Annuaire d' éditeur / François Bourin
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François Bourin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
Créées en 1987, les Éditions François Bourin ont marqué le paysage de l’édition française en publiant un certain nombre d’auteurs comme Jeanne Bourin, Michel Serres, Jacques Testard, Alain Etchegoyen, autour d’une ligne éditoriale privilégiant une approche tranchée des grandes questions de société. Après avoir rejoint le groupe de la Cité en 1994, la maison reprend son indépendance en 2002 et publie des auteurs comme Marc Fiorentino avec Tu seras un homme riche, mon fils, Laurence Benhamou avec Le Grand Bazar Mondial, Charles Gave, Christian Saint-Etienne, Philippe Chalmin, Patrice Romain, auteur des Mots d’excuse ou l’écrivain chinois Jian Rong, auteur du best-seller Le Totem du Loup. Mais à la suite de difficultés personnelles, François Bourin a été contraint de céder sa maison en 2013. Après une période de flottement, François Bourin a repris la tête de sa Maison en Mai 2016 avec l’appui financier du Groupe Chevrillon et de plusieurs actionnaires privés. Le groupe Chevrillon, dirigé par Cyrille Chevrillon, est une société à actionnariat familial qui investit dans des entreprises industrielles, de services et de haute technologie. Il développe également ses activités dans le domaine culturel, notamment dans la production cinématographique, musicale et théâtrale. Les Éditions François Bourin représentent son premier investissement dans le secteur de l’édition. La maison reste aujourd’hui fidèle à son ADN : les questions de sociétés et s’applique à éclairer les grandes ruptures de notre époque, qu’elles soient sociétales, économiques, politiques ou scientifiques, en s’appuyant sur les auteurs qui lui sont restés fidèles et en suscitant l’émergence de nouveaux talents. La Maison s’efforce de répondre à ces questions dans tous les domaines, littérature, essais, documents mais aussi humour ou livres illustrés. Le rythme de publication, une vingtaine de titres par an, nous permet de défendre au mieux chacun d’eux auprès de la presse et des libraires. Les couvertures ont également été retravaillées pour améliorer la qualité de nos parutions et leur visibilité en librairie.

Contact

Téléphone

01 42 57 82 08

Adresse

21 Rue Trousseau, 75011 Paris
France

Maisons d'éditions similaires :

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Balzac éditeur

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1998
200 livres au catalogue dont 11 publiés par an

Fondée en 1998, Balzac Editeur compte actuellement près de deux cent titres à son actif. Balzac Editeur s’inscrit dans le paysage éditorial en tant qu’éditeur de sciences humaines et de documents, tout en développant un département en Tourisme, en collaboration avec la faculté de tourisme de l’Université de Perpignan.
Balzac Editeur poursuit en parallèle un département de littérature française et étrangère, essentiellement traduite du Castillan et du Catalan. Sa programmation se situe autour de dix titres par an.
La maison d’édition est dirigée par Robert Triquère et Christine Lavaill.

Occitanie Livre

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Bartillat

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2000
Refondées en 2000, les éditions Bartillat interviennent sur plusieurs fronts culturels : littérature sous toutes ses formes - roman, essai, correspondance, poésie, biographie - mais aussi histoire, esthétique, voyage, musique et d'autres disciplines... Chaque livre invite à la découverte d'une vision inédite d'un sujet ou à la réinterprétation d'un texte ou d'un auteur. Nouveautés et rééditions se répondent en un dialogue fécond où les œuvres s'éclairent à la lumière de notre époque. À la merci des secousses, les volumes traversent le temps. Nos livres souhaitent trouver leur place dans la longue chaîne de transmission des écrits, tel un maillon qui recueille le passé et préserve l'avenir. Un livre mène souvent à un autre livre, qui lui-même ouvre de nouvelles perspectives.
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Infolio

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1999
Créées en 1999, les éditions Infolio sont basées à Gollion, près de Lausanne, dans une région où l'édition est traditionnellement et ancestralement bien établie. La proximité de centres de formation dans tous les métiers du livre, ainsi que le grand nombre d'unités d'impression de qualité permet à notre maison de bénéficier des compétences les plus larges. La politique éditoriale des éditions Infolio touche des domaines aussi variés que l'archéologie, l'architecture, l'histoire, l'art ou la photographie. Une équipe de 7 personnes (graphistes, photolithographes, responsable marketing) travaille en étroite relation avec les milieux scientifiques (Département d'Architecture EPFL, Université de Lausanne et de Genève, Archeodunum SA investigations archéologiques, etc.).
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Éditions Morel

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2015
20 livres au catalogue dont 5 publiés par an

Nous éditons des ouvrages régionaux sur le thème de l’histoire et du patrimoine de la région Rhone-Alpes.

