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Plon

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1852
1852 livres au catalogue dont 100 publiés par an
Pôle jeunesse des éditions Plon, Plon jeunesse accompagne les ados en leur proposant des romans adaptés à leurs envies, des héros qui leur ressemblent, des documentaires qui répondent sans tabou à leurs questions, des livres sérieux ou drôles qui leur parlent d’eux.

Contact

florence.maletrez@editions-plon.com

Téléphone

0144160900

Adresse

12, avenue d'Italie, 75013 Paris
France

Dépôt de manuscrits

Maisons d'éditions similaires :

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Phénix d'Azur

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2014
80 livres au catalogue dont 20 publiés par an
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Caraibeditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2008
Caraïbéditions a souhaité créer un espace d’expression créole et plus largement « domien ». Elle publie des ouvrages qui ont tous un lien direct ou indirect avec les Antilles-Guyane et La Réunion, que ce soit grâce à la langue (les créoles), grâce aux auteurs (originaire ou vivant dans les DOM) ou grâce aux histoires qui se déroulent dans les DOM. Elle a été la première maison d’édition à publier, dès 2008, des ouvrages célèbres en créole antillais, guyanais et réunionnais. C’est ainsi que figurent à son catalogue des romans, des contes et des BD en créole aussi célèbres que « L’étranger » d’Albert Camus, « Le Petit Prince » d’Antoine de Saint-Exupéry ou "Astérix" d’Uderzo et Goscinny sans oublier des ouvrages tels que « Trajédi Rwa Kristof » d’Aimé Césaire. Avec la publication de ces ouvrages en créole, Caraïbéditions a souhaité créer et publier ses propres séries en français. C’est ainsi que sont nées diverses séries manga, BD et albums jeunesse. La série BD "Mémoire de l’esclavage" de Serge Diantantu est une des rares séries BD parrainée par l’UNESCO. Caraïbéditions possède également une collection de polars et de romans dans lesquelles sont publiées des auteurs connus et reconnus tels que Raphaël Confiant, Ernest Pépin ou Lyonel Trouillot... Le polar "Le gang des Antillais" de Loïc Léry a été porté à l’écran fin 2016. Une collection érotique figure également au catalogue de Caraïbéditions. Une collection essais et ouvrages universitaire figure également au catalogue de Caraïbéditions avec notamment plusieurs ouvrages de santé et bien-être qui connaissent un joli succès tels que "Psychologie des sociétés créoles" ou "Les violences dans les sociétés créoles" d’Errol Nuissier.
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Héloïse d'Ormesson

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2004
250 livres au catalogue dont 22 publiés par an
Créées en 2005, les Éditions Héloïse d'Ormesson publient une vingtaine de titres par an, partagés entre fiction et non fiction, française et étrangère. Récemment, la maison a connu des succès avec
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Croisée des chemins (La)

Maison d'édition à compte d'éditeur
Éditer, c’est encourager à penser, proposer à aimer, partager une passion ou donner à réfléchir. C’est aussi, voire surtout, être en relation continue avec les lecteurs et les lectrices. Par les temps qui courent, il est plus que vital de s’arrêter un moment pour vivre dans cet ailleurs, présent et éternel, que sont les livres.
Y rêver, y rire et y pleurer, garder le souci de l’âme et découvrir l’autre.
C’est ce que nous vous proposons.
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A Vue d'Oeil

Maison d'édition à compte d'éditeur
200 livres au catalogue dont 70 publiés par an
À vue d’œil est une maison d’édition comme les autres. Comme nos consœurs dites « Tous publics », nous aimons les livres passionnément. Et nous aimons faire partager ce goût de la littérature par des choix éditoriaux qui nous ressemblent, que nous souhaitons éclectiques, et en prise avec l’actualité littéraire. Une maison d’édition comme les autres, donc, avec juste une petite particularité : nous proposons des livres en gros caractères. Et qu’est-ce qu’un livre en gros caractères ? C’est un livre dont l’ergonomie facilite grandement la lecture, par la taille agrandie des caractères utilisés, une mise en pages très lisible, un papier antireflet, une couverture illustrée en couleurs… Une somme de détails très précis et étudiés, permettant à tous ceux et celles, nombreux et de tous âges, qui souffrent de déficits visuels variés, de renouer avec le plaisir de lire dont ils étaient trop souvent exclus. En somme, des livres simplement pensés et adaptés pour répondre à des besoins spécifiques. C’est tout.
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Verger (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1988
400 livres au catalogue dont 20 publiés par an

Le Verger Editeur fêtera ses trente-cinq ans en 2023. Editeur régional, il est spéciallisé dans la culture rhénane (Alsace).

Collections majeures: les Enquêtes rhénanes (polars régionaux alsaciens), la Biblithèque rhénane, contes rhénans.

Soumission de manuscrits: pas de tél, pas de mail. Voir la page http://www.verger-editeur.fr/spip.php?page=manuscrits

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Actes Sud

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1978
10850 livres au catalogue dont 500 publiés par an
Créées en 1978, dans la vallée des Baux, par Hubert Nyssen et Christine Le B'uf, rejoints par les autres fondateurs, Françoise Nyssen, Bertrand Py, Jean-Paul Capitani, les éditions Actes Sud développent une politique éditoriale généraliste. Elles se sont distinguées par leur implantation en région, leur identité graphique, mais également par une ouverture de leur catalogue aux littératures étrangères. Installées depuis 1983 à Arles, elles poursuivent leur développement dans une volonté d'indépendance et un esprit de découverte. Leur catalogue (plus de 6 500 titres), réserve une place essentielle à la littérature (une soixantaine de domaines  linguistiques et un domaine français riche de 500 titres), et accueille des auteurs venus de multiples disciplines artistiques.
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Quidam éditeur

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2002

Quidam éditeur a été créé par Pascal Arnaud à Meudon (Hauts-de-Seine) en 2002, sous le signe du curieux personnage d'Arzach, dessin offert par Moebius pour devenir le logo de la maison, conséquence d'une interview sur une radio libre menée par Pascal Arnaud auparavant.

