Annuaire d' éditeur / Baie des anges
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Baie des anges

Maison d'édition à compte d'éditeur
Située à Nice, cette maison d’édition indépendante assure la promotion, d’auteurs et d’artistes originaires du Sud, ou ayant un lien fort avec cette région. Face aux “monstres de la profession”, une seule politique, celle du “coup de cœur”. Baie des Anges travaille avec passion et édite uniquement des auteurs avec lesquels des liens très forts ont été tissés.

Contact

infosbda@baiedesanges-editions.com

Adresse

8 chemin de la Lauvette, 06300 Nice
France

Maisons d'éditions similaires :

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Aedis

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1988
Les éditions Aedis ont plus de trente ans. Elles vous accompagnent dans le choix du savoir et les innombrables routes de la connaissance.
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Gründ

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1880
500 livres au catalogue dont 200 publiés par an

Faites découvrir tout un univers de livres aux enfants avec Gründ Jeunesse !

Et plongez dans l’univers des beaux livres avec Gründ Adulte !

Créée en 1880, les éditions Gründ proposent une offre variée de livres pour enfants et adultes à travers des ouvrages illustrés de qualité réunis dans un catalogue de 500  titres avec plus de 200 nouveautés chaque année.

Gründ propose à ses lecteurs des ouvrages de qualité dans les domaines des livres de jeunesse et des beaux livres.

Côté jeunesse, la créativité est au rendez-vous avec des livres d’éveil, des livres à toucher, des pop-up, des imagiers, des abécédaires, de magnifiques albums pour rêver, des documentaires, une large gamme de loisirs créatifs et les célèbres albums « Où est Charlie ? ».

Le héros Timoté accompagne les plus petits dans leur découverte du monde.

La collection best-seller « Mes premiers livres sonores » éveille les plus petits à toutes les musiques – classiques, contemporaines, enfantines, régionales - grâce à ses puces intégrées aux pages.

C’est facile de grandir avec Gründ jeunesse !

Côté beaux livres, de l’amateur au spécialiste, du fou de musique au passionné d’histoire, de cuisine, de sport  ou de méditation, la curiosité de chacun sera assouvie grâce à des livres de grande qualité aux auteurs prestigieux.

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Editions 365

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2005
200 publiés par an

Fondées en 2005 par une petite équipe de passionnés, les Éditions 365 rencontrent le succès grâce à leurs deux collections phares : les Almaniaks, des livres-calendriers millésimés, et les Mémoniaks, la gamme consacrée à l’organisation familiale. Chaque année, ce sont plus de 800 000 exemplaires qui sont vendus en librairies et grandes surfaces.

Aujourd’hui, les Éditions 365 regroupent plus de 15 collections et lancent chaque année plus de 200 nouvelles publications originales, créatives et pratiques, permettant toujours de concilier jeux et connaissances.

Mais qui se trouve derrière tous ces ouvrages ?

Découvrez les principales personnalités de l'équipe, illustrées par la talentueuse Adolie Day, illustratrice chouchoute de la maison !

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Rue des enfants

Maison d'édition à compte d'éditeur
60 livres au catalogue dont 20 publiés par an
Rue des enfants place l’enfant et ses préoccupations au cœur de son catalogue. Les ouvrages proposés lui permettent de mieux comprendre qui il est, d’être bien dans sa tête et dans son corps, de découvrir le monde, à travers des jeux et des documentaires.
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Humanoïdes Associés (Les)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1974
450 livres au catalogue dont 60 publiés par an
Fondée en 1974, Les Humanoïdes Associés a été synonyme de bandes dessinées d'avant-garde et de qualité. Nous célébrons notre 40
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Thierry Magnier

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1998
960 livres au catalogue dont 80 publiés par an
Thierry Magnier a fondé en 1998 la maison d'édition qui porte son nom. Le logo, un petit ange lecteur, est une métaphore du lecteur : "Un ange, ça n'a pas de sexe, pas d'âge". La maison produit environ 75 titres par an. Le premier succès vient avec
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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BIS Publishers

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1985

BIS Publishers is consistently looking for new thoughts, methods and technique that stimulate creativity in its broadest scope. Founded in 1985, the Amsterdam-based publishing house creates outstanding books for students, professionals, change makers and creative minds.

BIS cover fields across the creative arts and -business, such as creative thinking, design thinking, architecture and advertising. Its line of gifts and games reflects BIS' taste for and well-designed and smart items.

BIS Publishers is exclusive distributor of Laurence King Publishing in The Netherlands and Belgium.

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Chérubins Éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2016

Chérubins Éditions est une maison d’édition indépendante qui a vu le jour en aout 2016 dans le département de la Marne. Le souhait de l’éditrice Sandrine BELAIR est de découvrir puis d’éditer les auteurs et les illustrateurs de la région Grand-Est, désirant partager leurs œuvres.

Notre catalogue s’enrichit tous les ans de titres variés : littérature jeunesse, livres fantastiques, romans médiévaux, romans adolescents et adultes… 

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L'Age d'Homme

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1996
4000 livres au catalogue dont
La maison d'édition L'Age d'Homme est fondée en 1966 à Lausanne par Vladimir Dimitrijevic. C'est sans doute à L'Age d'Homme, forte aujourd'hui de 4000 titres, que nous devons de ne plus réduire la littérature russe aux seuls noms de Dostoïevski , de Tolstoï ou de Gorki. Grâce à la collection «Classiques Slaves», les lecteurs ont pu découvrir les œuvres majeures du symbolisme russe, celle d'André Biely (Pétersbourg, La Colombe d'Argent, Kotik Letaiev), d'Ossip Mandelstam, d'Alexandre Blok ; des auteurs aussi considérables que les polonais Witkiewicz ou Ladislas Reymont ; les écrits esthétiques de Malévitch, les essais et les romans de Zamiatine, de Leskov ou de Boris Pilniak. De Ivo Andritch et Dobritsa Tchossitch aux chefs-d'œuvre d'Alexandre Zinoviev, la collection «Classiques Slaves» qui compte aujourd'hui plus de 500 titres, a permis de faire connaître un immense patrimoine littéraire que le «réalisme-socialiste» n'avait pas réussi à étouffer.
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