Mosaïc: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
L'énergétique de l'Homme et l'énergétique des Lieux sont nos domaines de recherche privilégiée. L’étude de l’environnement, la géobiologie, l’architecture sacrée, les techniques des anciens constructeurs, l’art du Trait et le symbolisme sont nos moyens d’action. Mosaïque Éditions propose un certain nombre d'ouvrages traitant de ces sujets.
Leurs auteurs sont réputés pour leurs travaux et ces livres sont tous le résultat d'une expérience personnelle et d'une compétence reconnue.
Mosaïque Éditions a organisé depuis 1989, des stages de géobiologie. L'apprentissage de ces techniques, permettaient de s'ouvrir par un autre regard à une culture bio-sensible de notre environnement.
Vous voulez en savoir plus, alors n'hésitez pas, visitez notre site, et ensemble retrouvons les chemins de cohérence !
Contact
Maisons d'éditions similaires :
Mémoire d'Encrier
Fondées à Montréal en mars 2003 par Rodney Saint-Éloi, les éditions Mémoire d’encrier se sont fixé pour mandat de réunir des auteurs de diverses origines autour d’une seule et même exigence : l’authenticité des voix. Mémoire d’encrier est ce lieu-carrefour où se tissent rencontres, dialogues et échanges pour que les voix soient visibles et vivantes.
Mémoire d’encrier publie de la fiction : roman, récit, nouvelle; aussi de la poésie, des essais, des chroniques. Un catalogue diversifié aménage des passerelles entre cultures et imaginaires du monde.
Mémoire d’encrier publie des auteurs québécois, amérindiens, antillais, arabes, africains… représentant ainsi une large plate-forme où se confrontent les imaginaires dans l’apprentissage et le respect de la différence et de la diversité culturelle. Mémoire d’encrier propose de penser l’autre autrement, l’autre au pluriel, en ouvrant de multiples fenêtres sur le monde, ceci de manière décomplexée.
Dans nos sociétés actuelles, rien ne manque plus que la compréhension. C’est dans cet esprit que Mémoire d’encrier a fondé en 2016, pour pouvoir sensibiliser, diffuser et promouvoir une pensée de la diversité, l’organisme à but non lucratif Espace de la Diversité (EDLD). Un espace de diffusion pour les littératures de la diversité, pour les valeurs du vivre-ensemble et pour confronter l’histoire, le racisme et les inégalités. À travers le catalogue de Mémoire d’encrier et les initiatives (ateliers, conférences, rendez-vous littéraires…) de L’Espace de la Diversité, un pont entre générations, visions et vécus du monde est en œuvre.
Le souhait est de rompre avec la rectitude éditoriale et la monoculture, qui dévident les êtres. Pour rassembler les continents et les humains, nous avons besoin de repousser la peur, la solitude et le repli afin d’imaginer et d’oser inventer un monde neuf. Mémoire d’encrier est cette manière de revisiter notre être le plus profond et de nous concilier avec nos parts manquantes, en regardant et en acceptant l’autre dans sa combien riche et complexe différence.
Prairial
Prairial est une maison d’édition lancée en 2014, qui souhaite faire redécouvrir des textes rares sous une forme à la fois simple et soignée.
Prairial est aussi le neuvième mois du calendrier républicain – soit la période allant du 20 mai au 18 juin dans le ci-devant calendrier grégorien.
Il nous plait de remettre en usage ce calendrier utopique, qui voulait marquer le début d’une nouvelle ère, mais n’aura finalement servi que douze petites années, de 1793 à 1805. Ce calendrier régi par la froide raison (12 mois de 30 jours, plus quelques sans-culottides pour faire bonne mesure), mais dont la nomenclature a été imaginée par un poète au nom délicieux, l’immortel auteur de « Il pleut, il pleut, bergère », Fabre d’Églantine (à tes mânes, salut !). Un calendrier absurde, en somme, qui croyait pouvoir changer le monde. Comme les livres que nous rééditons.
Car prairial, s’il est bien le joli mois où les fleurs volent au vent, est aussi un mois de luttes – et de rêves démesurés : c’est le 20 prairial an II qu’a lieu la fête de l’Être suprême, rien de moins que la tentative révolutionnaire d’instaurer une nouvelle religion ; c’est le 1er prairial an III que le peuple parisien se soulève pour reprendre un pouvoir qu’on lui a volé. Semblablement nous voulons que Prairial, la maison d’édition, soit celle des délirants, des révoltés et des prophètes.
