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Alire
Prairial
Prairial est une maison d’édition lancée en 2014, qui souhaite faire redécouvrir des textes rares sous une forme à la fois simple et soignée.
Prairial est aussi le neuvième mois du calendrier républicain – soit la période allant du 20 mai au 18 juin dans le ci-devant calendrier grégorien.
Il nous plait de remettre en usage ce calendrier utopique, qui voulait marquer le début d’une nouvelle ère, mais n’aura finalement servi que douze petites années, de 1793 à 1805. Ce calendrier régi par la froide raison (12 mois de 30 jours, plus quelques sans-culottides pour faire bonne mesure), mais dont la nomenclature a été imaginée par un poète au nom délicieux, l’immortel auteur de « Il pleut, il pleut, bergère », Fabre d’Églantine (à tes mânes, salut !). Un calendrier absurde, en somme, qui croyait pouvoir changer le monde. Comme les livres que nous rééditons.
Car prairial, s’il est bien le joli mois où les fleurs volent au vent, est aussi un mois de luttes – et de rêves démesurés : c’est le 20 prairial an II qu’a lieu la fête de l’Être suprême, rien de moins que la tentative révolutionnaire d’instaurer une nouvelle religion ; c’est le 1er prairial an III que le peuple parisien se soulève pour reprendre un pouvoir qu’on lui a volé. Semblablement nous voulons que Prairial, la maison d’édition, soit celle des délirants, des révoltés et des prophètes.
FYP éditions
Denoël
Poétisthme
Les Éditions POÉTISTHME proposent des écrits transversaux que l’on ne peut apprécier sans faire un pas de côté – des vies latérales qui se sont refusées au littéral. Nous assumons une littérature qui se dérobe au couperet de la verticalité et à la sécheresse de l’orthodoxie. Nous revendiquons une littérature horizontale, transnationale – une littérature qui est le carrefour où se rencontrent les langages pour donner forme et visibilité au dialogue entre des voix différentes. Nous prenons donc le parti de faire face aux tensions dans le rapport à la langue pour questionner la dimension linguistique de la condition humaine – car la Parole, qu’on la méprise, la manipule ou la révère, est le point nodal de notre existence commune.
LE PARTI-PRIS DE LA POÉSIE
Si nous mettons en partage des écrits – des fragments – des fulgurances à caractère poétique, c’est parce que nous croyons qu’ils sont le lieu-dit où se manifeste le plus clairement que la langue – la culture – l’identité, ne sont pas une totalité close ou un tout figé, mais bien le fruit d’un engagement, d’un geste performatif allant de Soi vers l’Autre. La poésie se confronte aux certitudes – démantèle le cadre identitaire – met en branle l’autorité illusoire, notamment celle des frontières en le Je et le Nous : deux sujets qui s’interrogent mutuellement dans le poème.
Pour Nous, éditer de la poésie, c’est revendiquer une manière de prêter attention au langage en décalage avec les usages. Non pas pour sombrer dans le particularisme ou dans un discours intellectuel nombriliste, mais pour tenter de recréer du commun sans méconnaître les identités ou, dit autrement, de permettre aux identités de s’inscrire dans le langage commun. Ce mouvement est à nos yeux celui du langage poétique.
NOS COLLECTIONS
FEU DE BRANDES : voix-brûlots – compositions au bord du poétique – paroles houleuses & émotions cahot-iques – textes qui se tissent sur la brèche – mailles obliques – scories & mété-or-es – secousses s-isthm-iques où confluent nos passions atomiques.
« Les abrutis ne voient le beau que dans les belles choses », Arthur Cravan, Maintenant (1912).
CONFLUENCES : voix enlacées non corsetées – mots choraux dont l’arborescence donne naissance à des mots-coraux – récifs où l’on s’échoue & se retrouve – paroles qui se répondent dans le désert des siècles – par-delà l’écart incommensurable une langue de terre qui joint lettre à l’être.
« Les évènements m’ennuient. Les évènements sont l’écume des choses. C’est la mer qui m’intéresse. C’est dans la mer que l’on pêche ; c’est sur elle que l’on navigue ; c’est en elle que l’on plonge… », Paul Valéry.
CIRCUMNAVIGATION : « L’errance est vocation », disait Glissant. Pour nous, elle sera raison : raison d’éditer, de chercher dans l’ailleurs – d’un îlot, d’une nation – des voix qui ouvrent des voies pour penser l’écart entre le proche et le loin – cet entre-deux que nous nommons isthme. À travers l’errance, nous voulons quitter l’exil intérieur auquel nous condamnent les racines langagières : nous voilà partis à la quête d’un verbe qui n’existe qu’autre part...
Murmure (Le)
Cap de l’Étang éditions