
Dans nos histoires: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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http://www.dansnoshistoires.orgAdresse
1 rue du Ziegelfeld, 67100 Strasbourg FranceSite Web
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1 rue du Ziegelfeld, 67100 Strasbourg FranceMaisons d'éditions similaires :
Zoé éditions
Aujourd’hui, le catalogue des éditions Zoé compte plus de 900 titres (dont plus de 150 disponibles aussi en numérique) d’écrivains de Suisse, d’Afrique et d’ailleurs. Parmi eux, Walser, Bouvier, Cendrars, Kristof, Reymont, mais aussi de nombreuses voix contemporaines en français ou traduites, qui disent toutes l’universel sur un ton farouchement personnel.
Comment caractériser le catalogue Zoé, fondé par Marlyse Pietri, dont le premier livre De la misère en milieu étudiant, est paru en 1975 ? Une intense attention au presque rien et à l’ordinaire qui permet la nuance, l’alliage du sombre et du lumineux. Nos auteurs entretiennent un rapport organique entre l’écriture et leur imaginaire, ils déchiffrent le monde et nous éclairent sur sa complexité et ses paradoxes.
Caroline Coutau
Sharon Kena (éditions)
Je suis Cyrielle Walquan et j’ai fondé ma maison d’édition le 2 mai 2011, avec pour ligne éditoriale : la romance. Je suis une passionnée, j’ai à cœur de faire les choses bien et je ne baisse jamais les bras.
Je vais vous parler un peu de moi : je suis maman de 3 enfants : Elisa, qui est maman également, Cécilia et Nathan. J’ai également 9 chats, mes bébés. Lilou, la maman qui a 12 ans. Ses petits que nous avons tous gardés et qui ont fêté leurs 11 ans à la Saint-Valentin 2023 : Carambar, Coeurly, Caramel, Chouchoune et Fouinie. Ensuite, Grisou qui a 8 ans et Smoocky qui en a 5. Et le petit dernier : Timon, mon Main Coon né en octobre 2022. J’ai aussi un chien, Miwa, un berger australien qui a 8 ans.
Je suis mariée depuis 2003, en couple depuis 1999, ça fait un bail ! Pour ceux qui me voient en salon, vous connaissez aussi mon mari puisqu’il m’accompagne à chaque fois.
J’adore lire, mais n’ai malheureusement plus le temps. Pour la petite histoire, je détestais ça au collège et au lycée, c’est venu plus tard avec « Twilight » tome 2 que j’ai lu après avoir vu le film et depuis j’enchaine les lectures.
J’aime aussi la musique : Keen’v, Shy’m, K-maro pour le trio de tête. Et pas forcément dans cet ordre ! J’ai la chance de les avoir tous vus en concert, certains plus d’une fois, certains avec selfie et dédicace.
Je suis également auteure C.N. Ferry, anciennement Sharon Kena. J’ai changé de pseudo pour ne plus être confondue avec ma maison d’édition, Sharon Kena éditions. Je l’ai créée en 2011 en y mettant volontairement mon pseudo auteure puisque mon souhait était seulement d’être en accord avec la loi et de publier mes romans. Vous connaissez probablement déjà l’histoire, je l’ai racontée dans plusieurs interviews. J’ai commencé à recevoir des manuscrits et je me suis lancée dans l’aventure.
Aujourd’hui, ma maison d’édition passe avant ma passion pour l’écriture puisque je n’ai plus le temps de m’évader dans ma bulle pour rédiger un manuscrit.
Vous l’aurez compris, Sharon Kena éditions est mon quatrième enfant et j’y mets ma passion pour la lecture et l’écriture. J’y consacre mes journées, souvent mes week-ends et parfois même mes vacances. Mon but est de lancer des auteurs, parce que je suis réaliste, je n’ai pas la visibilité de J’ai Lu, les accompagner et les aider du mieux possible.
Je suis toute seule pour m’occuper de Sharon Kena éditions, mis à part Aurélie qui se charge du service presse et quelques personnes extérieures pour les couvertures, corrections et relectures.
