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8 Rue du Gazomètre, 69003 Lyon FranceMaisons d'éditions similaires :
Cinquième Couche (La)
La Cinquième Couche est une maison d'édition belge indépendante. La Cinquième Couche, dite aussi 5c, publie essentiellement de la bande dessinée depuis 1993.
Fondée par un groupe d'auteurs de l'atelier de bande dessinée de l'Institut Saint-Luc de Bruxelles (Damien Rocour, Sarah Masson, Michel Squarci, Sibylle Loof, Olivier Fable, Vincent Dutreuil, Nicholas Wood, Sébastien Kempenaers, Christophe Poot, Renaud De Heyn et Xavier Löwenthal), elle demeure jusqu'à la fin des années 1990, un groupe informel qui auto-publie ses productions. Ce n'est qu'au tournant des années 2000 qu'elle devient une réelle structure d'édition. Elle est actuellement pilotée par William Henne.
Cinq collections ont été créées : F., Extracteur, écritures, ESSAIM et Point métal.
En 2016, le catalogue compte 110 publications (5 revues publiées entre 1993 et 1998 et le reste publié à partir de 1999), par une soixantaine d’auteurs, provenant d’une dizaine de pays différents (Belgique, France, Suisse, Allemagne, Autriche, Portugal, Grèce, Finlande, États-Unis, Corée…)
La 5e Couche n’a jamais clairement définit sa ligne éditoriale a priori, sinon qu’en redéfinissant sans cesse son média, elle inscrit la bande dessinée dans les pratiques contemporaines (Tout ce qui frôle la bande dessinée et tend à l’en éloigner intéresse la 5e Couche, extrait du catalogue). Cependant, on peut dégager une tendance lourde en survolant le catalogue de l’éditeur : l’approche conceptuelle. Les publications procèdent majoritairement d’un dispositif narratif ou graphique d’ordre ludique, spéculatif, théorique, poétique ou auto-référentiel, qui préside au propos de l’auteur. Alors certes ce sont des dispositifs que l’on pourra trouver ailleurs (que ce soit en bande dessinée, en littérature ou dans les arts visuels), mais il y a incontestablement, dans les choix du comité éditorial, une inclination jubilatoire pour les jeux sur le langage et les codes visuels : les détournements, les mises en abîme, les structures narratives renversées et/ou systématiques, le jeu sur les contraintes, la déconstruction du récit, la parodie, les postulats surréalistes (poétiques, insolites, absurdes), la déconstruction de l’image, le rapport texte/image dissocié, l’abstraction, le récit métaphorique, la structure musicale, l'imposture,... Tous ces dispositifs formels n’oblitèrent pas les propos de leurs auteurs, au contraire, ils les réactivent : en abordant un thème, déjà mille fois traité, sous une forme renouvelée ou inusitée, l’auteur met en avant son sujet, qu’il soit politique, autobiographique, philosophique ou social.
Cette inclination conceptuelle et ludique n’escamote pas non plus les préoccupations formelles purement rétiniennes des auteurs : couleur, matière, techniques, texture, forme, dessin, composition… (ce sont des aspects traditionnels et modernistes déjà très présents chez d’autres éditeurs, y compris plus classiques).
De même que La 5e Couche participe d’une tendance générale de ces dernières décennies, le décloisonnement. Les livres publiés par la 5C sont pour la plupart à la lisière de la bande dessinée. Les auteurs publiés investissent le plus souvent d’autres disciplines et cela se répercute sur leur pratique de la bande dessinée : le théâtre, la performance et l’installation, la musique, la peinture, la sculpture, le graphisme, la sérigraphie, le cinéma d’animation et la vidéo, le dessin contemporain, la photo, l’affiche, la littérature,… (cet aspect n’est pas forcément spécifique à La 5e Couche et se retrouve chez de nombreux auteurs publiés ailleurs).
