Annuaire d' éditeur / L'Age d'Homme (Editions)
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L'Age d'Homme (Editions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1966
4000 livres au catalogue

La maison d'édition L'Age d'Homme est fondée en 1966 à Lausanne par Vladimir Dimitrijevic. C'est sans doute à L'Age d'Homme, forte aujourd'hui de 4000 titres, que nous devons de ne plus réduire la littérature russe aux seuls noms de Dostoïevski , de Tolstoï ou de Gorki. Grâce à la collection «Classiques Slaves», les lecteurs ont pu découvrir les œuvres majeures du symbolisme russe, celle d'André Biely (Pétersbourg,

La Colombe d'Argent, Kotik Letaiev), d'Ossip Mandelstam, d'Alexandre Blok ; des auteurs aussi considérables que les polonais Witkiewicz ou Ladislas Reymont ; les écrits esthétiques de Malévitch, les essais et les romans de Zamiatine, de Leskov ou de Boris Pilniak. De Ivo Andritch et Dobritsa Tchossitch aux chefs-d'œuvre d'Alexandre Zinoviev, la collection «Classiques Slaves» qui compte aujourd'hui plus de 500 titres, a permis de faire connaître un immense patrimoine littéraire que le «réalisme-socialiste» n'avait pas réussi à étouffer.

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Adresse

2-4, avenue du Théâtre Case postale 5076, 1002 Lausanne
Swaziland

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Par voie postale:

Editions L'Age d'Homme
2-4, avenue du Théâtre Case postale 5076
1002 Lausanne
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Tout manuscrit reçu par courrier est traité dans un délai de 6 mois par notre comité de lecture, les refus seront transmis par courrier électronique uniquement. Au vu de la quantité de manuscrits que nous recevons quotidiennement, il nous est malheureusement impossible d'accompagner nos notifications de refus d'un argumentaire personnalisé.

Seront pris en considération uniquement les manuscrits papier avec une police et un interligne lisibles. Nous n'acceptons pas les versions électroniques. 

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Maisons d'éditions similaires :

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Ateliers Henry Dougier

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1975
Nous voulons être aujourd’hui – comme hier, en 1975, quand on a créé Autrement et ses 30 collections – des passeurs d’idées et d’émotions, des créateurs de concepts et d’« outils » incitant au rêve et à l’action. L’un et l’autre, inséparables ! Car notre démarche volontariste s’inscrit dans un regard impliqué, mais libre sur des sociétés en mutation accélérée, dans une ouverture permanente vers le haut et vers le large. Vers le haut, par l’originalité des angles, la force des écritures, la fiabilité des auteurs, la beauté des formes. Vers le large, par l’ampleur des focalisations, la diversité des sensibilités, la convergence du court et du long terme, la fusion de la mémoire et de l’imaginaire. Notre ambition : raconter, avec lucidité, simplicité et tendresse, la beauté et les fureurs du monde. Tout ce qui est susceptible de nous réveiller, de briser la glace en nous, de réenchanter nos vies.
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A Vue d'Oeil

Maison d'édition à compte d'éditeur
200 livres au catalogue dont 70 publiés par an
À vue d’œil est une maison d’édition comme les autres. Comme nos consœurs dites « Tous publics », nous aimons les livres passionnément. Et nous aimons faire partager ce goût de la littérature par des choix éditoriaux qui nous ressemblent, que nous souhaitons éclectiques, et en prise avec l’actualité littéraire. Une maison d’édition comme les autres, donc, avec juste une petite particularité : nous proposons des livres en gros caractères. Et qu’est-ce qu’un livre en gros caractères ? C’est un livre dont l’ergonomie facilite grandement la lecture, par la taille agrandie des caractères utilisés, une mise en pages très lisible, un papier antireflet, une couverture illustrée en couleurs… Une somme de détails très précis et étudiés, permettant à tous ceux et celles, nombreux et de tous âges, qui souffrent de déficits visuels variés, de renouer avec le plaisir de lire dont ils étaient trop souvent exclus. En somme, des livres simplement pensés et adaptés pour répondre à des besoins spécifiques. C’est tout.
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Slatkine éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1960
30 publiés par an

Depuis plus de trente ans, à côté de son activité de réimprimeur et d’éditeur universitaire, SLATKINE REPRINTS a développé une activité d’édition « grand public » sous la marque Éditions Slatkine.

