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Stock

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1708
1050 livres au catalogue dont 85 publiés par an
Depuis sa création en 1708, Stock s'est imposé sur le marché littéraire français. La Collection "Bleue" est réputée pour ses romans de qualité valorisant aussi bien des auteurs de renom, tels que Philippe Claudel ou Nina Bouraoui, que de nouveaux talents. Ces dernières années, Stock a cherché à développer la publication d'ouvrages de non-fiction à travers différentes collections : "Un Ordre d'idées" est consacré à l'histoire, la sociologie et l'ethnologie, "Essais" perpétue une longue tradition de philosophes  et "L'Autre pensée" publie des penseurs  singuliers. "La Cosmopolite", qui compte un grand nombre de Prix Nobel, est depuis le début du 20

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sdrews@editions-stock.fr

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0149543655

Adresse

21, rue du Montparnasse, 75006 Paris
France

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ÉDITIONS STOCK COMITÉ DE LECTURE
21 RUE DU MONTPARNASSE
75278 PARIS CEDEX 06
France

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Maisons d'éditions similaires :

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Hachette Pratique

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
500 livres au catalogue dont 250 publiés par an
Éditeur du groupe Hachette Livre, Hachette Pratique est reconnu depuis plus de vingt ans pour la fiabilité et la richesse créative de ses ouvrages pratiques. Avec 280 nouveautés par an, son catalogue aborde tous les sujets de la vie : cuisine et vins, santé, puériculture, bien-être, psychologie, jardinage et loisirs créatifs. De grandes signatures font d'Hachette Pratique une marque de référence : chefs incontournables ou nouveaux talents de la cuisine, professeurs en médecine, psychologues, 'nologues et sommeliers. Créateur de tendances, Hachette Pratique a développé une vaste collection de livres de coloriages pour adultes et de livres-cadeaux, élégants et ludiques, dans les domaines de la cuisine, du bien-être et des jeux.
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INED

Maison d'édition à compte d'éditeur
Les Éditions de l'Ined existent depuis 1945, date de la création de l'Institut national d'études démographiques de Paris. Spécialisées dans l'étude des populations avec une approche ouverte de la démographie, les publications de l'Ined mobilisent un large éventail de disciplines comme l'économie, l'histoire, la géographie, la sociologie, l'anthropologie, la biologie, l'épidémiologie. Les Éditions de l'Ined diffusent leur catalogue à l'international, que ce soit leurs collections d'ouvrages en français, ou celle en anglais Ined Population Studies (publiée chez Springer). Elles traduisent et publient en français et en anglais la revue trimestrielle
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Le Passager Clandestin

Maison d'édition à compte d'éditeur
75 livres au catalogue dont

Le passager clandestin publie des textes de critique sociale qui se rapportent notamment à l’écologie, à la décroissance, à la désobéissance civile... Nous ne croyons pas à un quelconque ordre immuable de la société. Nous dénonçons chaque fois qu’il est possible les fondements idéologiques d’un système qui se donne pour « naturel » et auquel il n'y aurait d'autre issue que de s'adapter. Le choix de l’édition indépendante, dont on sait qu’elle doit constamment lutter pour survivre, constitue, en soi, une prise de position. Cette indépendance est à la fois une condition et l’un des buts de notre activité. Elle repose sur un ensemble de pratiques et d’échanges peu formalisés, en prise directe avec les lieux et les gens.


Le passager clandestin aborde souvent des sujets réputés graves, mais nous n’avons aucun goût pour le dogmatisme et les « passions tristes ». Nos livres se veulent honnêtes, rigoureux ; ils exigent parfois un effort pour déplacer le regard. Mais notre activité se nourrit aussi de l’imagination, de la joie et de l’humour, sans lesquels ce monde ne serait décidément pas habitable.


Outre la réédition de textes anciens, nous avons publié récemment le Petit livre noir des grands projets inutiles ; un essai consacré à l’Utopie du logiciel libre ; le Rapport Brazza, document historique inédit à ce jour sur les dégâts du colonialisme français au Congo au début du XXe siècle. Nous avons a également créé deux nouvelles collections en 2013 : une collection de science-fiction, « Dyschroniques », série de textes d’anticipation écrits vers le milieu du XXe siècle par des auteurs renommés dans le genre ; et la collection les « Précurseurs de la décroissance » dirigée par Serge Latouche.

