Baie des anges: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Contact
Adresse
8 chemin de la Lauvette, 06300 Nice FranceSite Web
http://www.baiedesanges-editions.com/Adresse
8 chemin de la Lauvette, 06300 Nice FranceMaisons d'éditions similaires :

Belles Lettres

Mango Jeunesse
Philippe Duval
Créées en 2011, les Éditions Philippe Duval, du nom de leur fondateur, sont spécialisées dans un premier temps dans le domaine de la petite enfance (0-6 ans).
Les ouvrages publiés témoignent d’un engagement fort aux côtés des professionnels de la petite enfance, visant la reconnaissance de leurs métiers par la transmission et l’actualisation des savoirs, qu’ils soient issus des chercheurs ou des professionnels de terrain. Les Éditions Philippe Duval travaillent en partenariat avec l’Institut Petite Enfance-Boris Cyrulnik et le groupe de presse TPMA, qui publie Le journal des professionnels de l’enfance, Assistantes Maternelles magazine, Le journal des éducateurs de jeunes enfants et Sciences Psy.
En 2015, les Éditions Philippe Duval lancent une nouvelle collection, en partenariat avec le magazine Sciences Psy, davantage axée sur l’apport des neurosciences dans la psychologie

Chêne (Editions du)

Dilettante (Le)
Parenthèses (Éditions)
Dans maison d’édition il y a maison. Deux architectes, ébouriffés de Buckminster Fuller, Taos ou Theotiuacan, s’obstinèrent à vouloir dire combien « des hommes ont longtemps regardé la terre autrement qu’avec des yeux dédaigneux. Ils en ont soulevé la pellicule supérieure pour édifier leurs abris et s’y insérer. » Ce fut Archi de terre. D’abord vingt-six feuilles, deux cent quatre-vingt-dix millimètres sur quatre cent vingt, reprographiés recto verso d’après des originaux de deux feuilles issus d’une IBM à boule Letter Gothie surtitrés en lettres transfert Franklin, fixées sur une carte de deux cents grammes, le tout plié et doté de deux agrafes métalliques de douze millimètres.
Vint ensuite l’odeur du plomb fondu et des bains de fixatif de l’imprimerie de la rue Sainte très exactement en face de la librairie Lire, celle-là même qui nous donnait à voir tous les Maspero [toutes deux, l’imprimerie et la librairie ont depuis longtemps disparu, l’une sous les faux billets l’autre sous les attentats]. Le premier livre était presque là. Il fallait maintenant trouver un nom à la maison-demeure qui allait l’héberger. Elle aurait pu s’appeler NO REPRODUCTION, car ces termes légaux figuraient, prêts à poncer, sur toutes les planches de Letraset. Ce sera défi plus que choix-la marque d’un attachement à la précision typographique, la dénomination de ces signes de ponctuation doublés — pour venir s’intercaler. Archi de terre, aux Éditions Parenthèses, douze mille exemplaires diffusés première ivresse d’un métier encore à découvrir. Des livres d’architecture donc, mais bien sûr des livres d’architectes, menés comme un projet — « projet éditorial » — façonnant le matériau brut pour abriter, pérenniser. Des livres considérés comme un espace de découverte à aménager, au prix d’une implication absolue dans le confinement de la page — du moindre attribut typographique à l’image choisie et traitée.
L’architecture dans tous ses états — histoire, pratique ou objets emblématiques-mais surtout architecture pour s’ouvrir au monde collection « Architectures traditionnelles » — « l’architecture traditionnelle reste l’enseigne ethnique la plus démonstrative, mais aussi, souvent, la plus menacée ». L’architecture toujours à l’écoute, à l’écoute notamment du jazz, musique de l’esclavage oublié : collection « Epistrophy » — « accompagnements du jazz, de ses éclats, ses inassurances, ses colères, dans une passion cherchant à susciter ou renforcer la passion de ses gestes ». L’architecture s’ouvrant à l’art, aux origines de l’art : collection « Arts témoins » — « Témoins de la perfection des gestes fondateurs. Témoins aussi des Histoires qui,toujours, alimentent l’acte créatif. Témoins de ces altérités, les documents, gravures ou photographies mis en scène et confrontés à une connaissance en devenir, révèlent les richesses des mondes qui restent à découvrir. » Des collections, des livres pour une édition sans cloisonnements, fusionnelle, aqueduc dans l’espace ouvert de la découverte : collection « Eupalinos » où se confrontent des approches toutes complémentaires-art, architecture, urbanisme, musique (jazz, musiques improvisées, cultures musicales) , histoire, société ; collection « Diasporales » pour dire que « toute authenticité est un exil ».
