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Maisons d'éditions similaires :
Editions Libre2Lire
Les livres sont les préludes à l’imaginaire, à la découverte, à l’émotion…
La richesse de notre catalogue permet de satisfaire tous les goûts avec un point commun :
Chacun de nos livres vous donnera envie de « tourner la page » !
C’est ainsi que nous les sélectionnons :
pour vous donner du plaisir !
Faire éditer votre livre…
Donner naissance à votre livre.
Vous avez passé de longs moments à écrire sur des pages blanches, il est temps maintenant de donner vie à votre histoire, de la montrer au monde, de séduire vos lecteurs. Nous existons pour vous offrir cette opportunité. Mais comme tout bébé, il faut aussi l’élever, le faire évoluer, le porter. C’est notre rôle avec votre aide.
Notre maison d’édition se veut un Label de Qualité ! Une marque qui induise à nos clients lecteurs ce simple réflexe : « Si c’est du Libre2Lire : j’achète sans hésitation ! Je suis certain de ne pas être déçu… »
Nous sommes ouvert aux nouveaux talents et respectons ses auteurs. Raison pour laquelle, quel que soit le retour de notre comité de lecture, nous vous le transmettrons lors d’un entretien téléphonique, et pas par courrier stéréotypé.
Nous ne proposons que des contrats d’édition A COMPTE D’ÉDITEUR. C’est à dire que nous nous occupons de tout, À NOS FRAIS : vérification du texte, mise en page, couverture graphique, impression, commercialisation. Vous n’avez pas de minimum de vente à faire pour toucher vos droits d’auteur et aucune obligation d’achat de livres.
Le Festin
Hier
Le Festin a cette année 30 ans. Du chemin a été parcouru depuis le n° 1 de septembre 1989, sous-titré « Lettres, Lieux, Vues », et imprimé à quelque 1 000 exemplaires. La première page annonçait déjà en substance les grandes lignes directrices de ce que sera cette aventure éditoriale : ne pas aborder les patrimoines et la création en Nouvelle-Aquitaine sous un angle académique, mais selon une approche décomplexée et généreuse. Élevé au rang de doctrine, ce principe restera toujours le credo du Festin.
« L’Esprit Festin »
Il fallait redynamiser l’image vieillotte que véhiculait encore le patrimoine, en restituant la connaissance et en la rendant intelligible et attractive à tous, en défendant une vision plus prospective que nostalgique, plus régionale que régionaliste, plus familière qu’élitiste.
De fait, en tant qu’objet, la revue se présente à mi-chemin entre le livre et le magazine. Quant à son contenu, il associe des recherches scientifiques, inédites et documentées, à une démarche de vulgarisation. Partis pris, coups de cœur constituent le ferment de ce que l’on pourrait appeler « l’esprit Festin », autant éloigné du bulletin de société savante que du fanzine touristique. Un soin tout particulier est apporté aux images (recherches iconographiques ou actualité des reportages), car elles aiguillonnent la curiosité du lecteur. Elles éclairent, au même titre que la mise en page, le contenu rédactionnel, le soulignent en même temps qu’elle le divertit, afin qu’il n’y ait aucun hiatus entre le fond et la forme.
Enfin, le terrain d’action du Festin s'étend à toute la région Nouvelle-Aquitaine afin de proposer une lecture transversale du territoire. S’il existe une identité culturelle régionale, elle réside dans cet espace sensible où chaque site, chaque œuvre, chaque territoire est support d’interprétations, de correspondances et d’échanges. C’est aussi la diversité de la Nouvelle-Aquitaine qui fait la force de la revue. Réalisé par des amateurs passionnés pour d'autres passionnés, Le Festin se met au service de la connaissance, de l’expérience, de la découverte et du plaisir.
Aujourd’hui
En 2019, Le Festin fête ses 30 ans. Entre temps, il a tenté d’évoluer et d’améliorer par petites touches son propos rédactionnel et visuel. D’abord semestriel, puis trimestriel (à partir de 2002), il s’est imposé comme un rendez-vous désormais attendu pour les lecteurs. Il comptabilise aujourd’hui un catalogue de 109 numéros (dont beaucoup sont épuisés), auquel s’ajoute une trentaine de hors-série thématiques. Parallèlement, la maison d’édition propose chaque année une vingtaine de nouveaux titres (littérature, catalogue d’exposition, livres d’art, essais) qui viennent ainsi compléter le fonds culturel et patrimonial régional. Pour la seule revue, les plus de 10 000 pages qu’elle totalise depuis ses débuts en font un sommaire encyclopédique unique pour la Nouvelle-Aquitaine. Ce sont quelque 10 000 exemplaires et 2500 abonnements qui sont diffusés chaque trimestre dans plus de 600 points de vente.
Avec le temps, Le Festin a ainsi inventé son propre modèle économique, sans y perdre son âme ni ses ambitions. Loin de là, la grande aventure demeure intacte, l’équipe rédactionnelle et l'équipe commerciale composées de 15 salariés s’impliquent aujourd’hui dans cette profusion d’ouvrages avec toujours la même passion.
