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Le Passager Clandestin
Le passager clandestin publie des textes de critique sociale qui se rapportent notamment à l’écologie, à la décroissance, à la désobéissance civile... Nous ne croyons pas à un quelconque ordre immuable de la société. Nous dénonçons chaque fois qu’il est possible les fondements idéologiques d’un système qui se donne pour « naturel » et auquel il n'y aurait d'autre issue que de s'adapter. Le choix de l’édition indépendante, dont on sait qu’elle doit constamment lutter pour survivre, constitue, en soi, une prise de position. Cette indépendance est à la fois une condition et l’un des buts de notre activité. Elle repose sur un ensemble de pratiques et d’échanges peu formalisés, en prise directe avec les lieux et les gens.
Le passager clandestin aborde souvent des sujets réputés graves, mais nous n’avons aucun goût pour le dogmatisme et les « passions tristes ». Nos livres se veulent honnêtes, rigoureux ; ils exigent parfois un effort pour déplacer le regard. Mais notre activité se nourrit aussi de l’imagination, de la joie et de l’humour, sans lesquels ce monde ne serait décidément pas habitable.
Outre la réédition de textes anciens, nous avons publié récemment le Petit livre noir des grands projets inutiles ; un essai consacré à l’Utopie du logiciel libre ; le Rapport Brazza, document historique inédit à ce jour sur les dégâts du colonialisme français au Congo au début du XXe siècle. Nous avons a également créé deux nouvelles collections en 2013 : une collection de science-fiction, « Dyschroniques », série de textes d’anticipation écrits vers le milieu du XXe siècle par des auteurs renommés dans le genre ; et la collection les « Précurseurs de la décroissance » dirigée par Serge Latouche.
Poétisthme
Les Éditions POÉTISTHME proposent des écrits transversaux que l’on ne peut apprécier sans faire un pas de côté – des vies latérales qui se sont refusées au littéral. Nous assumons une littérature qui se dérobe au couperet de la verticalité et à la sécheresse de l’orthodoxie. Nous revendiquons une littérature horizontale, transnationale – une littérature qui est le carrefour où se rencontrent les langages pour donner forme et visibilité au dialogue entre des voix différentes. Nous prenons donc le parti de faire face aux tensions dans le rapport à la langue pour questionner la dimension linguistique de la condition humaine – car la Parole, qu’on la méprise, la manipule ou la révère, est le point nodal de notre existence commune.
LE PARTI-PRIS DE LA POÉSIE
Si nous mettons en partage des écrits – des fragments – des fulgurances à caractère poétique, c’est parce que nous croyons qu’ils sont le lieu-dit où se manifeste le plus clairement que la langue – la culture – l’identité, ne sont pas une totalité close ou un tout figé, mais bien le fruit d’un engagement, d’un geste performatif allant de Soi vers l’Autre. La poésie se confronte aux certitudes – démantèle le cadre identitaire – met en branle l’autorité illusoire, notamment celle des frontières en le Je et le Nous : deux sujets qui s’interrogent mutuellement dans le poème.
Pour Nous, éditer de la poésie, c’est revendiquer une manière de prêter attention au langage en décalage avec les usages. Non pas pour sombrer dans le particularisme ou dans un discours intellectuel nombriliste, mais pour tenter de recréer du commun sans méconnaître les identités ou, dit autrement, de permettre aux identités de s’inscrire dans le langage commun. Ce mouvement est à nos yeux celui du langage poétique.
NOS COLLECTIONS
FEU DE BRANDES : voix-brûlots – compositions au bord du poétique – paroles houleuses & émotions cahot-iques – textes qui se tissent sur la brèche – mailles obliques – scories & mété-or-es – secousses s-isthm-iques où confluent nos passions atomiques.
« Les abrutis ne voient le beau que dans les belles choses », Arthur Cravan, Maintenant (1912).
CONFLUENCES : voix enlacées non corsetées – mots choraux dont l’arborescence donne naissance à des mots-coraux – récifs où l’on s’échoue & se retrouve – paroles qui se répondent dans le désert des siècles – par-delà l’écart incommensurable une langue de terre qui joint lettre à l’être.
« Les évènements m’ennuient. Les évènements sont l’écume des choses. C’est la mer qui m’intéresse. C’est dans la mer que l’on pêche ; c’est sur elle que l’on navigue ; c’est en elle que l’on plonge… », Paul Valéry.
CIRCUMNAVIGATION : « L’errance est vocation », disait Glissant. Pour nous, elle sera raison : raison d’éditer, de chercher dans l’ailleurs – d’un îlot, d’une nation – des voix qui ouvrent des voies pour penser l’écart entre le proche et le loin – cet entre-deux que nous nommons isthme. À travers l’errance, nous voulons quitter l’exil intérieur auquel nous condamnent les racines langagières : nous voilà partis à la quête d’un verbe qui n’existe qu’autre part...
Pierre Philippe
La maison, créée en 2011, est une structure indépendante qui ne publie que des romans.
Tous nos auteurs sont publiés à compte d'éditeur.
Seghers
Seghers a fait de la poésie son domaine de prédilection.
Sa collection la plus ancienne et la plus importante (elle compte 300 titres) est “Poètes d’aujourd’hui”.
De Paul Eluard à Andrée Chedid, “Poésie d’abord” est une des collections phares de Seghers. Lancée il y a cinq ans, elle a vocation à diffuser des poètes qui appartiennent au fonds Seghers (Aragon, Eluard, Guillevic, Roger Bernard, ainsi que de nouveaux venus).
“Poètes et chansons”, qui compte une trentaine de titres, se consacre aux monstres sacrés de la chanson française (Brel, Brassens, Trenet, Renaud…) mais aussi à la création contemporaine avec des artistes tels que Les Têtes raides, Louis Chedid ou Matthieu Chedid.
Editions Maïa
Belles Lettres
Mercure de France
Dilettante (Le)
Actes Sud-Papiers