L’édition sans perdre conscience : le livre n’est qu’un livre.
L’édition sans oublier de lever les yeux.
Le Festin
Hier
Le Festin a cette année 30 ans. Du chemin a été parcouru depuis le n° 1 de septembre 1989, sous-titré « Lettres, Lieux, Vues », et imprimé à quelque 1 000 exemplaires. La première page annonçait déjà en substance les grandes lignes directrices de ce que sera cette aventure éditoriale : ne pas aborder les patrimoines et la création en Nouvelle-Aquitaine sous un angle académique, mais selon une approche décomplexée et généreuse. Élevé au rang de doctrine, ce principe restera toujours le credo du Festin.
« L’Esprit Festin »
Il fallait redynamiser l’image vieillotte que véhiculait encore le patrimoine, en restituant la connaissance et en la rendant intelligible et attractive à tous, en défendant une vision plus prospective que nostalgique, plus régionale que régionaliste, plus familière qu’élitiste.
De fait, en tant qu’objet, la revue se présente à mi-chemin entre le livre et le magazine. Quant à son contenu, il associe des recherches scientifiques, inédites et documentées, à une démarche de vulgarisation. Partis pris, coups de cœur constituent le ferment de ce que l’on pourrait appeler « l’esprit Festin », autant éloigné du bulletin de société savante que du fanzine touristique. Un soin tout particulier est apporté aux images (recherches iconographiques ou actualité des reportages), car elles aiguillonnent la curiosité du lecteur. Elles éclairent, au même titre que la mise en page, le contenu rédactionnel, le soulignent en même temps qu’elle le divertit, afin qu’il n’y ait aucun hiatus entre le fond et la forme.
Enfin, le terrain d’action du Festin s'étend à toute la région Nouvelle-Aquitaine afin de proposer une lecture transversale du territoire. S’il existe une identité culturelle régionale, elle réside dans cet espace sensible où chaque site, chaque œuvre, chaque territoire est support d’interprétations, de correspondances et d’échanges. C’est aussi la diversité de la Nouvelle-Aquitaine qui fait la force de la revue. Réalisé par des amateurs passionnés pour d'autres passionnés, Le Festin se met au service de la connaissance, de l’expérience, de la découverte et du plaisir.
Aujourd’hui
En 2019, Le Festin fête ses 30 ans. Entre temps, il a tenté d’évoluer et d’améliorer par petites touches son propos rédactionnel et visuel. D’abord semestriel, puis trimestriel (à partir de 2002), il s’est imposé comme un rendez-vous désormais attendu pour les lecteurs. Il comptabilise aujourd’hui un catalogue de 109 numéros (dont beaucoup sont épuisés), auquel s’ajoute une trentaine de hors-série thématiques. Parallèlement, la maison d’édition propose chaque année une vingtaine de nouveaux titres (littérature, catalogue d’exposition, livres d’art, essais) qui viennent ainsi compléter le fonds culturel et patrimonial régional. Pour la seule revue, les plus de 10 000 pages qu’elle totalise depuis ses débuts en font un sommaire encyclopédique unique pour la Nouvelle-Aquitaine. Ce sont quelque 10 000 exemplaires et 2500 abonnements qui sont diffusés chaque trimestre dans plus de 600 points de vente.
Avec le temps, Le Festin a ainsi inventé son propre modèle économique, sans y perdre son âme ni ses ambitions. Loin de là, la grande aventure demeure intacte, l’équipe rédactionnelle et l'équipe commerciale composées de 15 salariés s’impliquent aujourd’hui dans cette profusion d’ouvrages avec toujours la même passion.
Biotope éditions
Pour certains, la biodiversité est un concept encore abstrait, pour d’autres elle est une passion, un métier, pour quelques-uns elle est même un combat. Pour tous ceux, sans cesse plus nombreux, qui s’en préoccupent et souhaitent la préserver, Biotope a créé en 1994 une MAISON D'ÉDITION qui publie des ouvrages sur la faune, la flore, les milieux naturels, l’environnement et l’écologie en général.