Dispute (La)
Les éditions La Dispute ont démarré leur activité en 1997, exprimant la volonté de leurs fondateurs, anciens salariés des Éditions sociales et de Messidor, de prolonger, d’accompagner et de promouvoir le renouvellement de connaissances critiques sur l’humain et la société.
Le pari des éditions La Dispute est de rendre aux hommes et aux femmes ce que les chercheurs (universitaires ou praticiens) disent d’eux et du monde dans lequel ils vivent, dans une perspective d’émancipation individuelle, sociale et politique. Elles défendent l’idée que comprendre le monde humain, les sociétés, les individualités qui les construisent, persister dans la logique de l’écrit, des sciences humaines et sociales, de la philosophie et de la critique raisonnée, valoriser des formes diverses, académiques ou pratiques, de savoirs et les partager, regarder le débat comme un instrument de connaissance et d’action peut contribuer à lutter contre toutes les dominations et à construire un monde meilleur.
En proposant de mettre à la disposition du plus grand nombre les savoirs et les pratiques engagés dans la transformation de la société, en tenant ferme sur la rigueur intellectuelle tout en rejetant les sectarismes académiques ou partisans, les éditions La Dispute défendent ainsi les convictions et les engagements de ses salariés, de ses auteurs, mais aussi de ses bénévoles ainsi que de ses réseaux de lecteurs, de libraires et d’amis.
Charles Corlet
C’est en 1972 que les Éditions Charles Corlet voient le jour. Avec une imprimerie basée en Normandie, il est bien évident que le thème choisi sera : la conservation et la transmission du patrimoine normand à travers le livre.
Depuis la politique éditoriale demeure intacte.
Avec une première collection qui invite le lecteur à se promener en compagnie des grands auteurs normands de naissance ou d’adoption (Barbey d’Aurevilly, Maurice Leblanc, Victor Hugo, Jacques Prévert…), les publications s’étoffent au fil des années. Tous les genres se réunissent au sein de ce catalogue : beaux-livres sur le patrimoine architectural normand, récits maritimes, ouvrages d’histoire du Moyen Âge à l’histoire contemporaine, folklore et traditions normandes, thématiques diverses racontées par la carte postale ancienne (cidre, moulins, costumes, communes…), littérature, romans terroir, polars sans oublier la cuisine. Il y a également une collection de livres vouée au bien-être et l’agriculture alternative, « Equilibres », dont fait partie les deux tomes de Permaculture de Bill Mollison, des livres phares de l’agriculture pérenne.
Aujourd’hui le catalogue comprend plus de 600 livres.
B42
Les Éditions B42 publient des ouvrages qui interrogent l’environnement visuel dans lequel nous vivons, en contribuant à la constitution d’une bibliothèque d’outils de réflexion sur les pratiques du design, du design graphique, de la typographie et de la création contemporaine. Ces études croisent d’autres domaines que sont la technologie, les médias, le numérique, l’anthropologie ou les études culturelles.
B42 s’est engagé dans un travail de traduction de textes majeurs de l’histoire du design et de la typographie, et également dans la publication d’essais qui contribuent à la diffusion et au renouvellement des savoirs.
De ce travail engagé en 2008 a émergé un catalogue de livres de référence, plébiscités notamment par les enseignants, qui constituent un fonds vivant, toujours en mouvement. Ils occupent une place de choix dans les bibliothèques des designers, des graphistes, des architectes, des artistes, des étudiants et enseignants de ces domaines.
Cosmopole
En 1998, les éditions Cosmopole commencent par publier des récits de voyage et d’histoire. Au fil des ans, des biographies historiques de grands personnages de l’épopée napoléonienne ainsi que des dictionnaires ont enrichi le catalogue.
En 2008, la maison est reprise ; l’accent sera mis sur l’histoire et la découverte avec la publication de récits d’exploration. Le vrai tournant est pris en 2010 avec la création d’une collection élégante et originale, « Les dictionnaires insolites », dirigée par Vanessa Pignarre et Patrick Arfi. Cette collection a d’abord proposé un voyage différent, à travers les mots, dans des pays, des régions et des villes du monde entier.
Le succès des dictionnaires insolites tient à tous ceux qui ont œuvré à la conception des livres, les auteurs (journalistes, universitaires, écrivains ou encore expatriés) qui apportent leurs connaissances et laissent entrevoir leur personnalité, et les graphistes, Karin Doering-Froger puis Amélie Pignarre, dont le talent et l’imagination ne se sont pas démentis.
En 2021, la collection s’ouvre à la déclinaison de thèmes culturels comme les rapports des humains aux chats, la problématique des frontières, l’attrait pour la mer, l’insularité…
Casa de Velazquez
La Casa de Velázquez est une institution française fondée en 1920 qui vise à promouvoir la coopération et les échanges artistiques, culturels et universitaires au niveau bilatéral et international.
Inauguré en 1928 au cœur de la Cité Universitaire de Madrid, le bâtiment a été en grande partie détruit au début de la bataille de Madrid, en 1936. Il rouvre ses portes sous sa forme actuelle en mai 1959.
Aujourd'hui, la Casa de Velázquez opère sous la tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation (MESRI) et fait partie du réseau des cinq Écoles françaises à l'étranger.
