Aedam Musicae: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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propositions@musicae.frMaisons d'éditions similaires :
Hazan
Cabédita
Don Quichotte
Impressions nouvelles (Les)
Fondées en 1985 et riches d’un catalogue de près de 350 titres, les Impressions Nouvelles sont une maison d’édition indépendante et généraliste, ouverte à tous les médias qui façonnent la vie contemporaine.
L’ambition des Impressions Nouvelles est au moins double.
D’une part, la maison publie des textes de création et de réflexion littéraires : roman, poésie, reportage, autobiographie, mais aussi essai littéraire. Les fictions et les analyses publiées par les Impressions Nouvelles allient souci du style et enjeux sociaux, culturels, politiques ou philosophiques. Le parti pris des mots y va de pair avec le compte tenu des choses.
D’autre part, les Impressions Nouvelles accordent une large place aux images et éditent des essais sur les grands médias de la culture moderne : bande dessinée, cinéma, photographie, télévision, mais aussi architecture, philosophie, sociologie, esthétique. Dans tous ces domaines, les Impressions Nouvelles publient des livres qui allient lisibilité, goût de l’engagement et désir de vulgarisation intelligente.
Par l’attention accordée à la qualité du livre comme à celle de l’écriture et des images, par la volonté d’intervenir dans les débats les plus actuels, mais aussi d’accompagner des auteurs dans la durée et de construire une politique à long terme, les Impressions Nouvelles s’imposent comme un acteur important de l’édition en langue française.
Beaux Arts éditions
Baker Street (Éditions)
C’est fin 2007 que les Éditions Baker Street furent créées par Cynthia Liebow, américaine vivant à Paris, après avoir été vingt ans éditrice de littérature étrangère dans plusieurs grandes maisons d’édition parisiennes.
Avec la littérature anglo-saxonne pour axe principal, les Éditions Baker Street publient également des textes français. La production est composée de 2/3 de fiction et d’1/3 de documents, ainsi que de quelques livres illustrés.
Les Éditions Baker Street ont pour vocation de favoriser les échanges entre l’édition et tous les autres arts, en permettant aux livres de trouver des déclinaisons ailleurs, à travers expositions, débats, lectures, tables rondes, pièces de théâtre ou encore vente des droits au cinéma et à la télévision, afin de prolonger et diversifier la vie du livre.
Outre la qualité de ses textes – une exigence essentielle –, son ambition est de publier des livres qui comptent, susceptibles de faire bouger les choses. Les événements organisés autour de chaque titre ont pour but de donner aux livres une place et même, parfois, un rôle clef dans la vie de la cité.
Zellige Editions
Fario (Éditions)
Depuis l’automne 2009, les éditions fario publient, aux côtés de la revue, des livres. Une première collection a vu le jour, inaugurée par un texte de Gustave Roud, Le repos du cavalier, suivi d’une étude de James Sacré, Aimé parmi les autres. Dans le sillage d’une revue, cette polyphonie fragile et éphémère, des lignes de force se dessinent, des corps de textes s’assemblent, des dilections naissent ou s’affirment. Gustave Roud est présent depuis le début.
Cette présence presque diaphane, son attachement à un lieu en même temps que ses errances de marcheur nocturne, son extrême attention au monde qui l’entoure tout autant qu’à l’invisible, l’éclat voilé et mélancolique de ses proses, l’accord tacite que celles-ci entretiennent avec le souvenir des morts, tout cela nous accompagne. Nous avons souhaité que le premier ouvrage publié autour de la revue soit de sa main. Notre catalogue s’est depuis élargi.
Pas davantage que les sommaires de la revue, il ne saurait être réduit à un quelconque programme ; il est ouvert à la littérature sous toutes ses formes, à la philosophie, à la critique sociale, aux arts. Les textes que nous publions reconnaissent leur dette envers la langue et envers le monde, ils sont d’un temps, d’un lieu, ils tentent, par des chemins divers de donner sens aux convulsions démentes de l’époque.
Notre attention à la matière du livre, à son enveloppe d’encre et de papier, vient affirmer que la lecture est une expérience entière, qu’elle implique ou entraîne une présence qui n’est pas que d’esprit, et qu’elle ne se consume pas dans la mouvante brillance des écrans.