
La Feuille de thé: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Du salon de thé littéraire... à la maison d'édition En 1982 s'ouvre à Beaufour-Druval, dans le Pays d'Auge,, un salon de thé dans lequel sont organisées des expositions et des rencontres. En 1992, il devient salon de thé littéraire.
Tous les mois, des rencontres sont organisées sur un auteur ou un thème: littérature italienne, contemporaine, polonaise...visite littéraire de villes: New York, Dublin, Venise, Lisbonne... ou autour d'un auteur: Spinoza, Hannah Arendt, Italo Calvino...
Il était coutume d'inviter des auteurs :Martin Melkonian entre autres. Le passage du salon de thé littéraire à la maison d'édition s'est fait tout naturellement. En 2005 est donc constituée la SARL Les Puces Gourmandes qui gère la maison d'édition La Feuille de thé. Depuis, l'aventure continue...
La ligne éditoriale est fondée sur la découverte de nouveaux talents, soit essentiellement des auteurs qui n'ont jamais été publiés. Qu'on se le dise, la maison est particulièrement exigeante.
Contact
Site Web
http://www.lafeuilledethe.com/Téléphone
0679130834Adresse
Les Puces Gourmandes, 14340 Beaufour-Druval FranceSite Web
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0679130834Adresse
Les Puces Gourmandes, 14340 Beaufour-Druval FranceMaisons d'éditions similaires :
Héloïse d'Ormesson
L'Age d'Homme (Editions)
La maison d'édition L'Age d'Homme est fondée en 1966 à Lausanne par Vladimir Dimitrijevic. C'est sans doute à L'Age d'Homme, forte aujourd'hui de 4000 titres, que nous devons de ne plus réduire la littérature russe aux seuls noms de Dostoïevski , de Tolstoï ou de Gorki. Grâce à la collection «Classiques Slaves», les lecteurs ont pu découvrir les œuvres majeures du symbolisme russe, celle d'André Biely (Pétersbourg,
La Colombe d'Argent, Kotik Letaiev), d'Ossip Mandelstam, d'Alexandre Blok ; des auteurs aussi considérables que les polonais Witkiewicz ou Ladislas Reymont ; les écrits esthétiques de Malévitch, les essais et les romans de Zamiatine, de Leskov ou de Boris Pilniak. De Ivo Andritch et Dobritsa Tchossitch aux chefs-d'œuvre d'Alexandre Zinoviev, la collection «Classiques Slaves» qui compte aujourd'hui plus de 500 titres, a permis de faire connaître un immense patrimoine littéraire que le «réalisme-socialiste» n'avait pas réussi à étouffer.
Droz
Telle fut la notice qui figura longtemps en tête des catalogues de la maison d'édition.
II fallait de l'intelligence, du cran et du caractère à une femme pour fonder et diriger une maison d'édition dans le Paris des années folles. C'est en décembre 1924 exactement que la neuchâteloise Eugénie Droz, alors âgée de trente et un ans, publia ses premiers livres, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle.
Ce fut bientôt l'inévitable VIe et le 25 rue de Tournon, dans cette maison donnée par un roi à un poète.
L'érudite demoiselle resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève.
Dès l'origine l'ancrage genevois de la maison était inscrit, sinon dans les astres, du moins sur la page de tous les titres, puisqu'Eugénie Droz avait choisi comme marque celle de l'imprimeur Jean de Stalle, actif à Genève de 1487 à 1493, et dont le troisième et vraisemblablement dernier livre, un Ars minor de Donat édité par Antonio Mancinelli, qu'il imprime le 15 mai 1493, fut le seul à porter la marque aux quatre putti tenant son propre monogramme.La seule modification qu'osa l'éditrice moderne fut de remplacer les initiales I.S. par les siennes.
Plus tard, elle voulut que son affaire restât genevoise et, en 1963, c'est à deux jeunes historiens aux intérêts complémentaires, Giovanni Busino et Alain Dufour, qu'elle céda la société. Ils perpétuèrent l'audience scientifique de la maison. En 1966 eut lieu le dernier déménagement; le 11, rue Firmin-Massot étant depuis l'adresse de la Librairie Droz S.A.
Depuis 1995, une troisième génération a pris la relève et Max Engammare dirige les destinées de la Librairie Droz.
Les Passionnés de bouquins
L'histoire des éditions les Passionnés de bouquins est avant tout une histoire autour des livres, une histoire longue de plusieurs générations, commencée en 1880 à Lyon autour d'une librairie d'abord: « la librairie Crozier de Uffredi ».
Après plusieurs années d'existence, la librairie devient maison d'édition en 2010 sous l'appelation: "éditions les Passionnés de bouquins" et choisi d'articuler sa ligne éditoriale sur la dimension régionaliste. Une maison d'édition ancrée en Rhône-Alpes. C'est ainsi que tous nos titres et nos auteurs ont un lien avec notre région Rhône-Alpes.
Pour en savoir plus sur notre histoire : http://www.les-passionnes-de-bouquins.com/maison-edition/#/
Fario (Éditions)
Depuis l’automne 2009, les éditions fario publient, aux côtés de la revue, des livres. Une première collection a vu le jour, inaugurée par un texte de Gustave Roud, Le repos du cavalier, suivi d’une étude de James Sacré, Aimé parmi les autres. Dans le sillage d’une revue, cette polyphonie fragile et éphémère, des lignes de force se dessinent, des corps de textes s’assemblent, des dilections naissent ou s’affirment. Gustave Roud est présent depuis le début.