Sharon Kena éditions, c’est une grande famille de 80 auteurs à l’heure actuelle. Je vous invite à les découvrir et plonger dans leur univers pour de merveilleux voyages.
Depuis 2022, tous nos livres sont passés en format A5, il m’en reste dans l’ancien format 14 x 22.5 cm qui sont en déstockage à 3 €.
Toutes les précommandes sont envoyées en avant-première et en ajoutant le code notifié sur la page d’accueil, vous aurez un tote-bag, un carnet et un stylo offerts.
Je prépare les colis avec soin et rapidement après la commande, j’y mets des goodies. Vous pouvez même en avoir plus en entrant le code trouvé dans la newsletter. Pour vous y abonner, c’est en bas de la page d’accueil.
Tous nos ebooks sont distribués par Immatériel, vous les trouverez chez la plupart des e-revendeurs (Kobo, Amazon, Googleplay, Apple…). Certains titres sont également en abonnement sur Amazon, Kobo, Nextory…
Les brochés sont aussi distribués par Immatériel.
Je travaille avec l’imprimeur Typo’Libris, une imprimerie française éco-responsable pour faire le stock de la boutique et des salons.
Bon voyage !
Abordo
« A bordo ! » « (Montez) à bord ! »
Par cette injonction, nous vous invitons au voyage, à venir avec nous à la découverte de poésies nouvelles, ou à la redécouverte d'auteurs disparus dont la parole est toujours en résonance.
En gardant le cap d'une ligne éditoriale originale et singulière, nous appuyant sur la volonté d'affirmer l'acte poétique comme un lieu de réflexion et d'expression esthétique, nous fabriquons des livres qui privilégient les écritures vivantes, ouvertes sur le monde.
« Ne chantons pas la rose, faisons-la refleurir ! »
Caraibeditions
Fario (Éditions)
Depuis l’automne 2009, les éditions fario publient, aux côtés de la revue, des livres. Une première collection a vu le jour, inaugurée par un texte de Gustave Roud, Le repos du cavalier, suivi d’une étude de James Sacré, Aimé parmi les autres. Dans le sillage d’une revue, cette polyphonie fragile et éphémère, des lignes de force se dessinent, des corps de textes s’assemblent, des dilections naissent ou s’affirment. Gustave Roud est présent depuis le début.
Cette présence presque diaphane, son attachement à un lieu en même temps que ses errances de marcheur nocturne, son extrême attention au monde qui l’entoure tout autant qu’à l’invisible, l’éclat voilé et mélancolique de ses proses, l’accord tacite que celles-ci entretiennent avec le souvenir des morts, tout cela nous accompagne. Nous avons souhaité que le premier ouvrage publié autour de la revue soit de sa main. Notre catalogue s’est depuis élargi.
Pas davantage que les sommaires de la revue, il ne saurait être réduit à un quelconque programme ; il est ouvert à la littérature sous toutes ses formes, à la philosophie, à la critique sociale, aux arts. Les textes que nous publions reconnaissent leur dette envers la langue et envers le monde, ils sont d’un temps, d’un lieu, ils tentent, par des chemins divers de donner sens aux convulsions démentes de l’époque.
Notre attention à la matière du livre, à son enveloppe d’encre et de papier, vient affirmer que la lecture est une expérience entière, qu’elle implique ou entraîne une présence qui n’est pas que d’esprit, et qu’elle ne se consume pas dans la mouvante brillance des écrans.
Citadelles et Mazenod
Isabelle Sauvage
Au départ, deux éditeurs, deux personnalités : Isabelle Sauvage et Alain Rebours, pour s’aider, se contredire, se compléter et s’enrichir… quatre petites mains pour le reste. Mais, jamais deux sans trois ?
