Grèges: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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Maisons d'éditions similaires :
Arfuyen
Les Éditions Arfuyen ont été créées par Gérard Pfister en 1975 et ont bénéficié depuis leur origine du soutien et de la participation de Philippe Delarbre, Marie-Hélène et William English et Alain Gouvret.
Elles sont aujourd’hui dirigées par Anne et Gérard Pfister. Arfuyen n’est pas et n’a jamais été un concept ou une doctrine. Arfuyen est un lieu, une place ouverte, un refuge quand menacent les hautes eaux.
C’est le nom d’une montagne, à Malaucène, face au Mont Ventoux, où se trouvait la bergerie qui servit longtemps de siège aux Éditions. C’est le nom de cette unique montagne, Ararat ou Sinaï, Arunachala, Athos ou Carmel, où, depuis l’origine des temps, se retrouvent les solitaires pour y chercher le ciel. Une utopie. Un vrai lieu. Le seul lieu.

Ellipses Marketing
Imago
Imago, comme image, imaginaire… Marie-Jeanne et Thierry Auzas fondent, en 1977, les Éditions Imago.
Avec une vingtaine de titres par an, la maison compte aujourd'hui à son catalogue plus de trois cents titres. Privilégiant le croisement des disciplines, Imago publie des ouvrages de référence — faits de société, ethnologie, histoire, psychanalyse, critique littéraire — destinés à l'« honnête homme », au large public cultivé, avec une prédilection toujours vive pour les sujets insolites, curieux et rares…
Ouest-France
Elles jouent également un rôle notable dans le rayonnement culturel en se positionnant résolument comme la maison d'édition des régions de France.
Avec 200 nouveautés publiées par an et un catalogue de 1500 titres, elles travaillent avec plus de 2000 auteurs, tous spécialistes de leur domaine.
Spécialisées dans le tourisme, elles ont développé des collections histoire, patrimoine, cuisine, pratique, mer, nature, loisirs créatifs, architecture et beaux livres.
Les herbes rouges

Fayard
Tarabuste
Nul regret ne les taraude, eux, les compagnons de Tarabuste. Nul remords ne les traverse, ne les dévore. Ne se tracassent pas. Jamais. Jamais ou presque. Ne sont pas facilement troublés, bouleversés. Pertubateurs plus que perturbés, les compagnons.
Haïssent la tristesse. En la tristesse, écrit Descartes, dans "Les Passions de l'âme" (1649), "le pouls est faible et lent ; (...) on sent des liens autour du coeur, qui le serrent, et des glaçons qui le gèlent et communiquent leur froideur au reste du corps". Ne se sentent pas oppressés, pas ligotés, les Compagnons de Tarabuste. N'ont pas de glace dans le coeur, mais une flamme, tantôt timide, tantôt intense. Sont du côté de l'allégresse, les Compagnons. leur pouls est rapide.
Traboulent, les Compagnons de Tarabuste. Se faufilent dans les labyrinthes. Nomades. Ils errent. Traversent l'univers en des détours permanents. Rarement immobiles. Ne s'arrêtent un instant que pour s'offrir le plaisir de repartir brusquement, de commencer à nouveau un vagabondage que son interruption momentanée transfigure.
Traitent les obstacles, les limites, avec désinvolture. Avec impatience, se révèlent passe-muraille, sans toujours s'en rendre compte.
Sur leurs petits chevaux tatars, les Compagnons de Tarabuste parcourent en tous sens la toundra. Et leurs courses hasardeuses dessinent sur la terre, d'une écriture invisible, la forme des constellations.
Leurs rites sont hommages aux vents et aux tempêtes. Ils sacrifient des singes au simoun, des cygnes au sirocco, des ânes à la tramontane. En l'honneur du mistral, ils fracassent des miroirs. Ils sifflent pour appeler et apprivoiser les cyclones. Ils offrent aux ouragans des ourses noires. Ils dressent des autels dans les déserts et dans les clairières des forêts obscures.
Les Compagnons de Tarabuste sont barons du Tirliberly, ducs du Tohu-Bohu, comtes du Travestissement, princes de la Traverse. Tantôt ils désirent le silence ; plus souvent ils jouissent du Tintamarre.
Ils entrent en transe entre deux tranchées. Truculents, ils tentent de truander le destin, en trichant aux tarots. Ils tracent des trapèzes sur le sable que bleuit le crépuscule. Trapus, ils traquent les troupeaux de taureaux sauvages et les autruches dorées.
Gilbert Lascault