Cette présence presque diaphane, son attachement à un lieu en même temps que ses errances de marcheur nocturne, son extrême attention au monde qui l’entoure tout autant qu’à l’invisible, l’éclat voilé et mélancolique de ses proses, l’accord tacite que celles-ci entretiennent avec le souvenir des morts, tout cela nous accompagne. Nous avons souhaité que le premier ouvrage publié autour de la revue soit de sa main. Notre catalogue s’est depuis élargi.
Pas davantage que les sommaires de la revue, il ne saurait être réduit à un quelconque programme ; il est ouvert à la littérature sous toutes ses formes, à la philosophie, à la critique sociale, aux arts. Les textes que nous publions reconnaissent leur dette envers la langue et envers le monde, ils sont d’un temps, d’un lieu, ils tentent, par des chemins divers de donner sens aux convulsions démentes de l’époque.
Notre attention à la matière du livre, à son enveloppe d’encre et de papier, vient affirmer que la lecture est une expérience entière, qu’elle implique ou entraîne une présence qui n’est pas que d’esprit, et qu’elle ne se consume pas dans la mouvante brillance des écrans.
Poétisthme
Les Éditions POÉTISTHME proposent des écrits transversaux que l’on ne peut apprécier sans faire un pas de côté – des vies latérales qui se sont refusées au littéral. Nous assumons une littérature qui se dérobe au couperet de la verticalité et à la sécheresse de l’orthodoxie. Nous revendiquons une littérature horizontale, transnationale – une littérature qui est le carrefour où se rencontrent les langages pour donner forme et visibilité au dialogue entre des voix différentes. Nous prenons donc le parti de faire face aux tensions dans le rapport à la langue pour questionner la dimension linguistique de la condition humaine – car la Parole, qu’on la méprise, la manipule ou la révère, est le point nodal de notre existence commune.
LE PARTI-PRIS DE LA POÉSIE
Si nous mettons en partage des écrits – des fragments – des fulgurances à caractère poétique, c’est parce que nous croyons qu’ils sont le lieu-dit où se manifeste le plus clairement que la langue – la culture – l’identité, ne sont pas une totalité close ou un tout figé, mais bien le fruit d’un engagement, d’un geste performatif allant de Soi vers l’Autre. La poésie se confronte aux certitudes – démantèle le cadre identitaire – met en branle l’autorité illusoire, notamment celle des frontières en le Je et le Nous : deux sujets qui s’interrogent mutuellement dans le poème.
Pour Nous, éditer de la poésie, c’est revendiquer une manière de prêter attention au langage en décalage avec les usages. Non pas pour sombrer dans le particularisme ou dans un discours intellectuel nombriliste, mais pour tenter de recréer du commun sans méconnaître les identités ou, dit autrement, de permettre aux identités de s’inscrire dans le langage commun. Ce mouvement est à nos yeux celui du langage poétique.
NOS COLLECTIONS
FEU DE BRANDES : voix-brûlots – compositions au bord du poétique – paroles houleuses & émotions cahot-iques – textes qui se tissent sur la brèche – mailles obliques – scories & mété-or-es – secousses s-isthm-iques où confluent nos passions atomiques.
« Les abrutis ne voient le beau que dans les belles choses », Arthur Cravan, Maintenant (1912).
CONFLUENCES : voix enlacées non corsetées – mots choraux dont l’arborescence donne naissance à des mots-coraux – récifs où l’on s’échoue & se retrouve – paroles qui se répondent dans le désert des siècles – par-delà l’écart incommensurable une langue de terre qui joint lettre à l’être.
« Les évènements m’ennuient. Les évènements sont l’écume des choses. C’est la mer qui m’intéresse. C’est dans la mer que l’on pêche ; c’est sur elle que l’on navigue ; c’est en elle que l’on plonge… », Paul Valéry.
CIRCUMNAVIGATION : « L’errance est vocation », disait Glissant. Pour nous, elle sera raison : raison d’éditer, de chercher dans l’ailleurs – d’un îlot, d’une nation – des voix qui ouvrent des voies pour penser l’écart entre le proche et le loin – cet entre-deux que nous nommons isthme. À travers l’errance, nous voulons quitter l’exil intérieur auquel nous condamnent les racines langagières : nous voilà partis à la quête d’un verbe qui n’existe qu’autre part...
Editions Garnier
Les Éditions Garnier ont été fondées en 1833 par Auguste et Hippolyte Garnier. Leur librairie, ouverte sous les arcades du Palais-Royal, connaît très vite le succès. Les frères Garnier achètent bientôt les fonds de Delloye, Dubochet et Salvat (éditeurs des grands écrivains romantiques) et le fonds classique de Panckoucke. Ils éditent certaines œuvres de Sainte-Beuve, Musset, Gautier, Sand, Vigny.
La maison évolue, s’agrandit, et crée la collection des « Classiques Garnier » à la couverture jaune qui a marqué des générations de lecteurs depuis 1896. Si elle propose d’abord des ouvrages à prix très bas, la collection s’oriente au cours du XXe siècle vers des éditions savantes. Ce tournant engage les Éditions Garnier sur la voie de l’édition de référence en langue et littérature française.
Reprise en 1983 par les Presses de la Cité, la maison Garnier rejoint le groupe indépendant Rue des écoles en 1998. Les Éditions Garnier publient dès lors des éditions de référence en langue et littérature française : c’est ainsi que paraît, sous la direction de Claude Blum, Le Nouveau Littré, 2005-2009. Les Éditions Garnier ont également réalisé plusieurs collections en partenariat avec Le Monde (« Les Rebelles », 2012 ; « Les Petits Guides de la langue française », 2017) ou avec Le Figaro (« La Bibliothèque » de Jean d’Ormesson, 2009).
Hatier
Arbre Vengeur