Quelques épisodes marquant ont jalonné l’histoire de la 5C : de 2004 à 2007, elle a repris à son catalogue la revue de littérature contemporaine écritures. De 2010 à 2013, elle a publié également la revue "Soldes, Fins de Séries", de Marc Borgers et Jean-Louis Sbille. Elle a été l'éditeur de la Bande dessinée Katz, détournement controversé de Maus, de Art Spiegelman, dans lequel l'auteur anonyme (Ilan Manouach) avait remplacé toutes les têtes des différentes espèces représentées par des têtes de chats. La 5e Couche est aussi l'éditeur de Judith Forest, succès de la bande dessinée féminine, en réalité une imposture littéraire de ses éditeurs de l’époque, William Henne, Xavier Löwenthal et Thomas Boivin.
Texte du catalogue : La bande dessinée est une forme contemporaine parmi d'autres.5C la tient en haute estime, elle et ses lecteurs. Tout ce qui frôle la bande dessinée intéresse La 5e Couche et tend à l’en éloigner. Son champ d’action est, par définition, poreux et illimité. Il ne serait pas étonnant de trouver, parmi ses livres, un précis d’urbanisme tatare ou de dodécaphonisme bantou, pourvu qu’ils s’articulent. Deux images / photos / mots etc. peuvent suffire à établir une articulation narrative. 5C montre. Du jamais vu, jamais comme ça, s’il en est.
5C agence. 5C fomente les conditions qui rendent la création possible. 5C n’a pas de cible. Son manifeste, ce sont ses livres.
Dès l’origine, le sens fusait de toutes parts. Parce que le sens n’est pas dans l’ordre des causes et des conséquences jusqu’au dénouement. Parce que le sens n’est pas dans l’élucidation. Comme un robot privé de sa fonction : il est inutile et libre. 5C aujourd’hui, c’est un catalogue de plus de vingt ans de publications, depuis les expériences collectives du groupe initial jusqu’aux livres d’aujourd’hui. Vous le tenez entre vos mains.
Mango
Mango est un éditeur du pôle livre de Media Participations
Mango est un éditeur de livres pratiques inscrits dans l’air du temps, écrits et illustrés par des professionnels qui mettent leur savoir, technique ou théorique, à la portée de leurs lecteurs.
Des livres pratiques pour apprendre ou se divertir.
Pour apprendre à choisir les gestes et les thérapies les mieux adaptés pour une santé, une forme et un épanouissement optimaux.
Pour apprendre à accompagner le développement de ses enfants vers leur bien-être.
Pour apprendre à concocter de savoureuses recettes pour tous les jours, des repas pour voyager dans son assiette, des menus sains et légers pour répondre à un besoin spécifique de santé.
Pour apprendre à coudre ses vêtements et accessoires, à broder, crocheter et tricoter de jolies créations, à fabriquer des objets pour décorer sa maison ou simplement pour se faire plaisir.
Pour apprendre à dessiner, peindre, laisser éclater sa créativité.
Enfin pour faire fonctionner ses méninges, s’amuser en famille ou entre amis avec des jeux inédits, de logique, d’expression, de connaissances totalement addictifs.
Mango est un éditeur qui accompagne ses lecteurs dans leurs envies, leurs besoins. Des lecteurs soucieux de leur qualité de vie qui investissent leurs passions et souhaitent mettre en pratique tout ce qui pourra contribuer à leur bien-être.
Mango est aussi un éditeur de jeunesse, qui, avec ses albums aux aventures singulières, ses livres animés astucieux, ses héros touchants, souhaite emmener chaque enfant sur les chemins de la créativité et de l’imaginaire, et lui faire vivre un quotidien serein.
Au Diable Vauvert
Créées à l’aube de l’an 2000 en Camargue gardoise, sur un modèle éditorial et une curiosité inspirés par Paul Ochakovski-Laurens, les éditions Au diable vauvert ont d’abord pour ambition de désenclaver les genres et faire reconnaître de nouvelles voix d’écrivains émergeant des pop-cultures, alors tout juste publiés en poche, comme Gaiman, Ayerdhal, Bordage, Morrow, Brite, Butler. S’étant fixé pour autre mission de défendre de jeunes français impertinents comme Nicolas Rey, Régis de Sà Moreira et Thomas Gunzig, sans oublier des précurseurs visionnaires comme Gibson et l’OVNI David Foster Wallace, acquis dès la création, les éditions Au diable vauvert revendiquent avec fierté depuis Jehan Rictus des voix faisant matériau littéraire du réel et de la langue vivante, en rupture avec tout académisme de style, ironiques, transfictionnelles et littérairement queer.
