CFC éditions: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
La Maison CFC développe un projet dont les deux volets sont complémentaires : l’activité éditoriale et la vie d’une librairie.
Sa politique d’édition, de diffusion et de promotion du livre ainsi que l’animation de la librairie se traduit par la publication d’ouvrages et l’organisation d’événements tels que des expositions, des conférences, des rencontres, des ateliers, des visites guidées, des concerts et des performances. Elle a pour objet premier de valoriser le patrimoine, la création ainsi que la vie artistique bruxelloise et littéraire francophone.
L'asbl CFC-Éditions est créée à Bruxelles en 1987, à l'initiative de la Commission française de la Culture (actuelle Commission communautaire française). La librairie sera inaugurée cinq ans plus tard.
La Maison CFC est installée au rez-de-chaussée d’un immeuble néoclassique de l’historique et symbolique place des Martyrs.
Contact
Site Web
https://www.maisoncfc.be/fr/Téléphone
0222273403Adresse
Place des Martyrs, 14, 1000 Bruxelles BelgiqueSite Web
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Place des Martyrs, 14, 1000 Bruxelles BelgiqueDépôt de manuscrits
Par voie postale:
Service des manuscritsPlace des Martyrs, 14
1000 Bruxelles
Belgique
Maisons d'éditions similaires :
Droz
Telle fut la notice qui figura longtemps en tête des catalogues de la maison d'édition.
II fallait de l'intelligence, du cran et du caractère à une femme pour fonder et diriger une maison d'édition dans le Paris des années folles. C'est en décembre 1924 exactement que la neuchâteloise Eugénie Droz, alors âgée de trente et un ans, publia ses premiers livres, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle.
Ce fut bientôt l'inévitable VIe et le 25 rue de Tournon, dans cette maison donnée par un roi à un poète.
L'érudite demoiselle resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève.
Dès l'origine l'ancrage genevois de la maison était inscrit, sinon dans les astres, du moins sur la page de tous les titres, puisqu'Eugénie Droz avait choisi comme marque celle de l'imprimeur Jean de Stalle, actif à Genève de 1487 à 1493, et dont le troisième et vraisemblablement dernier livre, un Ars minor de Donat édité par Antonio Mancinelli, qu'il imprime le 15 mai 1493, fut le seul à porter la marque aux quatre putti tenant son propre monogramme.La seule modification qu'osa l'éditrice moderne fut de remplacer les initiales I.S. par les siennes.
Plus tard, elle voulut que son affaire restât genevoise et, en 1963, c'est à deux jeunes historiens aux intérêts complémentaires, Giovanni Busino et Alain Dufour, qu'elle céda la société. Ils perpétuèrent l'audience scientifique de la maison. En 1966 eut lieu le dernier déménagement; le 11, rue Firmin-Massot étant depuis l'adresse de la Librairie Droz S.A.
Depuis 1995, une troisième génération a pris la relève et Max Engammare dirige les destinées de la Librairie Droz.
Lieux Dits
Fondée en 2000, Lieux Dits est une maison d’édition spécialisée dans le Beau livre illustré dont le catalogue s’articule autour de trois thèmes principaux, le patrimoine, la photographie et récemment une collection sur le monde du travail plus particulièrement destinée à l’orientation professionnelle.
Issue du monde de la photographie, Lieux Dits attache une attention particulière à la reproduction de l’image imprimée dans des ouvrages de belle facture.
Le catalogue de Lieux Dits possède plus de 700 titres auxquels viennent s’ajouter une vingtaine
de nouveautés par an.
Renaissance du Livre (La)
Hazan
Cherche-Midi (Le)
Dunod
Au Diable Vauvert
Créées à l’aube de l’an 2000 en Camargue gardoise, sur un modèle éditorial et une curiosité inspirés par Paul Ochakovski-Laurens, les éditions Au diable vauvert ont d’abord pour ambition de désenclaver les genres et faire reconnaître de nouvelles voix d’écrivains émergeant des pop-cultures, alors tout juste publiés en poche, comme Gaiman, Ayerdhal, Bordage, Morrow, Brite, Butler. S’étant fixé pour autre mission de défendre de jeunes français impertinents comme Nicolas Rey, Régis de Sà Moreira et Thomas Gunzig, sans oublier des précurseurs visionnaires comme Gibson et l’OVNI David Foster Wallace, acquis dès la création, les éditions Au diable vauvert revendiquent avec fierté depuis Jehan Rictus des voix faisant matériau littéraire du réel et de la langue vivante, en rupture avec tout académisme de style, ironiques, transfictionnelles et littérairement queer.
Bien vite les grands Welsh, Coupland et Dan O’Brien ont rejoint une maison créée pour les défendre au mieux, tout comme les nouvelles stars de l’imaginaire Bacigalupi et VanderMeer, les découvertes Hervier, Blanc-Gras, Monnery, Titiou Lecoq ou les poètes Felix Jousserand et Oxmo Puccino.