Le CATALOGUE des éditions Biotope est composé de monographies, d’atlas de répartition, de guides d’identification, dont certains sont coédités avec les Publications scientifiques du Muséum national d’Histoire naturelle : téléchargez le catalogue des éditions Biotope.
Nous publions aussi des ouvrages pour un public plus large tels que des beaux-livres, des guides de randonnées naturalistes et, bientôt, une collection de littérature générale (récits, essais…).
Tous nos titres sont disponibles en librairie et sur notre BOUTIQUE EN LIGNE le Club Biotope.
Silvana Editoriale
C’est en 1948 que Amilcare Pizzi a fondé Silvana Editoriale (ainsi appelée en souvenir de sa fille Silvana, prématurément disparue en 1944) et a ensuite développé avec rigueur et passion les activités de la maison d’édition en publiant des ouvrages de très grande qualité.
Mentionnons les « Cartelle Silvana » (comme Masaccio, Beato Angelico, Piero della Francesca, Michel-Ange, Léonard et Raphaël), qui ont vu le jour à l’occasion du premier congrès de l’UNESCO, organisé à Beyrouth en 1949, et la « Collezione UNESCO dell’arte mondiale », créée en 1954, également pour cette institution. À ces deux premières collections se sont ajoutées « Mito del colore », « Monografie », « Pochoir » et « Arte Moderna », dans laquelle a été publiée la première édition italienne en trois volumes des lettres de Vincent Van Gogh.
Parmi les monographies, signalons en particulier le livre consacré aux fresques de Mantegna dans la chapelle Ovetari de l’église des Érémitiques de Padoue, le seul document existant réalisé par les techniciens de la société Amilcare Pizzi spa en mars 1944, quelques jours avant que la chapelle ne soit détruite par les bombardements ; le livre de Mina Gregori sur Giacomo Ceruti (1982) ; la monographie de Carlo Bertelli sur Piero della Francesca (1991) ; Gesta dipinte. La grande decorazione nelle dimore italiane dal Quattrocento al Seicento de Julian Kliemann (1993, lauréat du deuxième prix Amilcare Pizzi).
La maison d’édition s’est employée pendant des décennies à valoriser le dessin italien, en créant une collection inaugurée avec I grandi disegni italiani dell’Albertina di Vienna (1972) de Walter Koschatzky, Konrad Oberhuber et Eckhart Knab, auquel s’ajouteront plus tard Raffaello. Il Cartone per la Scuola di Atene (1972) de Konrad Oberhuber et Lamberto Vitali, et I disegni del Codice Resta (1979) de Giulio Bora. Cette collection prendra fin avec le volume annuel édité en 2005.
En ce qui concerne les coéditions dans le domaine de la photographie et de l’art contemporain, nous tenons à signaler les albums photographiques de William Klein Mosca et Tokyo (1964) et, parmi les ouvrages monographiques, la première monographie sur Francis Bacon (1966), l’œuvre complet de Marino Marini (1971, avec 50 exemplaires de luxe numérotés en coffret avec eau-forte) et le livre sur Calder, issu de la collaboration de H. Harvard Arnason et Ugo Mulas (1971).
Parmi les nombreux catalogues d’exposition, mentionnons en particulier ceux de Franco Russoli sur Picasso (1953), de Charles Terrasse sur Pierre Bonnard (1955), de Renata Cipriani et Giovanni Testori sur les Pittori della realtà in Lombardia (1953), de Roberto Longhi sur l’Arte lombarda dai Visconti agli Sforza (1958), de Massimo Pallottino sur la Mostra dell’arte e della civiltà etrusca (1955), de Mario Bussagli sur l’Influsso classico ed iranico sull’arte dell’Asia Centrale (1956), sans oublier l’ensemble du corpus des catalogues des expositions (11) à l’occasion des manifestations pour le cinq-centième anniversaire de la mort de Laurent de Médicis (1992).
Dans le domaine de l’art contemporain, rappelons la collaboration avec le PAC – Pavillon d’Art Contemporain de Milan, qui a donné lieu à la publication des catalogues sur Luciano Fabro de Germano Celant (1980), sur Lella et Massimo Vignelli (1980) et Lluís Domènech i Montaner (1980), sur les Origini dell’Astrattismo (1979), Alik Cavaliere. I luoghi circostanti (1992) de Guido Ballo, et Afro. Dipinti 1931-1975 (1992) de Luciano Caramel, tous les trois pour le Palais Royal de Milan, ainsi que le catalogue sur Aliventi, Arp et Viani pour le Forte di Belvedere à Florence (1992), sous la direction d’Enrico Crispolti.
