Bonneton (Christine): contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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http://www.editions-bonneton.comAdresse
17, avenue Théophile-Gauthier, 75016 Paris FranceSite Web
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17, avenue Théophile-Gauthier, 75016 Paris FranceMaisons d'éditions similaires :
BPI du Centre Pompidou
Gestalten
gestalten continues to actively reimagine the way in which we approach publishing. With our extensive range of titles, we not only seek to enhance and to enrich our reader's lives, but to continually engage with the surrounding creative landscape.
Our origin story began with a focus on the aesthetic, particularly that of graphic design and, over the last two decades, the scope of both our content and our expertise has widened. Today, using a myriad of observations of culture, people, art, and other intimate, inspirational informants, we document and anticipate vital movements in architecture, visual culture, design & fashion, escapism, food & beverages, travel, and contemporary art. In 2014, Little Gestalten joined the literary ranks and ensured that there was a place for readers of all ages within the world of gestalten.
The gestalten narrative exists beyond the textual realm; regardless of the medium at hand, gestalten wishes to inform and inspire our community. We welcome you to enter gestalten's world of creative culture, whether between our pages, indulging in images and films online or at one of our international events. We look forward to the result: mutual inspiration.
Epure (Éditions de l')
Une marque de fabrique singulière
Depuis 28 ans, Les éditions de l’Épure tracent en toute indépendance leur élégant sillon dans le monde du livre. Une ambition : offrir une ligne éditoriale guidée, tant sur le fond que sur la forme, par le fil de la genèse de la création. Une démarche : avoir toute l’audace d’offrir la liberté d’expression à des auteurs de tout poil pourvu que la passion et le plaisir les animent…
Insolite, l’objet épurien élève la gastronomie au rang du livre d’art et donne la part belle au texte, au graphisme et aux papiers de création. Si l’Épure est indiscutablement reconnue comme maison d’édition culinaire, il faut entendre alors la branche à contre-courant, décalée, à la limite de l’iconoclaste.
Meilleur éditeur au Gourmand World Cookbook Awards, 2008
Grand prix éditeur de l’Académie Nationale de Cuisine, 2011
Plusieurs de nos ouvrages ont été récompensés : Prix de l’Académie Nationale de Cuisine, Prix Brazier, Prix de la Nuit du livre.
Une philosophie, une éthique
Depuis notre création, nous respectons une cohérence dans la conception, le contenu et la fabrication de nos livres. Nous publions chaque année quelques ouvrages rares à nos yeux, inédits ou de réimpression, de véritables coups de cœur, conçus pour durer.
Nous imprimons en France sur du papier recyclé ou du papier certifié issu de forêts gérées durablement.
Nous ne pilonnons aucun de nos ouvrages retournés par les librairies, quel que soit leur état, ils sont conservés, accumulés et stockés. Ces livres prennent alors une tout autre dimension avec leur vieillissement, leur patine… Tous nos livres soldés sont des retours de librairie à qui nous offrons l’occasion d’une nouvelle vie.
Editions 365
Fondées en 2005 par une petite équipe de passionnés, les Éditions 365 rencontrent le succès grâce à leurs deux collections phares : les Almaniaks, des livres-calendriers millésimés, et les Mémoniaks, la gamme consacrée à l’organisation familiale. Chaque année, ce sont plus de 800 000 exemplaires qui sont vendus en librairies et grandes surfaces.
Aujourd’hui, les Éditions 365 regroupent plus de 15 collections et lancent chaque année plus de 200 nouvelles publications originales, créatives et pratiques, permettant toujours de concilier jeux et connaissances.
Mais qui se trouve derrière tous ces ouvrages ?
Découvrez les principales personnalités de l'équipe, illustrées par la talentueuse Adolie Day, illustratrice chouchoute de la maison !
Loubatières (Éditions)
Parenthèses (Éditions)
Dans maison d’édition il y a maison. Deux architectes, ébouriffés de Buckminster Fuller, Taos ou Theotiuacan, s’obstinèrent à vouloir dire combien « des hommes ont longtemps regardé la terre autrement qu’avec des yeux dédaigneux. Ils en ont soulevé la pellicule supérieure pour édifier leurs abris et s’y insérer. » Ce fut Archi de terre. D’abord vingt-six feuilles, deux cent quatre-vingt-dix millimètres sur quatre cent vingt, reprographiés recto verso d’après des originaux de deux feuilles issus d’une IBM à boule Letter Gothie surtitrés en lettres transfert Franklin, fixées sur une carte de deux cents grammes, le tout plié et doté de deux agrafes métalliques de douze millimètres.