Les Éditions Slatkine publient une trentaine de nouveautés par an, principalement à caractère régionaliste. Le catalogue permet de découvrir plus de 400 auteurs anciens et modernes : écrivains, historiens, poètes, journalistes, scientifiques, romanciers, conteurs, peintres, qui font découvrir au fil des pages et des images les traditions, les coutumes, les légendes, l’histoire, l’iconographie, la poésie et l’écriture de la Suisse romande et de ses contrées frontalières. Au surplus, de nombreux sujets d’actualité sont également traités.

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Table Ronde (La)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1944
3345 livres au catalogue dont 40 publiés par an
C’est en 1944, à Paris, que Roland Laudenbach, Jean Turlais et Roger Mouton, trois jeunes gens réunis par le goût de la littérature, lancent l’aventure de La Table Ronde.
L’idée première est de créer une revue. Conviés autour de la table, Thierry Maulnier, André Fraigneau et Jean Cocteau participent au projet. André Fraigneau suggère un titre énigmatique : La Couronne fermée. Jean Cocteau lui préfère La Table Ronde, qui correspond davantage à l’esprit du groupe. François Salvat dessine les maquettes et le premier numéro des « Cahiers de La Table Ronde » voit le jour fin 1944. Jean Anouilh confie alors sa pièce Antigone à Roland Laudenbach, sans limitation de tirage. Ce sera le premier livre en édition courante, celui qui fait de La Table Ronde une maison d’édition à part entière.
L’effervescence littéraire et intellectuelle du demi-siècle ne perdant rien de sa vigueur, des auteurs tels François Mauriac et Henry de Montherlant collaborent à la revue, tandis que Paul Morand livre son Journal d’un attaché d’ambassade et Jean Giono Un roi sans divertissement. Au fil des années cinquante, une génération d’écrivains turbulents fait son apparition. Parmi eux, Antoine Blondin, Michel Déon, Jacques Laurent, Roger Nimier, tous amis de Roland Laudenbach, que Bernard Frank réunira — un peu rapidement — sous le nom de « hussards ».
Au cœur de cette époque, La Table Ronde publie des romans drôles et mélancoliques, sensibles et délicats.
L’éclosion d’écrivains comme Alphonse Boudard, Gabriel Matzneff, Frédéric Musso ou encore Eric Neuhoff, offre aux hussards des successeurs pleins de panache. Les années quatre-vingt-dix s’ouvrent sur les disparitions successives de Roland Laudenbach et Antoine Blondin. Avec l’arrivée de Denis Tillinac à la tête de La Table Ronde en 1990, le catalogue accueille Jean-Paul Kauffmann, Frédéric Fajardie, Yves Charnet, Jean-Claude Pirotte, Xavier Patier, le poète William Cliff ou plus récemment Michel Monnereau. En 1997, La Table Ronde reprend la collection Quai Voltaire, pour la dédier à la littérature étrangère, en publiant, entre autres, Alice Mc Dermott, Tracy Chevalier, et Richard Russo. Dirigées aujourd’hui par Alice Déon, Les Éditions de La Table Ronde continuent de réunir des auteurs restés fidèles à la liberté de ton de leurs fondateurs.
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Eska (Editions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1982
1280 livres au catalogue dont 70 publiés par an
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Croisée des chemins (La)

Maison d'édition à compte d'éditeur
Éditer, c’est encourager à penser, proposer à aimer, partager une passion ou donner à réfléchir. C’est aussi, voire surtout, être en relation continue avec les lecteurs et les lectrices. Par les temps qui courent, il est plus que vital de s’arrêter un moment pour vivre dans cet ailleurs, présent et éternel, que sont les livres.
Y rêver, y rire et y pleurer, garder le souci de l’âme et découvrir l’autre.
C’est ce que nous vous proposons.
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Editions Alphil

