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MSHA

Maison d'édition à compte d'éditeur

Comme toutes les Maisons des Sciences de l’Homme inscrites à fois dans un site local et régional et dans le Réseau national des 22 MSH, la MSHA constitue un espace privilégié de recherches transversales en sciences humaines et sociales. Placée sous le signe des cinq « i » de l’interinstitutionnel, de l’interdisciplinaire, de l’international, de l’incubation et de l’insertion dans le milieu régional, elle joue le rôle d’un facilitateur pour la communauté aquitaine de chercheurs.

Comme Structure fédérative de recherche, soumise à l’évaluation de l’AERES, la MSHA pratique en permanence le principe de subsidiarité par rapport aux ressources et aux dispositifs de recherche des Universités bordelaises, de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour, de l’IEP de Bordeaux et des laboratoires aquitains du CNRS travaillant en SHS.

La MSHA représente avant tout une Maison d’équipes de programmes transversaux présentés plus loin pour son contrat quinquennal 2016-2020 avec le Ministère de la Recherche, contrat qui représente le cœur de son dispositif scientifique. Elle vient aussi à l’appui des Écoles doctorales, en contribuant à la formation qu’elles dispensent et en offrant des espaces communs d’accueil et de travail aux doctorants.

L’ouverture de la Maison des Sciences de l’Homme à la fois sur le site bordelais, sur la région Nouvelle-Aquitaine, sur l’espace hexagonal et sur les horizons internationaux se traduit également par une politique de réponse multiforme aux appels d’offre. Elle se concrétise aujourd’hui par le soutien apporté par le Conseil Régional à des programmes caractérisés comme prioritaires et structurants et par l’éligibilité à des appels d’offre nationaux, en premier lieu de l’ANR, mais aussi européens dans le cadre du 7ème PCRD. Cette dimension internationale se prolonge par un dispositif d’invitation de chercheurs étrangers, au sein du Réseau des MSH avec une mise à disposition de bureaux sur projets.

Contact

Téléphone

0556846800

Adresse

10 Esplanade des Antilles, 33607 Pessac
France

Maisons d'éditions similaires :

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Honoré Champion

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1874
150 publiés par an
Depuis 1874, les Éditions Honoré Champion sont spécialisées dans l’édition d’érudition en sciences humaines. Leur catalogue complet, qui retrace plus de 130 ans de recherche universitaire francophone, contient plus de dix mille titres dont nombre ont fait date dans leur domaine et demeurent des références irremplaçables. Ces vingt dernières années, les Éditions Champion ont considérablement développé leurs champs d’activité et sont devenues l’un des premiers éditeurs d’érudition francophone en sciences humaines avec environ 150 titres par an.
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Anamosa

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2016

Anamosa se veut un espace d’expériences à la fois savant et populaire. Les ouvrages et les revues proposés relèvent de cette volonté : soigner le fond et la forme parce que la non-fiction peut être lue par tous… comme un roman.

Profondément ancré dans le monde contemporain et les questionnements multiples qu’il suscite, le projet d’anamosa est ainsi d’aborder ces derniers loin des doctrines qui cloisonnent et de l’immédiateté du discours qui peut enfermer.

Nos auteurs sont au centre de ces préoccupations : comment transmettre des savoirs pour aider à mieux comprendre les problématiques qui traversent nos sociétés, comment interroger les contradictions humaines, sans vouloir les résoudre à tout prix en ne négligeant aucunement le plaisir de l’écriture et de la lecture.

 Chez les Sauks, une tribu amérindienne, anamosa signifie « tu marches avec moi ». Et c’est bien de cela qu’il s’agit : marcher ensemble, longtemps, au gré des livres, avec les auteurs, avec les libraires, avec les lecteurs.

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André Frère

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2013
75 livres au catalogue dont

Cofondateur et éditeur chez Images En Manœuvres Éditions, après avoir obtenu en 2011 le prix Nadar avec Jean Christian Bourcart pour l’ouvrage Camden et en juillet 2012 le «Prix du livre historique» aux Rencontres d’Arles pour l’ouvrage Les livres de photographie d’Amérique Latine de Horacio Fernandez, il crée en 2013 André Frère Éditions, maison spécifiquement axée sur le champ de la photographie qui publie entre 6 et 10 titres par an, 75 titres au catalogue à ce jour.

André Frère Éditions édite des ouvrages monographiques de photographes de renom mais aussi de nombre de photographes émergents, il développe parallèlement une collection de livres d’entretiens « Juste entre nous » avec aujourd’hui sept titres réalisés.