Vint ensuite l’odeur du plomb fondu et des bains de fixatif de l’imprimerie de la rue Sainte très exactement en face de la librairie Lire, celle-là même qui nous donnait à voir tous les Maspero [toutes deux, l’imprimerie et la librairie ont depuis longtemps disparu, l’une sous les faux billets l’autre sous les attentats]. Le premier livre était presque là. Il fallait maintenant trouver un nom à la maison-demeure qui allait l’héberger. Elle aurait pu s’appeler NO REPRODUCTION, car ces termes légaux figuraient, prêts à poncer, sur toutes les planches de Letraset. Ce sera défi plus que choix-la marque d’un attachement à la précision typographique, la dénomination de ces signes de ponctuation doublés — pour venir s’intercaler. Archi de terre, aux Éditions Parenthèses, douze mille exemplaires diffusés première ivresse d’un métier encore à découvrir. Des livres d’architecture donc, mais bien sûr des livres d’architectes, menés comme un projet — « projet éditorial » — façonnant le matériau brut pour abriter, pérenniser. Des livres considérés comme un espace de découverte à aménager, au prix d’une implication absolue dans le confinement de la page — du moindre attribut typographique à l’image choisie et traitée.
L’architecture dans tous ses états — histoire, pratique ou objets emblématiques-mais surtout architecture pour s’ouvrir au monde collection « Architectures traditionnelles » — « l’architecture traditionnelle reste l’enseigne ethnique la plus démonstrative, mais aussi, souvent, la plus menacée ». L’architecture toujours à l’écoute, à l’écoute notamment du jazz, musique de l’esclavage oublié : collection « Epistrophy » — « accompagnements du jazz, de ses éclats, ses inassurances, ses colères, dans une passion cherchant à susciter ou renforcer la passion de ses gestes ». L’architecture s’ouvrant à l’art, aux origines de l’art : collection « Arts témoins » — « Témoins de la perfection des gestes fondateurs. Témoins aussi des Histoires qui,toujours, alimentent l’acte créatif. Témoins de ces altérités, les documents, gravures ou photographies mis en scène et confrontés à une connaissance en devenir, révèlent les richesses des mondes qui restent à découvrir. » Des collections, des livres pour une édition sans cloisonnements, fusionnelle, aqueduc dans l’espace ouvert de la découverte : collection « Eupalinos » où se confrontent des approches toutes complémentaires-art, architecture, urbanisme, musique (jazz, musiques improvisées, cultures musicales) , histoire, société ; collection « Diasporales » pour dire que « toute authenticité est un exil ».
L’édition sans perdre conscience : le livre n’est qu’un livre.
L’édition sans oublier de lever les yeux.
BLF éditions
De Vecchi
La maison d'édition De Vecchi (Giovanni De Vecchi Editore SpA) est fondée en Italie en 1962 par Giovanni De Vecchi, un italo-suisse. L'entreprise est initialement scindée en 2 structures: la publication d'un côté, la diffusion de l'autre1. En 1969, est créée l’entité De Vecchi Espagne, rejointe en 1972 par De Vecchi et en 1993 par De Vecchi Mexique.
De 1972 à 1999, les éditions De Vecchi se développent notamment sur le marché du livre sur les animaux, le marché de l’ésotérisme/sciences humaines. En 1999, De Vecchi lance la collection « Grands Procès de l'Histoire ». Cette collection est éventuellement stoppée par le droit des familles et des victimes qui freine la publication de certaines informations. Ses titres étaient parfois repris au micro de l'émission radio Café crimes.
En 1999, le fondateur historique décède. Argos Soditic et 3 managers, 2 italiens et 1 français, font alors l’acquisition des 4 sociétés De Vecchi et les constituent en un groupe international.
En juillet 2005 les éditions De Vecchi sont alors reprises par le groupe Albin Michel. En 2006, la maison d'édition Larus (Bergamo) reprend De Vecchi Italie. En avril 2009, Giunti Editore rachète les activités italiennes de De Vecchi France à Albin Michel pour consolider sa position sur le marché domestique1. Entre 2008 et 2011, le groupe Albin Michel cède la filière espagnole, puis la filière mexicaine.
En octobre 2012, les éditions De Vecchi France sont reprises par la société Le Livre Club.
En septembre 2016, les éditions De Vecchi changent de diffuseur distributeur et rejoignent l'équipe de Laurent Fontaine du groupe Centre France (CF2D) et la logistique est confiée à la SODIS3. En mars 2017, De Vecchi lance une collection de vulgarisation des sujets ésotériques avec un prix fixe de 3 euros l'ouvrage.
Wikipédia
Dauphin Blanc