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Ellipses Marketing

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1973
7000 livres au catalogue dont 600 publiés par an
Ellipses est l'une des premières maisons d'édition universitaire françaises avec plus de 500 nouveautés par an et un catalogue riche de plus de 7000 références. Les ouvrages d'Ellipses couvrent tous les domaines de l'enseignement supérieur et du parascolaire et s'adressent aux élèves, aux étudiants, aux enseignants ainsi qu'aux bibliothèques, mais peuvent également intéresser un public élargi ou spécialisé.
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Connaissances et Savoirs

Maison d'édition à compte d'éditeur
800 livres au catalogue dont

Connaissances et Savoirs offre la possibilité aux universitaires de publier leurs projets d’étude et leurs recherches : thèses, mémoires…

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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Eoliennes

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1992
70 livres au catalogue dont
Éolienne (ou les Éditions Éoliennes) est une maison d'édition française créée en 1992 par Xavier Dandoy de Casabianca, qui publie dans les domaines de la poésie, littérature, arts graphiques et arts contemporains. Elle a publié environ 70 titres à ce jour.
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Temps des Cerises (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1993
600 livres au catalogue dont

Le Temps des Cerises a été créé en 1993, à l'initiative de 33 écrivains qui voulaient ouvrir un espace d’expression, hors des sentiers battus de la pensée dominante.

En choisissant comme nom le titre de la chanson de Jean-Baptiste Clément, ils voulaient indiquer à la fois leur attachement aux idéaux de la Commune et à une certaine tradition de poésie populaire, le plus souvent occultée.

Le petit "e" de Cerises disant à sa façon que cette espérance maintenue l’est dans un temps de Crises … Depuis 20 ans, Le Temps des Cerises a constitué un fonds de plus de 850 titres, textes inédits ou introuvables, d’auteurs contemporains ou classiques, dans les domaines de la poésie, du roman et des essais, qui contribuent à penser et rêver un autre monde...

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Droz

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1924

Telle fut la notice qui figura longtemps en tête des catalogues de la maison d'édition.

II fallait de l'intelligence, du cran et du caractère à une femme pour fonder et diriger une maison d'édition dans le Paris des années folles. C'est en décembre 1924 exactement que la neuchâteloise Eugénie Droz, alors âgée de trente et un ans, publia ses premiers livres, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle.

Ce fut bientôt l'inévitable VIe et le 25 rue de Tournon, dans cette maison donnée par un roi à un poète.

L'érudite demoiselle resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève.

Dès l'origine l'ancrage genevois de la maison était inscrit, sinon dans les astres, du moins sur la page de tous les titres, puisqu'Eugénie Droz avait choisi comme marque celle de l'imprimeur Jean de Stalle, actif à Genève de 1487 à 1493, et dont le troisième et vraisemblablement dernier livre, un Ars minor de Donat édité par Antonio Mancinelli, qu'il imprime le 15 mai 1493, fut le seul à porter la marque aux quatre putti tenant son propre monogramme.La seule modification qu'osa l'éditrice moderne fut de remplacer les initiales I.S. par les siennes.

Plus tard, elle voulut que son affaire restât genevoise et, en 1963, c'est à deux jeunes historiens aux intérêts complémentaires, Giovanni Busino et Alain Dufour, qu'elle céda la société. Ils perpétuèrent l'audience scientifique de la maison. En 1966 eut lieu le dernier déménagement; le 11, rue Firmin-Massot étant depuis l'adresse de la Librairie Droz S.A.

Depuis 1995, une troisième génération a pris la relève et Max Engammare dirige les destinées de la Librairie Droz.

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Belin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1777
2500 livres au catalogue dont 250 publiés par an
Les Éditions Belin travaillent depuis 1777 à la transmission de la connaissance. Nos publications couvrent principalement les domaines scolaire et universitaire, tant sur support papier qu'en numérique, et nous publions également des ouvrages de vulgarisation, des essais, des revues de sciences humaines ainsi que des titres en botanique, en équitation et des ouvrages pour la jeunesse. Une filiale, Pour la Science, publie chaque mois l'édition française de
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