Contre vents et marais la maison a su, dans un secteur de plus en plus centralisé et concentré, poursuivre sans jamais rompre une politique unique au service de ses auteurs, faite de traductions énormes, de folies éditoriales, de succès et de rencontres qui furent autant d’aventures fondatrices, de Coralie Trinh Thi, Simon Casas, Wendy Delorme ou Nikki Gemmell à Jean-Paul Didierlaurent, et de Patrick Dewdney au succès de Juan Branco, parmi tant d’autres. Cette année de nos vingt ans, qui coïncidera justement avec celle du centenaire de Bukowski, rebelle symbole de jeunesse éternelle, devrait s’annoncer comme la plus riche en nouvelles voix et coups de théâtre, poésie comprise !
Allez au Diable, goûter ses libertés et ses irrévérences !
mot et le reste (Le)
Le mot pour dire le langage et le reste pour dire l’espace, le monde, le social. Mais c’est aussi le mot que confient les auteurs et l’éditeur s’applique au reste.
Créées en 1996 à Marseille par Yves Jolivet, les éditions Le mot et le reste publient environ vingt-cinq titres par an au sein de cinq collections. Les textes reflètent la volonté de fournir des éléments de réflexion sur le monde, de faire circuler des formes poétiques libres de tons, de faire entendre des voix nouvelles et singulières, d’introduire des questionnements esthétiques, le tout sans enfermement. Afin d’explorer ses multiples facettes, une même thématique peut être abordée au sein des différentes collections dans une intention de transversalité. Le lecteur est ainsi invité à s’aventurer au-delà des genres et dépasser les frontières usuelles entre le poétique et le politique, le document et l’esthétique.
Chacun des titres est défendu auprès des libraires, bibliothécaires, lieux de formations, sur Internet… afin qu’il puisse trouver ses lecteurs. Il est essentiel de créer une relation vivante entre le livre et les lecteurs, l’auteur et les lecteurs. Aussi, de nombreux temps d’échanges : rencontres, lectures, conférences… ont lieu tout au long de l’année.
Table Ronde (La)
L’idée première est de créer une revue. Conviés autour de la table, Thierry Maulnier, André Fraigneau et Jean Cocteau participent au projet. André Fraigneau suggère un titre énigmatique : La Couronne fermée. Jean Cocteau lui préfère La Table Ronde, qui correspond davantage à l’esprit du groupe. François Salvat dessine les maquettes et le premier numéro des « Cahiers de La Table Ronde » voit le jour fin 1944. Jean Anouilh confie alors sa pièce Antigone à Roland Laudenbach, sans limitation de tirage. Ce sera le premier livre en édition courante, celui qui fait de La Table Ronde une maison d’édition à part entière.
L’effervescence littéraire et intellectuelle du demi-siècle ne perdant rien de sa vigueur, des auteurs tels François Mauriac et Henry de Montherlant collaborent à la revue, tandis que Paul Morand livre son Journal d’un attaché d’ambassade et Jean Giono Un roi sans divertissement. Au fil des années cinquante, une génération d’écrivains turbulents fait son apparition. Parmi eux, Antoine Blondin, Michel Déon, Jacques Laurent, Roger Nimier, tous amis de Roland Laudenbach, que Bernard Frank réunira — un peu rapidement — sous le nom de « hussards ».
Au cœur de cette époque, La Table Ronde publie des romans drôles et mélancoliques, sensibles et délicats.
L’éclosion d’écrivains comme Alphonse Boudard, Gabriel Matzneff, Frédéric Musso ou encore Eric Neuhoff, offre aux hussards des successeurs pleins de panache. Les années quatre-vingt-dix s’ouvrent sur les disparitions successives de Roland Laudenbach et Antoine Blondin. Avec l’arrivée de Denis Tillinac à la tête de La Table Ronde en 1990, le catalogue accueille Jean-Paul Kauffmann, Frédéric Fajardie, Yves Charnet, Jean-Claude Pirotte, Xavier Patier, le poète William Cliff ou plus récemment Michel Monnereau. En 1997, La Table Ronde reprend la collection Quai Voltaire, pour la dédier à la littérature étrangère, en publiant, entre autres, Alice Mc Dermott, Tracy Chevalier, et Richard Russo. Dirigées aujourd’hui par Alice Déon, Les Éditions de La Table Ronde continuent de réunir des auteurs restés fidèles à la liberté de ton de leurs fondateurs.
Modalité d'envois
Un soin particulier est donné au suivi des manuscrits qui nous sont confiés. Il nous est toutefois impossible de commenter et de retourner à leur soumissionnaire tout manuscrit ne rentrant pas dans le projet éditorial de la maison d’édition. Les projets non retenus ne seront pas renvoyés mais à disposition de leurs auteurs, en nos locaux. Par ailleurs, l'éditeur n'est pas responsable des manuscrits qui lui sont confiés.
Nous vous remercions de bien vouloir nous envoyer votre manuscrit sur support papier par courrier postal.
Les manuscrits expédiés par courriel ne seront pas examinés.
Les manuscrits doivent être envoyés reliés, dactylographiés en point 12, en caractère lisible (times, arial ou garamond), avec double interligne, une pagination et des marges suffisantes.
Nous vous remercions de joindre à votre envoi les informations suivantes :
- vos coordonnées complètes et votre adresse électronique
- une lettre de présentation
- un résumé du livre (une page maximum)