logo

Artéaz

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1996
Éditer, c’est aimer.
Aimer un texte, un artiste, une folie.
Je suis né à Paris. Mon grand-père était un souletin exilé en Labourd. J’aimais cet homme de manière inconditionnelle. Je suis parti à la recherche de son pays. C’est comme ça que ça a commencé.
Et l’océan, c’est Dieu.
Editer, c’est aimer.
Le reste n’a pas d’importance.

Contact

Adresse

Basa Buru – Chemin Loretan, 64122 Urrugne
France

Maisons d'éditions similaires :

logo-similar-editor

DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

logo-similar-editor

Institut Catholique Toulouse

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2013
Créées en 2013, les Presses universitaires de l’ICT ont vocation à publier des ouvrages à caractère universitaire et scientifique : des monographies, des supports pédagogiques, des actes de journées d’étude, de séminaires et de colloque, des ouvrages collectifs, des thèses de Doctorat et des mémoires de Master ainsi que sa tradition d’ouverture aux études à la fois ecclésiastiques et profanes, et ce dans tous les domaines investis par ses enseignants-chercheurs (les humanités, les sciences religieuses, les sciences sociales, les sciences juridiques, l’éthique des sciences). Des accords-cadres ont été signés avec les maisons d’éditions Lethielleux, Brepols, Domuni-Press, Parole et Silence et le Groupe Elidia. Depuis avril 2017, une plate-forme dédiée aux Presses universitaires permet d’acquérir l’ensemble des ouvrages en ligne. Ceux-ci sont également disponibles à l’Espace Senderens, à l’Institut catholique de Toulouse.
logo-similar-editor

Eclat (Éditions de l')

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1985

Les éditions de l'Éclat sont créées à Paris en février 1985 sous le statut d'association loi de 1901 puis de SARL à partir de 1988.

Le premier titre publié est Comment trouver, comment chercher une première vérité ? du philosophe Jules Lequier.

Sa diffusion à l’international est assuré par les distributeurs Zoé Diffusion en Suisse, Dimédia au Canada et Harmonia Mundi en France et Belgique.

 

Wikipédia

logo-similar-editor

First

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
2000 livres au catalogue dont 382 publiés par an
logo-similar-editor

La Veytizou

Maison d'édition à compte d'éditeur
Au coeur du Limousin, il est un village avec ses écrivains passionnés d'Histoire et amoureux du Terroir. Des Récits et des Romans ont éclos pour vous distraire et vous dire... Un parfum de nostalgie. Un brin d'espoir... En leur compagnie, empruntez le chemin du Savoir.
logo-similar-editor

Arcane 17

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2008
Arcane 17 est une maison d’édition et d’initiatives. Créée fin 2008, en Occitanie, au cœur des Pyrénées, son choix fondateur est de faire connaître des récits et des poèmes rivés au Sud, à l’Espagne et au pourtour méditerranéen. Mais son champ de publication se nourrit également des nouveaux territoires et du nouveau Monde en train d’éclore sous nos yeux ; les solidarités qui sont en train de se tisser, les questions émergentes sur le vivre en commun, l’écologie, la démocratie.. De fait une partie de notre catalogue est dédiée aux luttes sociales, environnementales, aux droits de la personne humaine, au livre politique et à la refondation de la gauche ! Deux collections sont consacrées à ces questions : la collection Franc Tireur dévolue à des essais courts et percutants favorisant la réactivité à l’actualité, la collection Itinéraires inaugurée en mai 2016 et qui à l’inverse privilégie l’analyse de fond. Le polar est un genre que nous avons décidé d’explorer dans toute sa richesse, car directement connecté sur la société. Le roman s’est également imposé parmi nos publications des années 2015 et 2016: là encore sous forme de récits interrogeant l’histoire ou faisant le diagnostic de sociétés en crise profonde ou en plein éclatement. Notre catalogue est éclectique mais bâti autour du même refus de banaliser les injustices, la soumission, le repli et l’entre soi. A contrario il fait la part belle au mouvement et au dialogue partagé.
logo-similar-editor

Le Passager Clandestin

Maison d'édition à compte d'éditeur
75 livres au catalogue dont

Le passager clandestin publie des textes de critique sociale qui se rapportent notamment à l’écologie, à la décroissance, à la désobéissance civile... Nous ne croyons pas à un quelconque ordre immuable de la société. Nous dénonçons chaque fois qu’il est possible les fondements idéologiques d’un système qui se donne pour « naturel » et auquel il n'y aurait d'autre issue que de s'adapter. Le choix de l’édition indépendante, dont on sait qu’elle doit constamment lutter pour survivre, constitue, en soi, une prise de position. Cette indépendance est à la fois une condition et l’un des buts de notre activité. Elle repose sur un ensemble de pratiques et d’échanges peu formalisés, en prise directe avec les lieux et les gens.


Le passager clandestin aborde souvent des sujets réputés graves, mais nous n’avons aucun goût pour le dogmatisme et les « passions tristes ». Nos livres se veulent honnêtes, rigoureux ; ils exigent parfois un effort pour déplacer le regard. Mais notre activité se nourrit aussi de l’imagination, de la joie et de l’humour, sans lesquels ce monde ne serait décidément pas habitable.


Outre la réédition de textes anciens, nous avons publié récemment le Petit livre noir des grands projets inutiles ; un essai consacré à l’Utopie du logiciel libre ; le Rapport Brazza, document historique inédit à ce jour sur les dégâts du colonialisme français au Congo au début du XXe siècle. Nous avons a également créé deux nouvelles collections en 2013 : une collection de science-fiction, « Dyschroniques », série de textes d’anticipation écrits vers le milieu du XXe siècle par des auteurs renommés dans le genre ; et la collection les « Précurseurs de la décroissance » dirigée par Serge Latouche.

logo-similar-editor

L'Echappée belle édition

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2010

L’échappée belle est une maison d’édition fondée en 2010 à Paris par Florence ISSAC.
Elle se veut :


- introspective, donnant tout son relief à un langage de l’intériorité et de l’émotion ;
- humaniste et engagée, proposant un regard généreux sur le monde et les Hommes et leurs infinies virtualités ;
- plateforme collaborative et solidaire.


Avec pour ligne d’horizon la recherche de la beauté : beauté des mots (poésie, nouvelle, théâtre) ; beauté des artéfacts matériels (architecture et design, photographie) ; beauté de l’âme et du corps (danse, bien-être).

logo-similar-editor

Delga

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2004
60 livres au catalogue dont
Les Editions Delga, fondées en 2004, sont une maison d’édition spécialisée en sciences humaines, engagée dans la défense du service public culturel, la recherche marxiste et l’histoire du mouvement communiste international.
logo-similar-editor

Editions des Enfers

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2019
5 publiés par an
Les éditions des Enfers ouvrent les portes de l'édition à tous les auteurs qui veulent s'investir dans la promotion des livres.
Pour écrire un commentaire, connectez-vous.