Elytis
Erès
Les éditions érès, créées en 1980 par Georges Hahn et Jean Sacrispeyre, sont une maison d'édition spécialisée dans le domaine des sciences humaines et des pratiques qui s'en inspirent. Ancrés dans les réalités professionnelles concernées par les divers champs qui balisent notre ligne éditoriale, les ouvrages publiés témoignent d'une diversité d'approches théoriques et cliniques ainsi que d'un fort engagement humaniste :
1. L'enfance et notamment la petite enfance, l'enfance maltraitée, la parentalité, mais aussi l'adolescence ;
2. La santé mentale qui interroge la psychiatrie et les pratiques cliniques en référence à la psychanalyse, la psychothérapie institutionnelle, la théorie systémique ;
3. La psychanalyse d'inspiration freudienne ;
4. Le travail social et l'éducation avec notamment une attention particulière pour les personnes en situation de handicap, les personnes âgées, et les acteurs sociaux eux-mêmes ;
5. Les phénomènes de société dont l'analyse nourrit l'action sociale et politique ;
Notre catalogue s'enrichit chaque année de 90 nouveaux titres, et de 60 numéros de revues thématiques (qui sont de véritables livres !).
Nos lecteurs sont pour l'essentiel des professionnels (psychiatres, psychanalystes, soignants, éducateurs, travailleurs sociaux, juristes, etc.) exerçant en institutions ou en libéral, des chercheurs, des universitaires et des étudiants.
Thierry Magnier
Table Ronde (La)
L’idée première est de créer une revue. Conviés autour de la table, Thierry Maulnier, André Fraigneau et Jean Cocteau participent au projet. André Fraigneau suggère un titre énigmatique : La Couronne fermée. Jean Cocteau lui préfère La Table Ronde, qui correspond davantage à l’esprit du groupe. François Salvat dessine les maquettes et le premier numéro des « Cahiers de La Table Ronde » voit le jour fin 1944. Jean Anouilh confie alors sa pièce Antigone à Roland Laudenbach, sans limitation de tirage. Ce sera le premier livre en édition courante, celui qui fait de La Table Ronde une maison d’édition à part entière.
L’effervescence littéraire et intellectuelle du demi-siècle ne perdant rien de sa vigueur, des auteurs tels François Mauriac et Henry de Montherlant collaborent à la revue, tandis que Paul Morand livre son Journal d’un attaché d’ambassade et Jean Giono Un roi sans divertissement. Au fil des années cinquante, une génération d’écrivains turbulents fait son apparition. Parmi eux, Antoine Blondin, Michel Déon, Jacques Laurent, Roger Nimier, tous amis de Roland Laudenbach, que Bernard Frank réunira — un peu rapidement — sous le nom de « hussards ».
Au cœur de cette époque, La Table Ronde publie des romans drôles et mélancoliques, sensibles et délicats.
L’éclosion d’écrivains comme Alphonse Boudard, Gabriel Matzneff, Frédéric Musso ou encore Eric Neuhoff, offre aux hussards des successeurs pleins de panache. Les années quatre-vingt-dix s’ouvrent sur les disparitions successives de Roland Laudenbach et Antoine Blondin. Avec l’arrivée de Denis Tillinac à la tête de La Table Ronde en 1990, le catalogue accueille Jean-Paul Kauffmann, Frédéric Fajardie, Yves Charnet, Jean-Claude Pirotte, Xavier Patier, le poète William Cliff ou plus récemment Michel Monnereau. En 1997, La Table Ronde reprend la collection Quai Voltaire, pour la dédier à la littérature étrangère, en publiant, entre autres, Alice Mc Dermott, Tracy Chevalier, et Richard Russo. Dirigées aujourd’hui par Alice Déon, Les Éditions de La Table Ronde continuent de réunir des auteurs restés fidèles à la liberté de ton de leurs fondateurs.
Le Labyrinthe de Théia
Isabelle Sauvage
Au départ, deux éditeurs, deux personnalités : Isabelle Sauvage et Alain Rebours, pour s’aider, se contredire, se compléter et s’enrichir… quatre petites mains pour le reste. Mais, jamais deux sans trois ?
Au 1er mars, Sarah Clément nous a rejoints, et comme deux plus un(e) égale trois, et que deux + deux + deux font six… petites mains…
Donc : Isabelle Sauvage : maîtrise d’histoire de l’art (médiévale), puis éditrice/relectrice en free-lance pour de nombreuses maisons d’édition (principalement de livres d’art ou catalogues d’expos, notamment pour le Jeu de Paume)… la typographie au plomb mobile apprise sur le tas dans un atelier de typographe-imprimeur (René Jeanne), puis un autre (Michael Caine), et c’est le premier livre d’artiste(s), puis l’achat de matériel typo, et la joie de retrouver et l’art et les mots, et la tête dans les doigts. Alain Rebours : un CAP de typographe tôt, très tôt, graphiste au fur et à mesure des années… métier qu’il transmet un temps à l’école Estienne…
Tardivement, un DEA de Lettres sur René Char, puis chargé de cours à l’université Paris VII… aujourd’hui éditeur et psychanalyste. Sarah Clément : longtemps assistante d’édition au Jeu de Paume, éditrice/relectrice en free-lance pour de nombreuses maisons d’édition (livres d’art ou catalogues d’expos)…
A fondé la librairie Interlignes à Limours (Essonne) qu’elle a tenue pendant 11 ans avant de s’installer en Bretagne, où commence sa nouvelle vie.