Actuellement, nous avons trois collections :

- ouvrages documentaires historiques

- Romans historiques

- Jeunesse historique (10-11 ans)

 

Nous rémunérons l’auteur selon le pourcentage prévu par le contrat signé préalablement, calculé sur le prix public du livre, et ce dès le premier exemplaire vendu.

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Hatier

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1880
2400 livres au catalogue dont 350 publiés par an
Hatier a été créée en 1880 par Alexandre Hatier. Le premier "Bescherelle" paraît en 1900. Ses ouvrages scolaires vont placer la maison parmi les trois grands éditeurs "classiques". À partir des années 1970, les éditions Hatier se développent dans le domaine du parascolaire en prenant une place de n°1 valable encore à ce jour. Ses collections "Bescherelle" ou "Profil" font toujours référence dans leur domaine respectif. En 1996, les éditions Hatier, filiale du Groupe Alexandre Hatier, ont été acquises par le Groupe Hachette Livre. Actuellement, Hatier est un des trois plus grands éditeurs français sur le marché de l'éducation.
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Ars Magna éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1996
Fondées en décembre 1996 à Nantes (date à laquelle elles prirent la succession des Éditions Ars), les Éditions Ars Magna sont une structure associative régie par la loi de 1901. Au fil des années, l'équipe qui les anime a construit un catalogue centré sur l'histoire des mouvements d'orientation nationaliste-révolutionnaire et traditionaliste, sur la géopolitique et sur la traduction de textes idéologiques rares inédits dans notre langue, devenant ainsi l'éditeur principal ou unique en français de Georges Valois, Alexandre Douguine, Jean Thiriart, Otto Strasser, etc..
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Cherche-Midi (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1978
500 livres au catalogue dont
Fondé en 1978, Le Cherche Midi éditeur compte plus de 500 titres à son catalogue dont les lignes éditoriales sont : l'humour, y compris le dessin, la poésie, les documents, la littérature, les livres d'art, l'aéronautique, les guides, la gastronomie et les coéditions avec Amnesty International, la ligue des droits de l'Homme, la ligue de l'Enseignement.
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Cosmopole

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1998

En 1998, les éditions Cosmopole commencent par publier des récits de voyage et d’histoire. Au fil des ans, des biographies historiques de grands personnages de l’épopée napoléonienne ainsi que des dictionnaires ont enrichi le catalogue.

En 2008, la maison est reprise ; l’accent sera mis sur l’histoire et la découverte avec la publication de récits d’exploration. Le vrai tournant est pris en 2010 avec la création d’une collection élégante et originale, « Les dictionnaires insolites », dirigée par Vanessa Pignarre et Patrick Arfi. Cette collection a d’abord proposé un voyage différent, à travers les mots, dans des pays, des régions et des villes du monde entier.

Le succès des dictionnaires insolites tient à tous ceux qui ont œuvré à la conception des livres, les auteurs (journalistes, universitaires, écrivains ou encore expatriés) qui apportent leurs connaissances et laissent entrevoir leur personnalité, et les graphistes, Karin Doering-Froger puis Amélie Pignarre, dont le talent et l’imagination ne se sont pas démentis.

En 2021, la collection s’ouvre à la déclinaison de thèmes culturels comme les rapports des humains aux chats, la problématique des frontières, l’attrait pour la mer, l’insularité…

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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Droz

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1924

Telle fut la notice qui figura longtemps en tête des catalogues de la maison d'édition.

II fallait de l'intelligence, du cran et du caractère à une femme pour fonder et diriger une maison d'édition dans le Paris des années folles. C'est en décembre 1924 exactement que la neuchâteloise Eugénie Droz, alors âgée de trente et un ans, publia ses premiers livres, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle.

Ce fut bientôt l'inévitable VIe et le 25 rue de Tournon, dans cette maison donnée par un roi à un poète.

L'érudite demoiselle resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève.

Dès l'origine l'ancrage genevois de la maison était inscrit, sinon dans les astres, du moins sur la page de tous les titres, puisqu'Eugénie Droz avait choisi comme marque celle de l'imprimeur Jean de Stalle, actif à Genève de 1487 à 1493, et dont le troisième et vraisemblablement dernier livre, un Ars minor de Donat édité par Antonio Mancinelli, qu'il imprime le 15 mai 1493, fut le seul à porter la marque aux quatre putti tenant son propre monogramme.La seule modification qu'osa l'éditrice moderne fut de remplacer les initiales I.S. par les siennes.

Plus tard, elle voulut que son affaire restât genevoise et, en 1963, c'est à deux jeunes historiens aux intérêts complémentaires, Giovanni Busino et Alain Dufour, qu'elle céda la société. Ils perpétuèrent l'audience scientifique de la maison. En 1966 eut lieu le dernier déménagement; le 11, rue Firmin-Massot étant depuis l'adresse de la Librairie Droz S.A.

Depuis 1995, une troisième génération a pris la relève et Max Engammare dirige les destinées de la Librairie Droz.

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