Fédérop
Les éditions fédérop sont nées à Lyon en 1975. Nées des rêves et de l’obstination de Bernard Lesfargues, poète et traducteur. Il était entouré d’amis qui avaient tous en commun d’être partisans d’un fédéralisme européen – d’où le nom de « fédérop ». Occitan, très attaché à sa langue, Bernard Lesfargues eut à cœur de défendre les langues des minorités, il créa une collection de langue occitane qui réunit des auteurs tels que Robert Lafont, Bernard Manciet, Jean-Yves Casanova, Pierre Bec, Max Rouquette, Alem Surre-Garcia, Philippe Gardy…
Il fut également le premier en France à publier les auteurs d’expression catalane : Quim Monzó et Baltasar Porcel. Après avoir repris la collection Solaire, les éditions fédérop se sont attachées à faire découvrir des poètes d’expression française et étrangère, en créant la collection Paul Froment. Dans cette collection, en 1976, fut publié pour la première fois en français le grand poète espagnol, Vicente Aleixandre, (Prix Nobel 1977), suivirent Yannis Ritsos, Julio Llamazares, Franco Fortini, entre autres. Reprises en 1999 par Bernadette Paringaux, les éditions fédérop, maintenant implantées en Périgord, entendent poursuivre dans la voie tracée par Bernard Lesfargues.
Elles continuent de publier des poètes français ou étrangers, des ouvrages en occitan en version bilingue, ainsi que des auteurs catalans ; des romans, récits, nouvelles et essais d’auteurs français ou étrangers, entre autres : John Burroughs (L’art de voir les choses) et Ralph W. Emerson. Elles publient également des textes de littérature de voyage, notamment dans la collection « Chemins du Monde ».
En 2011, elles ont créé la collection Troubadours qui se donne pour but de populariser la poésie des troubadours occitans.
Klincksieck
Ypsilon Editeur
Ypsilon Éditeur est né, en septembre 2007, d’un désir : celui de publier Un coup de Dés d’après les épreuves* – corrigées par Mallarmé – de l’édition qui devait paraître chez Ambroise Vollard : le choix du format et des caractères était fixé tout comme celui des illustrations d’Odilon Redon.
Le poème venait d’être publié à moitié dans la revue Cosmopolis, quand l’édition Vollard se proposait d’être définitive : « Cosmopolis a été crâne et délicieux ; mais je n’ai pu lui présenter la chose qu’à moitié, déjà c’était, pour lui, tant risquer ! Le poème s’imprime, en ce moment, tel que je l’ai conçu »**.
Finalement, la première édition du poème en volume ne parut qu’en 1914 chez Gallimard et cette édition dite originale (toujours rééditée depuis) ne respecte pas le projet initial.
Son format n’est pas conforme à celui voulu par Mallarmé, l’emploi de caractères elzéviriens (Garamont) contredit le choix de Mallarmé de composer le texte en Didot et les illustrations de Redon sont ignorées, et pour cause le sont restées longtemps.
La publication, pour nous fondatrice, du Coup de Dés tel que prévu par Mallarmé a, évidemment, déterminé notre orientation : les livres de littérature côtoient les ouvrages concernant la typographie et, récemment, une nouvelle collection de livres illustrés est venue compléter notre catalogue.

