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Maisons d'éditions similaires :
Glyphe
Fayard
Rivages
Payot et Rivages est une maison d'édition française, issue du rapprochement en 1992 des activités d'édition de la société suisse Payot, créée en 1900, et de la société française Rivages, créée en 1984. Payot & Rivages a fait l'objet d'une prise de participation majoritaire par Actes Sud en janvier 2013.
Wikipédia
Autrement
Observateur indépendant ouvert au monde, Autrement est un acteur social impliqué dans le changement, dans le mouvement des idées et des pratiques. Notre démarche, à la fois intellectuelle et intuitive, savante et pragmatique, se nourrit de tous les matériaux disponibles – recherches, enquêtes, analyses, récits, fictions – pour saisir au plus près, avec des angles précis, les mutations dans les mentalités, les sensibilités, les représentations, les passages à l’acte.
Conscients de la complexité et de l’ambiguïté des choses et des êtres, et soucieux d’être utiles et d’inciter à l’action, nous voulons appréhender globalement les sociétés contemporaines dans leurs flux permanents, où se mêlent l’ici et l’ailleurs, hier et aujourd’hui, le local et l’international, le privé et le public : la planète et les enjeux géopolitiques contemporains, la société et ses mutations aujourd’hui, la ville et le phénomène urbain, le monde de l’économie, des entreprises et de la création, histoire et mémoires.
Inscrit sur le long terme, alliant éthique et esthétique, profondeur et improvisation, sérieux et lisibilité, notre projet va évidemment au-delà d’un simple programme éditorial. Il s’agit en fait de bâtir un véritable « laboratoire », un lieu d’éveil et d’incitation, un accélérateur d’énergies. Pour tous, adultes et enfants.
Les éditions Vivat
Nos mots clefs sont plaisir et découverte.
Nous publions ce que nous aimons.
Nous recherchons ce qui sort de l’ordinaire, ce qui dérange, ce qui nous bouscule, ce qui nous embarque et nous entraine très loin, ce qui nous fait réfléchir.
Nous privilégions l’accès facile aux œuvres en proposant une offre numérique à petit prix. Nous proposons à nos auteurs un contrat d’édition. Nous ne pratiquons pas l’édition à compte d’auteur.
Notre maison:
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Nous sommes une petite et jeune maison qui ne tend qu’à grandir
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Nous sommes maison familiale, libre, autonome et indépendante
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Nous ne sommes qu’un maillon de la chaine du livre
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Nous sommes le maillon qui permet de transformer une intention en réalité et de transmettre du plaisir de l’auteur au lecteur, de l’Alpha à l’Omega.
Nos Rubriques:
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Catalogue général: Alchimie, Ésotérisme, Spiritualité et Histoire des religions.
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Collection « Les Classiques »: plus de 100 titres fin octobre 2023 à retrouver sur toutes les plateformes et revendeurs numériques
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Auteurs contemporain: Appel à textes prévu en janvier 2024
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Collections à thèmes
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Concentré littéraire à lire en 30 à 45 minutes. Polar, Historique, Essai, Littérature, SFFF. Voir Appel à textes, premières publications pour Noël 2023
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En conclusion, nous sommes des passeurs de plaisir, des facilitateurs de l’ œuvre, un peu alchimistes sur les bords.
Bussière (Édition)
En 1927 Georges Niclaus, succéda à ses parents, couple de libraires installés Rue des Ecoles dans le quartier latin depuis les années 1900. Il déménagea la société dans un ancien hôtel, 34 rue Saint-Jacques, près de la Sorbonne et il développa l’édition et la vente de livres ésotériques (prières, spiritualité, occultisme) sous le label éditions Niclaus et découvra des auteurs aussi fameux que l’Abbé Julio, Robert Ambelain ou Janduz.
En 1964 il transmit la maison d’édition à sa nièce, Nicole Bussière, qui lui donna son nom, et lui donna un nouvel élan, grâce à un rare talent pour découvrir des auteurs (Hadès, Haziel…) et se positionner sur des créneaux majeurs.
Rigoureuse et entreprenante, elle racheta en 1985 le fonds Flandre-Artois, composé de livres d’astrologie, puis en 1994 La diffusion Scientifique (plus spécialisé en magie blanche et guérison), et en 2007 les éditions Astra (Le Jeu de la Vie, Le Hasard n’existe pas…).
Depuis une dizaine d’année, sa fille, Anne-Laure Le Lidec, a repris la direction générale de l’entreprise, ouvrant le catalogue à de nouvelles thématiques et à de nouveaux auteurs.
Amsterdam éditions
Fondées en 2003 par Charlotte Nordmann et Jérôme Vidal, les Éditions Amsterdam assurent la traduction et l’édition d’ouvrages de philosophie, d’histoire et de sciences sociales, d’essais critiques et politiques. Elles ont notamment introduit auprès du lectorat français des figures majeures du monde anglophone, accompagné la « Spinoza Renaissance », et travaillé les domaines des cultural studies, des gender studies, des postcolonial studies et de l’histoire atlantique.
Animées depuis 2016 par une nouvelle équipe sous la direction éditoriale de Nicolas Vieillescazes, les Éditions Amsterdam voudraient participer à l’émergence d’une génération d’intellectuels de gauche, tout en continuant à vous offrir le meilleur de la production intellectuelle de langue anglaise. Elles accueillent par ailleurs deux nouvelles collections : « L’ordinaire du capital », qui publie des documentaires littéraires, et « Les Prairies ordinaires », dédiée à la culture et aux arts. Ce faisant, elles espèrent contribuer à ce qu’en matière d’idées, la radicalité redevienne un marqueur d’exigence dans l’espace francophone.
Descartes & Cie
Depuis sa création en 1993 par Marc Guillaume, Thierry Paquot et Philippe Thureau-Dangin, Descartes & Cie a publié des livres qui couvrent tous les domaines des sciences sociales : économie, sociologie, anthropologie, psychanalyse, urbanisme… En privilégiant les questions d’actualité et les auteurs qui résistent contre l’appauvrissement de la langue et des idées tout en assurant un rôle de « passeur » entre les disciplines. De la même façon, les ouvrages de philosophie, les textes littéraires, les livres de photographies, par leur sensibilité originale et la forme particulière que leurs auteurs ont choisi de leur donner, se jouent des frontières conventionnelles et manifestent la réalité sociale et culturelle de notre présent.
Minako Guillaume et Jean Brousse ont rejoint les éditions Descartes. Le catalogue compte plus de deux cents titres.
Aube (Nouvelle éditions de l')
DDB
Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.
1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.
1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.
De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.
En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.
Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.
Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.
Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».
Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.
Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.
Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.
Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.
Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.
Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.
Modalité d'envois
Merci de nous envoyer un synopsis qui résume le propos et l'originalité de votre travail, un plan détaillé, ainsi que votre curriculum vitae.
Inutile de nous soumettre des textes de poésie, des romans ou des livres pratiques, car nous n'en publions pas.