Issu des arts graphiques et directeur artistique de formation, André Frère s’est toujours attaché dans ses productions à explorer le travail de la forme, des matières et du graphisme, chaque livre est adapté au travail du photographe afin de le servir et de l’exprimer au mieux.

André Frère Éditions est diffusé par Pollen/Cedif pour la France et pays francophones et par IdeaBooks, basé à Amsterdam pour l’international il participe à de très nombreux salons et festivals en France et à l’étranger.

André Frère Éditions est une marque de l’association Ce qu’il nous reste à voir.

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De Boeck Supérieur

Maison d'édition à compte d'éditeur
2000 livres au catalogue dont 160 publiés par an

Avec un catalogue de près de 2 000 livres et ebooks, et plus de 160 nouveautés publiées chaque année, De Boeck Supérieur est l’un des principaux éditeurs du Savoir en France et dans les pays francophones.

Nous vous proposons :

- des manuels et livres de référence pour les #étudiants de l’université et plus largement du supérieur, ainsi que pour les #chercheurs
- des livres pour les #professionnels (psychologues, métiers de la rééducation, managers, RH, enseignants…)
- des titres à destination du plus grand nombre, que vous soyez curieux ou passionnés : #vulgarisation scientifique, #parenting, #beaux livres…

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Rivages

Maison d'édition à compte d'éditeur

Payot et Rivages est une maison d'édition française, issue du rapprochement en 1992 des activités d'édition de la société suisse Payot, créée en 1900, et de la société française Rivages, créée en 1984. Payot & Rivages a fait l'objet d'une prise de participation majoritaire par Actes Sud en janvier 2013.

Wikipédia

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Klincksieck

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1842
900 livres au catalogue dont 30 publiés par an
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Riveneuve

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2001
40 publiés par an

Riveneuve : la maison d’édition indépendante qui raconte le monde aux Français et les Français au monde

Nées en 2001 au bord de la Méditerranée, quai Rive-Neuve dans le vieux port de Marseille, les éditions Riveneuve publient d’abord une revue littéraire : Riveneuve Continents, revue des littératures de langue française. Mais, déjà, le parti pris est celui de l’ailleurs, des nouvelles rives, des nouvelles frontières. Montées à Paris en 2007, elles deviennent généralistes en sciences humaines et en littérature largement ouvertes sur le monde.

En 2016 la maison déménage dans un espace plus grand – une ancienne boutique d’opticien dont elle conserve l’enseigne lumineuse, au 85 rue de Gergovie dans le 14e arrondissement. C’est l’occasion d’un nouveau souffle et d’un nouveau concept : Riveneuve ne fait pas seulement près d’une cinquantaine de livres par an diffusés et distribués par Interforum, elle tisse du lien social autour des livres, elle « fait société ». Expositions, conférences, débats, lectures-musicales, concerts, ateliers d’écriture ou de calligraphie, marché de Noël, etc., Riveneuve est aussi un petit centre culturel en plein 14e !
 

À l’échelle d’une petite maison d’édition indépendante, il s’agit de penser global et d’agir local. En pleine conscience qu’une part conséquente de la littérature de langue française – c’est-à-dire du monde multiforme de la francophonie ou en traduction – et des sciences humaines est générée par l’exil et le voyage, Riveneuve entend contribuer aux débats qui animent la société française au travers de destins engagés en Europe, en Afrique, en Asie ou aux Amériques. Riveneuve est à l’écoute de la part étrangère qu’il y a dans chaque Français comme de la part française qui existe dans chaque auteur étranger qu’elle publie. Il s’agit de raconter le monde aux Français et les Français au monde.

Plutôt qu’une ligne éditoriale, il s’agit d’un environnement culturel auquel participe le nouveau concept (Riveneuve Concept-Store), le nouveau logo, la bande son de Riveneuve (texte et musique d’HK), le nouvel espace (« la boutique »), les nouvelles collections, le nouveau site web, la nouvelle équipe.

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Verdier (Editions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1979
760 livres au catalogue dont 27 publiés par an
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INED

Maison d'édition à compte d'éditeur
Les Éditions de l'Ined existent depuis 1945, date de la création de l'Institut national d'études démographiques de Paris. Spécialisées dans l'étude des populations avec une approche ouverte de la démographie, les publications de l'Ined mobilisent un large éventail de disciplines comme l'économie, l'histoire, la géographie, la sociologie, l'anthropologie, la biologie, l'épidémiologie. Les Éditions de l'Ined diffusent leur catalogue à l'international, que ce soit leurs collections d'ouvrages en français, ou celle en anglais Ined Population Studies (publiée chez Springer). Elles traduisent et publient en français et en anglais la revue trimestrielle
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