Montagnes Noires (Editions): contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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51-53 rue Joseph-Le Fur, 56110 Gourin FranceMaisons d'éditions similaires :
Serge Safran éditeur
Diffusé par Le Seuil et distribué par Volumen, Serge Safran éditeur, créé et animé par Serge Safran, écrivain et cofondateur des éditions Zulma, propose a priori une dizaine de titres par an de littérature contemporaine, française ou étrangère.
À savoir un choix personnel guidé par l’originalité du sujet, la force d’émotivité et le dérangement des codes établis, qu’ils soient moraux, littéraires ou esthétiques. L’idée est avant tout d’offrir de réelles découvertes. Donc de privilégier, sans que cela soit une contrainte, ni une limite, de nouveaux ou jeunes auteurs, en tout cas des écrivains méritant d’être soutenus et encouragés avec passion.
Il ne s’agit pas de revendiquer une rupture littéraire formelle à tout prix, mais que ces œuvres puissent exprimer une forte personnalité à travers un sujet à caractère universel comme, par exemple, la relation entre des visions opposées du monde, sur toile de fond historique, géographique ou sociale spécifique.
Torticolis et frères
Larzac (Éditions du)
Qui nous sommes
Éditeur indépendant constitué en collectif d'auteurs et d'artistes, « Les éditions du Larzac » est le département éditorial de l'herbe sous le pied, association loi de 1901. L'herbe sous le pied a pour objet de promouvoir l'écologie.
Le collectif travaille de manière collégiale avec la direction éditoriale de la maison pour permettre la publication d'ouvrages — de fiction ou de documentaire — apportant leur contribution à la ligne éditoriale : « L'esprit écologique en récits dessinés ».
Ce que nous défendons
Face aux inconséquences de la civilisation industrielle et consumériste, au pouvoir hégémonique des marchés, à l'effondrement des écosystèmes et à l'aggravation abyssale des inégalités sociales, nous pensons la création littéraire comme un acte subversif capable d'infléchir la cadence.
Ainsi, nous nous engageons à publier et à défendre toute oeuvre provoquant, au moyen d'un récit, le désir d'un monde porteur de sens.
Pour anticiper un autre modèle de société et maintenir des liens de solidarité dans une culture de la résilience, nous recherchons les ouvrages inventeurs de nouvelles représentations et créateurs d'un nouvel imaginaire.
Alexandra de Saint-Prix
Respect de la parole donnée
Respect des auteurs et des collaborateurs : correcteurs, graphistes, illustrateurs, webmarketeurs,…
Respect des partenaires : imprimeurs, libraires, médiathèques, distributeurs, diffuseurs, journalistes, organisateurs de salons…
Respect du métier du livre
Exigence du travail bien fait
Exigence de qualité des matières premières
Exigence du respect des délais annoncés
Exigence de qualité dans le choix des manuscrits édités
Exigence de confiance réciproque pour travailler dans la performance
Disponibilité pour répondre rapidement à toutes interrogations
Curiosité dans les nouvelles technologies et la communication
Liberté dans le choix des partenaires
Fidélité dans l’engagement et le temps
Passion des livres
En une seule phrase :
Amour du travail bien fait par une équipe de bonne volonté dans la joie et la bonne humeur.
Heros-Limite Editions
Les éditions Héros-Limite ont été créées en 1994, par Alain Berset, à Genève au milieu de plusieurs tonnes de caractères en plomb, d’une presse à épreuves et d’un massicot. Associer un atelier d’imprimerie typographique à une maison d’édition était lié à une perception de la littérature.
Un point de départ. Nous pensons toujours que l’écriture ne peut être qu’artisanale et que les conditions dans lesquelles un livre se conçoit ne sont pas indifférentes ou anodines. Tout d’abord les éditions Héros-Limite se sont consacrées aux livres d’artistes, à la poésie visuelle et concrète, à la poésie lorsqu’elle quitte la page imprimée.
Aujourd’hui, nous nous attachons à publier de la prose poétique, des récits, plus généralement des écrits et des documents sonores qui trouvent leur sens dans la recherche d’une forme et donnent ainsi vie à l’expression d’une pratique artistique.
Fayard
Corridor Bleu (Le)
Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.
La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.
Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien. Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.
Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.
Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.
Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.
Phébus (Éditions)
Amourier (L')
Contrairement à ce qui saute aux yeux, le nom de l’Amourier ne doit rien à Cupidon. C’est tout simplement le nom du quartier où se situe la maison d’édition; ce lieu était jadis complanté de mûriers – amourier en occitan – arbres dont les feuilles sont utilisées pour l’élevage des vers à soie. On est ici dans la patience et l’obstination, dans le tissage, le textile; dans l’avènement des textes en somme.
Notre maison ne publie pas ce qu’on appelle des « nouveautés »; sa taille ne lui confère pas la visibilité indispensable à ce genre d’exercice. En revanche, depuis plus de 25 ans nous nous appliquons, titre après titre, à bâtir un catalogue où, à travers romans, poésie, nouvelles et formes narratives courtes, nous essayons de privilégier la diversité. Celle-ci découle naturellement des contributions apportées par chacune des personnes qui constituent notre comité de lecture.
Aux carrefours de nos mondes, plus encore depuis ces dernières années, s’ouvrent des voies funestes propres à compromettre la vie. La vie sur terre et celle de chacun dans son intégrité, dans sa dignité. Depuis 2015, année de nos 20 ans, nous avons ouvert une collection « Bio », certes elle contient un choix de biographies; grandes figures qui par l’exemple de leur détermination, de leurs luttes concourent à l’expression de la vie, mais aussi l’exploration par les textes de mouvements, de pensées, de perspectives nous permettant d’envisager de nouvelles ressources pour alimenter nos devenirs.
Nous voudrions avec ce nouveau site intensifier les échanges au moyen d’informations, de chroniques, d’entretiens, de relations d’événements en rapport avec nos réseaux et publications.
Au-delà de ces quelques mots destinés à vous ouvrir les portes de la maison, nous vous laissons découvrir ce site et le catalogue des éditions…