Bien vite les grands Welsh, Coupland et Dan O’Brien ont rejoint une maison créée pour les défendre au mieux, tout comme les nouvelles stars de l’imaginaire Bacigalupi et VanderMeer, les découvertes Hervier, Blanc-Gras, Monnery, Titiou Lecoq ou les poètes Felix Jousserand et Oxmo Puccino.
Contre vents et marais la maison a su, dans un secteur de plus en plus centralisé et concentré, poursuivre sans jamais rompre une politique unique au service de ses auteurs, faite de traductions énormes, de folies éditoriales, de succès et de rencontres qui furent autant d’aventures fondatrices, de Coralie Trinh Thi, Simon Casas, Wendy Delorme ou Nikki Gemmell à Jean-Paul Didierlaurent, et de Patrick Dewdney au succès de Juan Branco, parmi tant d’autres. Cette année de nos vingt ans, qui coïncidera justement avec celle du centenaire de Bukowski, rebelle symbole de jeunesse éternelle, devrait s’annoncer comme la plus riche en nouvelles voix et coups de théâtre, poésie comprise !
Allez au Diable, goûter ses libertés et ses irrévérences !
Gaussen (Editions)
Vrin
Rouergue
Editions du Stiff
A propos du Stiff : Un des plus vieux phares en France encore en fonctionnement, le phare du Stiff a été construit sur le point culminant de l’île d'Ouessant (60 m). En août 1685, Vauban propose la construction d’une tour défensive qui signalerait les dangers dans le nord-ouest de Brest. Construit en 1695 et allumé en 1700, il a d’abord fonctionné au charbon, puis en 1889 au pétrole. Au début du XXème siècle, il est doté d’un nouvel appareil optique.
Sa hauteur est de 33 m environ , soit 90 m par rapport au niveau de la mer. Aujourd’hui, il est automatisé et télécontrôlé à partir du Créac’h. Il se symbolise par 2 éclats rouges toutes les 20 secondes. Sa portée est de 24 milles.
Baker Street (Éditions)
C’est fin 2007 que les Éditions Baker Street furent créées par Cynthia Liebow, américaine vivant à Paris, après avoir été vingt ans éditrice de littérature étrangère dans plusieurs grandes maisons d’édition parisiennes.
Avec la littérature anglo-saxonne pour axe principal, les Éditions Baker Street publient également des textes français. La production est composée de 2/3 de fiction et d’1/3 de documents, ainsi que de quelques livres illustrés.
Les Éditions Baker Street ont pour vocation de favoriser les échanges entre l’édition et tous les autres arts, en permettant aux livres de trouver des déclinaisons ailleurs, à travers expositions, débats, lectures, tables rondes, pièces de théâtre ou encore vente des droits au cinéma et à la télévision, afin de prolonger et diversifier la vie du livre.
Outre la qualité de ses textes – une exigence essentielle –, son ambition est de publier des livres qui comptent, susceptibles de faire bouger les choses. Les événements organisés autour de chaque titre ont pour but de donner aux livres une place et même, parfois, un rôle clef dans la vie de la cité.
La Martinière
Phi
La création des éditions phi remonte à la fin des années 1970 et c’est grâce à un travail éditorial passionné que la littérature luxembourgeoise a connu un renouveau dans les années 80. On a vu rapidement éclore le roman, la poésie, le texte dramatique et la littérature pour enfants. Ont suivi les essais et les monographies. Au fil des ans, les éditions phi ont su installer des collections solides et agrandir le cercle des auteurs : plus de 140 auteurs contribuent aux collections de prose Phi, de poésie graphiti français et allemand, amphithéâtre, essais, philou, scientiphic, aphinités et prophil.
Les éditions phi publient 12 à 15 livres par année et comptent plus de 370 publications depuis leur fondation.