Dans le secteur du graphisme et du design, signalons la collection « Progetto Immagine » (1976), distribuée avec la marque Amilcare Pizzi Editore et forte de quatre titres : Lo Studio Boggeri 1933-1973 ; Carla Cerati. Mondo Cocktail ; Alberto Rosselli, lo spazio aperto ; Roberto Sambonet, il disegno come doppio, ainsi que la collection « Arte e Pubblicità » (1959), inaugurée par les trois volumes consacrés à l’activité d’Erberto Carboni, avec les préfaces, respectivement, de Herbert Bayer, Gio Ponti et Gillo Dorfles, auxquels s’ajouteront La Grecia in sogno, avec une préface de Jean Cocteau, où le graphisme, l’impression, la photographie et les textes composent un unique portrait recréant une atmosphère délicate empreinte d’un charme subtil. Erberto Carboni réalisera la couverture du catalogue général de la maison d’édition de 1962-1963, suivi par Paolo Lionni avec la photographie d’Ugo Mulas (1963) et par Marco del Corno, qui sera ensuite le directeur artistique de Silvana Editoriale pendant plusieurs années.
À partir du milieu des années 1990, la maison d’édition a redéfini sa stratégie éditoriale et s’est engagée dans un parcours de croissance et de développement sur les marchés national et international, principalement dans les secteurs de l’art, du design, de l’architecture et de la photographie. Toute cette activité est documentée dans le catalogue disponible sur le site internet.
Aujourd’hui, Silvana Editoriale publie plus de 400 titres par an, en collaboration avec des fondations, des instituts de recherche, des universités et des musées présents principalement en Europe, aux États-Unis et au Moyen-Orient.
Dans le domaine de l’art antique, à côté de monographies et de catalogues d’exposition, nous tenons à mentionner les collections « Studi della Biblioteca Hertziana » (depuis 2006), « Biblioteca d’Arte » (depuis 2002), une collection plurilingue réunissant des essais, des recherches et des actes de congrès nationaux et internationaux, et forte aujourd’hui de plus de 60 titres, et la revue Arte Medievale (depuis 2002).
Dans le domaine de l’art moderne et contemporain, nous désirons signaler, à côté des monographies, la collection « Biblioteca d’Arte Contemporanea » (depuis 2001), qui compte aujourd’hui plus de 30 titres, la collection « Fil rouge », qui raconte les histoires des collectionneurs et de leurs collections, ainsi que la collection des catalogues généraux et raisonnés d’artistes italiens et étrangers, dont ceux sur Francesco Paolo Michetti (2018) et Achille Perilli (2019), les derniers parus.
Dans le domaine de l’architecture, rappelons la collection de l’université d’Architecture de Mendrisio (depuis 2010), en coédition avec Mendrisio Academy Press, et la nouvelle collection « Biblioteca d’Architettura », qui regroupera des essais, des monographies, des recherches et des actes de congrès nationaux et internationaux.
Dans le secteur du design, notre maison d’édition se distingue par son engagement en faveur de la valorisation du design italien du XXe siècle, avec la publication, en particulier, de catalogues généraux en collaboration avec des archives privées et avec les archives universitaires de l’IUAV de Venise et du CSAC de Parme.
Dans le domaine de la photographie, Silvana Editoriale a renforcé sa collaboration avec Camera – Centro Italiano per la Fotografia de Turin (depuis 2015), avec le Festival Fotografia Europea de Reggio Emilia (depuis 2014) et avec l’Institut du Monde Arabe de Paris, pour la Biennale de Photographie Arabe Contemporaine (depuis 2017), qui vient s’ajouter à une importante production annuelle d’ouvrages monographiques.
Dans le secteur du graphisme publicitaire, Silvana Editoriale poursuit son travail d’approfondissement et de valorisation grâce à la collection « Manifesti/Posters » (depuis 2009) et « Grafica e Pubblicità » (depuis 2016), en poursuivant la tradition inaugurée par Amilcare Pizzi en 1959.