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1996
400 livres au catalogue dont 45 publiés par an
Alphil SA est active dans l'édition de livres et de revues, sous format papier et sous format électronique.
Nos activités sont divisées en trois marques éditoriales:
 
  • Éditions Alphil
  • Éditions Alphil-Presses universitaires suisses
  • Éditions Livreo-Alphil

Les Éditions Alphil publient des récits, des essais et des livres illustrés. Elles collaborent avec de nombreuses institutions, notamment avec des musées en vue de publier des catalogues d’exposition et des livres illustrés. Ces ouvrages sont généralement en lien avec l’histoire, la culture et le patrimoine de la Suisse.

Les Éditions Alphil-Presses universitaires suisses publient des ouvrages de sciences humaines et sociales, tels que synthèses, essais, monographies, actes de colloque, éditions de sources, mélanges, thèses, mémoires de master et revues. L'histoire a constitué le point fort de la maison d'édition à ses débuts, mais au fur et à mesure, son champ de publications s'est élargi à l'histoire de l'art, à la géographie, aux sciences sociales et politiques ainsi qu'à l'analyse littéraire.

La majorité des ouvrages sont rédigés en français, mais nous publions aussi en anglais et en allemand.

Les Éditions Livreo-Alphil publient des essais, des récits, des livres de synthèse et une collection de livres de poche. Ces livres s’adressent un large lectorat.

Historique
 
Les Éditions Alphil ont été fondées en 1996 par deux étudiants, Alain Cortat et Philippe Erard. Enthousiasmés par les dessins d’André Harvec qui paraissaient dans l’Écho Illustré, ils ont cherché en vain à se procurer un album. Ils ont alors décidé de publier eux-mêmes un recueil d'une sélection de 200 dessins du fameux dessinateur français. Ce projet a été primé lors d'un concours organisé par la Jeune Chambre Économique du district de Porrentruy, ce qui leur a permis d'obtenir les fonds nécessaires pour se lancer dans l’édition. Après le retrait de Philippe Erard, et sous la direction d’Alain Cortat, les Éditions Alphil se sont spécialisées dans l'histoire, les récits, les essais, les beaux-livres et les textes universitaires.
 
En 2010, un nouvel associé, Jacques Barnaud, a rejoint les Éditions Alphil. À cette occasion l'entreprise a été transformée en SA et a emménagé dans de nouveaux locaux à Neuchâtel, où sept collaborateurs (5 équivalents plein temps) assurent le travail éditorial ainsi que les activités de distribution. Le travail de mise en page et de graphisme est confié à des spécialistes des arts graphiques en externe.

 

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Fayard

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1857
7800 livres au catalogue dont 230 publiés par an
Dès sa création en 1857 par Arthème Fayard, la Librairie Arthème Fayard avait pour objectif de rendre le livre accessible à tous, et publiait des ouvrages historiques et des romans populaires. À la mort de son fondateur, en 1895, son successeur du même nom développa l'édition d'auteurs classiques et contemporains à prix réduits, la littérature étrangère et créa une collection de romans policiers qu'il dirigea jusqu'à sa mort en 1936. En 1956, Fayard devient une société anonyme, et en 1958 une filiale d'Hachette. Aujourd'hui, son catalogue compte des collections d'histoire, de sciences, de littérature classique et contemporaine, française et étrangère, de musique et de sciences humaines, ainsi que des documents d'actualité.
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Guy Trédaniel

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1974
Pionnier et précurseur dans les médecines alternatives depuis 1974, éditeur des plus grands noms en spiritualité, Guy Trédaniel est un frondeur dont la vocation est d’offrir à ses lecteurs, des ouvrages de référence qui s’inscriront dans la mémoire collective de notre époque. Dogna, Réquéna, Willem, Beljanski, Delatte, Sionneau, Despeux, mais aussi Emoto, Chopra, Osho, Don Miguel Ruiz, Dyer, Walsch, Thich Nhat Hanh et tant d’autres… ont en commun d’éclairer nos esprits de leur lumière, qu’ils soient médecins, chercheurs, scientifiques ou maîtres spirituels.
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