Au 1er mars, Sarah Clément nous a rejoints, et comme deux plus un(e) égale trois, et que deux + deux + deux font six… petites mains…
Donc : Isabelle Sauvage : maîtrise d’histoire de l’art (médiévale), puis éditrice/relectrice en free-lance pour de nombreuses maisons d’édition (principalement de livres d’art ou catalogues d’expos, notamment pour le Jeu de Paume)… la typographie au plomb mobile apprise sur le tas dans un atelier de typographe-imprimeur (René Jeanne), puis un autre (Michael Caine), et c’est le premier livre d’artiste(s), puis l’achat de matériel typo, et la joie de retrouver et l’art et les mots, et la tête dans les doigts. Alain Rebours : un CAP de typographe tôt, très tôt, graphiste au fur et à mesure des années… métier qu’il transmet un temps à l’école Estienne…
Tardivement, un DEA de Lettres sur René Char, puis chargé de cours à l’université Paris VII… aujourd’hui éditeur et psychanalyste. Sarah Clément : longtemps assistante d’édition au Jeu de Paume, éditrice/relectrice en free-lance pour de nombreuses maisons d’édition (livres d’art ou catalogues d’expos)…
A fondé la librairie Interlignes à Limours (Essonne) qu’elle a tenue pendant 11 ans avant de s’installer en Bretagne, où commence sa nouvelle vie.
DACRES
Maison d’édition résolument ouverte à tous les domaines relatifs aux créations de l’esprit, se positionnant à la croisée des transmissions et interdisciplinarités, DACRES se veut tout à la fois généraliste et sélective.
Nourrie des expériences du passé, qui permettent d’éclairer le présent, mais simultanément tournée vers l’avenir, ancrée dans les traditions tout en étant attentive aux problématiques actuelles et aux objectifs de demain, DACRES séduira tous ceux qui poursuivent une quête de sens dans le grand kaléidoscope de la connaissance, tous ceux qui s’efforcent d’accomplir, enfin, un processus de médiation, tissant des liens sans pour autant abolir les différences. Entre perceptions personnelles et Histoire collective, entre mémoires et possibles, par-delà certitudes, préjugés et prêt-à-penser, elle invite auteurs et lecteurs à suivre les conteurs et autres passeurs de signes, à s’engager dans les voies d’itinérances et les chemins de traverse, à vivre la formidable aventure des échanges culturels, sources d’enrichissements mutuels.
À l’instar des philosophes antiques ou de l’honnête homme de la Renaissance, dont l’insatiable curiosité et l’idéal d’universalité les faisaient savants de toutes matières sans les rendre experts d’aucune en particulier, notre ligne éditoriale a pour vocation de multiplier les approches et de croiser les regards, de bâtir des ponts entre les champs cognitifs et d’établir des passerelles entre les disciplines. Elle privilégie les domaines transversaux et l’hybridation des savoirs, les relectures novatrices et les variations thématiques.
Qu’il s’agisse de proposer une vision poétique du monde, de révolutionner les paradigmes scientifiques en vigueur, de revisiter les mythes anciens ou encore de renouveler les questions éternelles que l’homme se pose lorsqu’il se trouve confronté à lui-même, aux autres et aux mystères de l’univers, il est toujours question de parcours créatif : voyages de la pensée, exploration des émotions, trajets de vie, car c’est ainsi que l’homme chemine et trace sa route, soucieux de se dépasser sans cesse pour forger son humanité.
Le livre…
L’esprit humain a besoin du livre, comme il a besoin du langage et de l’écriture pour pouvoir se déployer. Le livre est un art : un art de vivre, d’aimer et de partager. Ouvrir un livre, c’est pénétrer dans un univers étrange et familier à la fois, côtoyer la magie des mots, faire une pause et savourer en silence, aussi, dans un monde saturé de bruit et de vitesse, prendre le temps de réfléchir et de rêver.
Et au-delà…
Support indéfectible de notre histoire, le livre papier est amené à s’associer avec le livre électronique dans une perspective multi et transmédia, plus complémentaire qu’oppositive.
DACRES est éditeur de livres mais élargit et prolonge son activité aux domaines connexes, en particulier dans un cadre partenarial : initiation, conception, développement et accompagnement de projets éditoriaux, audiovisuels ou multimédias, collaborations et supervision éditoriales…
Corridor Bleu (Le)
Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.
La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.
Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien. Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.
Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.
Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.
Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.