Depuis sa création, la Casa de Velázquez a développé ses activités autour d'un modèle unique, en soutenant à la fois la création artistique contemporaine et la recherche scientifique dans le domaine des sciences humaines et sociales.
Elle mène à bien cette double mission grâce à l'action conjointe de ses deux composantes : l'Académie de France à Madrid (section artistique) et l'École des hautes études hispaniques et ibériques - EHEHI(section scientifique).
- L'Académie de France à Madrid coordonne les actions à destination des artistes, toutes disciplines confondues : architecture, arts plastiques, cinéma, composition musicale, photographie, vidéo... Lieu de création et de recherche autant que de vie, elle permet aux artistes – émergents ou confirmés – de consolider leurs orientations de travail et d'expérimenter de nouvelles manières de travailler. L'AFM est chargée de mettre en œuvre la programmation artistique de la Casa de Velázquez, en collaborant notamment avec de nombreuses entités locales et internationales.
- L'École des hautes études hispaniques et ibériques - EHEHI est un lieu de formation pour jeunes chercheurs et un centre de recherche français dans le domaine des sciences humaines et sociales. Sa politique scientifique, axée sur la péninsule Ibérique, le Maghreb et le monde atlantique, se traduit par une vingtaine de projets de recherche pluriannuels et une dizaine de projets archéologiques. En outre, avec l'Université Autonome de Madrid, elle coordonne depuis 2016 les activités du MIAS - Madrid Institute for advanced Study.
Au total, entre ses deux sections, la Casa de Velázquez accueille et accompagne chaque année une centaine de chercheurs et d’artistes à travers un large programme de résidences, pour des périodes allant de quelques mois à un an. En outre, et afin de promouvoir le travail effectué au sein de l'institution, de nombreux événements ouverts au public sont proposés tout au long de l’année : expositions, projections, concerts, rencontres, colloques...
La bibliothèque – environ 150 000 livres et plus de 1 800 revues – est ouverte, après inscription gratuite, à toute personne effectuant des travaux de recherche à partir de la première année de Master.
La Casa de Velázquez dispose également d'un service éditorial qui publie une quinzaine de livres par an, imprimés et numériques – dont de nombreux titres en libre accès – ainsi qu’une revue semestrielle, les Mélanges de la Casa de Velázquez.
Fedora
LES DÉBUTS DE LA MAISON D'ÉDITION
C’est fin 2015 que les éditions Fedora ouvrent leurs portes, après trois années de préparatifs. Elles naissent d’une volonté de renforcer une branche éditoriale actuellement en retrait dans le panorama de l'édition archéologique, celle des publications épistémologiques, des manuels ou plus généralement des travaux servant la discipline elle-même. En effet, si les résultats de la recherche sont plutôt bien publiés et de plus en plus vulgarisés, il n’existe que trop peu encore d'ouvrages pour les professionnels et les futurs archéologues.
L'ARCHÉOLOGIE POUR TOUS
Les éditions Fedora se veulent ainsi un lieu d'élaboration d'un type nouveau d'outils. À travers ses diverses collections, elles proposent des angles de vue riches et variés sur l’archéologie pour en approfondir la théorie ou en faciliter la pratique. Son catalogue vise donc les professionnels comme les étudiants, mais aussi tous ceux qui souhaitent mieux comprendre l’archéologie d’aujourd’hui. Ainsi, afin de refléter au mieux la diversité actuelle des pratiques archéologiques, les auteurs conviés sont issus d’horizons très différents.
Droz
Telle fut la notice qui figura longtemps en tête des catalogues de la maison d'édition.
II fallait de l'intelligence, du cran et du caractère à une femme pour fonder et diriger une maison d'édition dans le Paris des années folles. C'est en décembre 1924 exactement que la neuchâteloise Eugénie Droz, alors âgée de trente et un ans, publia ses premiers livres, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle.
Ce fut bientôt l'inévitable VIe et le 25 rue de Tournon, dans cette maison donnée par un roi à un poète.
L'érudite demoiselle resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève.
Dès l'origine l'ancrage genevois de la maison était inscrit, sinon dans les astres, du moins sur la page de tous les titres, puisqu'Eugénie Droz avait choisi comme marque celle de l'imprimeur Jean de Stalle, actif à Genève de 1487 à 1493, et dont le troisième et vraisemblablement dernier livre, un Ars minor de Donat édité par Antonio Mancinelli, qu'il imprime le 15 mai 1493, fut le seul à porter la marque aux quatre putti tenant son propre monogramme.La seule modification qu'osa l'éditrice moderne fut de remplacer les initiales I.S. par les siennes.
Plus tard, elle voulut que son affaire restât genevoise et, en 1963, c'est à deux jeunes historiens aux intérêts complémentaires, Giovanni Busino et Alain Dufour, qu'elle céda la société. Ils perpétuèrent l'audience scientifique de la maison. En 1966 eut lieu le dernier déménagement; le 11, rue Firmin-Massot étant depuis l'adresse de la Librairie Droz S.A.
Depuis 1995, une troisième génération a pris la relève et Max Engammare dirige les destinées de la Librairie Droz.