La maison accède progressivement à une certaine notoriété, se signalant par son opiniâtreté dans la recherche d'auteurs "à part", tant français qu'étrangers, et obtient une réelle reconnaissance publique, notamment en tant qu'éditeur de B.S. Johnson et de la biographie que lui consacre Jonathan Coe.

La maison d'édition rencontre des difficultés en 2011-2013, durant laquelle un ouvrage devra notamment être produit en souscription, mais surmonte cette crise et repart de l'avant dès 2014, grâce notamment à la solidarité des lecteurs et des libraires.

Interrogé en 2014 sur ce qui l'a poussé à cette création, Pascal Arnaud répond : « Un faisceau de circonstances : une mort, une naissance à venir, un dessin de Moebius, un coup de pied au cul symbolique, l’autodidacte cet animal, l’envie d’être étonné, l’envie d’étonner, le fantasme peut-il prendre corps, le goût du risque enfin, tenter de faire grand (de sens) avec rien (no pépètes) ».

La démarche d'édition est principalement volontariste, l'éditeur mentionnant n'avoir en quatorze ans publié que cinq textes reçus par la poste, soit environ 10 % de son catalogue français (ces envois acceptés étant les romans de Philippe Annocque, Denis Decourchelle, Pierre Terzian, Romain Verger et Catherine Ysmal).

La maison a publié 17 ouvrages durant ses cinq premières années (2002-2006), 46 durant les cinq suivantes (2007-2011) et 26 entre 2012 et 2016.

Wikipedia

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L'Age d'Homme

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1996
4000 livres au catalogue dont
La maison d'édition L'Age d'Homme est fondée en 1966 à Lausanne par Vladimir Dimitrijevic. C'est sans doute à L'Age d'Homme, forte aujourd'hui de 4000 titres, que nous devons de ne plus réduire la littérature russe aux seuls noms de Dostoïevski , de Tolstoï ou de Gorki. Grâce à la collection «Classiques Slaves», les lecteurs ont pu découvrir les œuvres majeures du symbolisme russe, celle d'André Biely (Pétersbourg, La Colombe d'Argent, Kotik Letaiev), d'Ossip Mandelstam, d'Alexandre Blok ; des auteurs aussi considérables que les polonais Witkiewicz ou Ladislas Reymont ; les écrits esthétiques de Malévitch, les essais et les romans de Zamiatine, de Leskov ou de Boris Pilniak. De Ivo Andritch et Dobritsa Tchossitch aux chefs-d'œuvre d'Alexandre Zinoviev, la collection «Classiques Slaves» qui compte aujourd'hui plus de 500 titres, a permis de faire connaître un immense patrimoine littéraire que le «réalisme-socialiste» n'avait pas réussi à étouffer.
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Ad Solem

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1992
Ad Solem, « vers le Soleil » : un nom, un esprit aussi, résolument tourné vers la « Lumière qui éclaire tout homme» (Jn 1, 12). Depuis 1992, chaque livre veut à sa manière être un éclat, une étincelle pour faire rayonner le sens ; un espace pour permettre la rencontre de l’Autre à travers le chemin des mots. Rencontre par le biais de l’écriture, laquelle, comme une trace, atteste le passage de Celui qui ne se laisse découvrir qu’après coup, dans la distance. Pendant quelques instants, le temps de lire une ligne ou une page, le lecteur abandonne sa volonté propre pour suivre l’empreinte laissée par les mots sur la surface de la page. Moments de communion avec l’auteur, dont les mots veulent réveiller en nous «le désir de l’éternité inconnue sous la douceur des mots connus» (saint Grégoire le Grand). On ne ressort jamais le même de la lecture d’un livre. L’édition est un art : un savoir-faire qui doit communiquer un savoir-vivre. Le livre, pour Ad Solem, n’est pas un moyen parmi d’autres de transmettre savoir et sagesse. Si le codex a remplacé le volumen aux premiers siècles du christianisme, c’est que sa forme traduisait le contenu de la foi dont son apparition est solidaire. Au déroulement infiniment répété du rouleau a succédé l’arrêt sur la page, la fin de la ligne. A l’éternel retour a succédé la Nouvelle Alliance. Aujourd’hui, les textes se déroulent sur l’écran des ordinateurs. Le temps du nihilisme se traduit par la civilisation du rouleau numérique. Comment être «à la page» aujourd’hui si le livre est menacé sinon de disparition du moins d’une marginalisation croissante ? Peut-être en reprenant conscience de ce que livre n’existe pas sans un regard qui se pose sur la page. Avant d’être un objet, le livre est un verbe : il «se livre» au regard. Quelqu’un s’y donne. Mais dans un retrait. « Il se tait et les mots qui nous restent s’écartent peu à peu pour laisser passer entre eux son regard » (Jean-Pierre Lemaire).
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