.
ARADIC
La société AraDic-Monde arabe éditions-formations est une maison d’édition et un organisme de formation, située à Lyon et à Villeurbanne, et est dédiée à la promotion d’une culture bilingue française et arabe/arabe et française.
Ses publications et ses actions de formation répondent à cet objectif. Créée en 2013, cette société (SAS) a été reconnue JEI en mars 2015 (« Jeune Entreprise Innovante »), ce qui fait d’elle une des rares sociétés reconnues comme JEI en sciences humaines et sociales.
Elle réunit deux professeurs d’université honoraires, Joseph Dichy, professeur de linguistique, spécialiste de la didactique de l’arabe, qui a été à plusieurs reprises président du jury d’agrégation d’arabe, ainsi que Rita Moucannas, professeur en Études arabes et docteure en droit, ancienne directrice des départements d’arabe des universités de Grenoble-Alpes et Bordeaux. AraDic-Monde arabe comprend également de jeunes docteurs en linguistique arabe ; son personnel est au minimum titulaire du master.
Elle travaille à se positionner comme acteur incontournable sur les deux plans régional et national dans la promotion et la diffusion de la langue et de la culture arabe. Son projet bilingue et biculturel s’adresse aux citoyens de tout bord, et aux locuteurs de l’arabe sous toutes ses formes (arabe littéraire moderne et arabe dialectal – algérien, marocain, tunisien). Les dialectes arabes de ces trois pays sont présents en France à des degrés divers, et comportent, selon les estimations du ministère de la Culture et de sa Délégation générale à la langue française et aux langues de France, près de trois millions de locuteurs. L’arabe est de ce fait reconnu comme langue de France.
Le principal projet d’AraDic est la réalisation de la série des dictionnaires bilingues Machâtel (مشاتل اللغة العربية), arabe/français et arabe/anglais, qui incluent des informations systématiques et contextuelles nouvelles, selon un format lexical original.
Le projet culturel d’AraDic-Monde arabe est universaliste et laïque au vrai sens de ce terme, qui porte en lui le respect de toutes les croyances.
Métailié
Belfond
CRER
En 1968 naissaient les Editions CRER, coopérative d’édition et de diffusion religieuse rassemblant les diocèses de l’Ouest de la France. Progressivement s’est construit un catalogue d’ouvrages de catéchèse, d’annonce et d’approfondissement de la foi. En 2017, le groupe Bayard et les Editions CRER se sont rapprochés pour constituer un nouveau catalogue unique, rassemblant les collections de catéchèse et de pastorale de Bayard, comme Et qui donc est Dieu ? et Et qui donc est l’homme ?, ainsi que les ouvrages et itinéraires incontournables de la CRER : Cadeaux de Dieu, Sel de Vie, Vers la première des communions…
Éveil à la foi, catéchèse, culture religieuse, réflexion, formation et approfondissement: les Editions CRER-Bayard souhaitent offrir au plus grand nombre les meilleurs ouvrages d’annonce et d’approfondissement de la foi à tous les âges de la vie, en travaillant en lien étroit avec les acteurs engagés en paroisses, en écoles et en diocèses.
Editions Hedna
Les éditions Hedna sont nées d’une longue expérience associative au cours de laquelle il nous a été possible de rencontrer et de d’accueillir de nombreux écrivains de toute origine.
De cette expérience nous avons retenu ce que beaucoup d’auteurs nous soumettaient à savoir :
Premièrement, la difficulté qu’ils avaient à obtenir des réponses des éditeurs à qui ils soumettaient leur manuscrit. Il essuyaient dans le meilleur des cas un refus, et le plus souvent n’obtenaient aucune réponse. Or il nous semble que toute personne qui écrit quelque soit la qualité de son œuvre mérite le respect et la prise en compte du travail qu’il a fourni.
Nous parlons ici d’écriture et non de littérature. En effet, nombreux sont ceux qui éprouvent le besoin d’écrire pour créer un vecteur de transmission avec leur famille et avec les autres. Dans cette optique il nous paraît normal de proposer à tout auteur la mise en forme d’un « objet livre » de qualité qu’il appartiendra par la suite de faire circuler, vivre, exister.. Nous pouvons à minima pour ces personnes proposer une réalisation à compte d’auteur qui satisfera leur demande.
D’autre part beaucoup d’écrivains, et là nous parlons de littérature, ayant eu affaire à de grandes maisons d’édition nous ont confié leur déception de n’avoir eu comme interlocuteurs que des spécialistes commerciaux qui leur parlaient format, titre, quatrième de couverture, n’échangeaient jamais sur le fond de leur œuvre.
Le livre serai t-il devenu un objet commercial comme un autre?
Notre réponse est non.
Les Éditions Hedna ont choisi comme ligne éditoriale l’ouverture à tout les genres d’ouvrages depuis le roman jusqu’à la poésie en passant par le conte et le témoignage…etc.
Nous nous donnons comme objectif d’accueillir de jeunes écrivains, des écrivains d’origine étrangère qui sollicitent un accompagnement pour la mise en forme de leur ouvrage, des écrivains confirmés et toute personne qui considère l’écriture comme un vecteur d’échanges, de débats d’idée, voire de thérapie.
Cette ouverture, qui peut paraître atypique, fait jusqu’à ce jour l’originalité des Éditions Hedna.
Nous avons édité des ouvrages produits par des auteurs locaux ou internationaux : Syrie, Côte d’Ivoire, Haïti, Grande Bretagne, Algérie, France. En français ou dans d’autres langues. C’est cette pluralité, cette diversité culturelle et la richesse qu’elle engendre au cours de présentations littéraires qui aujourd’hui définissent la ligne éditoriale des Éditions Hedna. Les différentes rencontres (Ouest France)
Les gens écrivent pour laisser une trace à leurs enfants, leurs proches ou les générations montantes.
Particularité : chaque livre est une œuvre d’art
« L’objet livre » que nous livrons est un projet commun construit entre l’auteur et l’éditeur. Chaque livre esthétiquement à un cachet et l’auteur participe dans cette mise en page. Des artistes plasticiens nous accompagnent
Nous refusons le formatage proposé à l’auteur
Insister sur le côté humain de l’échange entre l’éditeur et l’écrivain
Les Éditions Hedna se réservent le droit de ne publier que les textes de qualité sans exclure l’édition à compte d’auteur pour les autres.
Les Éditions Hedna proposent des packs de corrections grammaticales
Côté médiatique : radio, espace France, presse nationale et internationale ….
Nous permet de découvrir des auteurs locaux, tous genres jeunes, adultes, collégiens, lycéens… etc