Aedam Musicae: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Contact
Site Web
https://www.musicae.fr/Adresse
21, rue Alexandre Fournier, 53200 Château-Gontier sur Mayenne FranceSite Web
https://www.musicae.fr/Adresse
21, rue Alexandre Fournier, 53200 Château-Gontier sur Mayenne FranceDépôt de manuscrits
Par internet:
propositions@musicae.frMaisons d'éditions similaires :
Contrejour
De 1975 à 1995, en deux décennies, les éditions Contrejour fondées par Claude Nori marquèrent la photographie Française et européenne en contribuant à faire émerger une nouvelle génération de photographes, à redonner une place privilégiée aux maîtres oubliés et à ouvrir enfin une réflexion critique sur la photographie conçue à la fois comme une certaine philosophie et un art ouvert aux autres moyens d’expressions.
Soutenues par une galerie à Montparnasse et un journal trimestriel militant, les éditions Contrejour à travers de nombreuses collections utilisèrent l’espace créatif du livre comme un langage autonome afin d’affirmer la prédominance de l’auteur par la mise en pages, l’impression et l’apport de textes autobiographiques.
Dans un environnement éditorial et institutionnel particulièrement désertique, Contrejour mit en place une politique efficace pour assurer la promotion des photographes à travers des expositions et des manifestations afin d’assurer le succès commercial de ses livres qui touchèrent un public toujours plus nombreux de passionnés.
Outre une série de livres de poche proposés à un prix accessible lancée dès 1975, Contrejour publia les premières monographies de Jeanloup Sieff, Robert Doisneau, Willy Ronis, Sabine Weiss, Sebastião Salgado, Pierre et Gilles, Claude Dityvon, Bernard Plossu, ou encore Gilles Peress.
Suivirent des essais historiques et critiques avec des ouvrages sur La photographie humaniste 1930-1960 –histoire d’un mouvement en France– par Marie de Thézy, La photographie créative de Jean Claude Lemagny, une Histoire de la photographie Française de Claude Nori ainsi que Photo Actuelle en France qui réunit en 1976, 1978 et 1980 les photographes émergents de la décennie.
Avec plus de 170 livres publiés et les revues Les Cahiers de la Photographie et Camera International, Contrejour joua le rôle de véritable forum auprès des jeunes auteurs et contribua pleinement à l’éclosion de la photographie française telle que nous la connaissons aujourd’hui.
En 2011, les nouvelles éditions Contrejour reparaissaient dans un paysage éditorial totalement différent, concurrentiel, international où l’image est largement institutionnalisée et médiatisée à travers le marché de l’art, les expositions et les festivals.
Dirigées depuis Biarritz par Isabelle et Claude Nori, elles s’attachent à offrir un environnement privilégié et un cadre créatif aux auteurs, à leur proposer des outils techniques et d’impressions de grande qualité.
Galilée
Les Éditions Galilée naissent en 1971. Dès les premières parutions, en 1973, le ton est donné, l’orientation est prise. 1973, c’est l’année de Critique du capitalisme quotidien de Michel Bosquet ; Les Figures juives de Marx d’Elisabeth de Fontenay ; Le Discours impur de Jean-Noël Vuarnet ; Camera obscura – de l’idéologie de Sarah Kofman ; Le Titre de la lettre, de Jean-Luc Nancy et Philippe Lacoue-Labarthe ; L’Archéologie du frivole de Jacques Derrida, préfaçant l’Essai sur l’origine des connaissances humaines de Condillac. Moins d’une année plus tard, Jacques Derrida, Jean-Luc Nancy, Philippe Lacoue-Labarthe et Sarah Kofman créent la collection « La philosophie en effet » que Jacques Derrida inaugure par la publication de Glas, aventure éditoriale aussi bien que graphique, littéraire et philosophique : mise en effet du questionnement philosophique, non pas pour lui-même, mais tel qu’au monde et tel qu’en l’autre, la pensée le met au travail. C’est dans cette même collection que Sarah Kofman fera paraître peu après Quatre romans analytiques (1974).
Dans le même moment, sur les mêmes modes, tandis que la maison édite les revues Digraph et Chorus, se déploie le questionnement esthétique avec la parution de Marcel Duchamp ou le grand fictif de Jean Clair (1975) ; L’Invention du corps chrétien de Jean-Louis Schefer ; suivi par Détruire la peinture de Louis Marin et Les Transformateurs Duchamp de Jean-François Lyotard. Ce dernier fait ainsi son entrée dans la maison d’édition qui, jusqu’à sa disparition en 1998, publiera l’essentiel de son œuvre.
La rencontre avec les artistes, le travail dans et par le livre avec les créateurs, axe essentiel de la politique éditoriale, seront inaugurés par Wifredo Lam avec l’ouvrage intitulé sobrement Dessins dont il fera la couverture (1975).
Le champ littéraire, essentiel lui aussi, est ouvert par Georges Perec avec son si fameux Espèces d’espaces (1974) bientôt suivi d’Alphabets, illustré de dessins de Dado (1976).
Au croisement de l’art et de la littérature, c’est l’édition de Farce de Jean-Marie Touratier avec une couverture originale de Christian Boltanski et un tiré à part où une fenêtre ouverture à même le livre insère un sucre taillé par Boltanski dans une cage grillagée (1979).
À la fin des années 1970, de nouveaux auteurs rejoignent la maison d’édition à laquelle ils vont donner année après année la part la plus importante de leur œuvre : André Gorz, Fondements pour une morale, Paul Virilio, Vitesse et politique Jean Baudrillard, Oublier Foucault (1977), suivi de De la séduction (1980) ;
En près de cinquante ans, ces orientations n’ont cessé de se renforcer avec des artistes tels que Valerio Adami, Pierre Alechinsky, Karel Appel, Paul Jenkins, François Rouan, Simon Hantaï, Antoni Tàpies, Vladimir Velickovic, Ernest Pignon-Ernest, Raymond Mason, Philippe Cognée, Gérard Titus-Carmel… ; et des auteurs comme Christine Buci-Glucksmann, Jacques Rancière, Étienne Balibar, Hélène Cixous, Yves Bonnefoy, Michel Onfray, Pascal Quignard, Bernard Stiegler, Philippe Bonnefis…
Aux interrogations de la pensée s’associent les questions du texte, de la langue, des pratiques de l’art, la permanente recherche de l’acuité pour ce qui met les enjeux de l’homme et du monde en question, ou comme l’aurait dit Derrida : en effets.
Cerf
Table Ronde (La)
L’idée première est de créer une revue. Conviés autour de la table, Thierry Maulnier, André Fraigneau et Jean Cocteau participent au projet. André Fraigneau suggère un titre énigmatique : La Couronne fermée. Jean Cocteau lui préfère La Table Ronde, qui correspond davantage à l’esprit du groupe. François Salvat dessine les maquettes et le premier numéro des « Cahiers de La Table Ronde » voit le jour fin 1944. Jean Anouilh confie alors sa pièce Antigone à Roland Laudenbach, sans limitation de tirage. Ce sera le premier livre en édition courante, celui qui fait de La Table Ronde une maison d’édition à part entière.
L’effervescence littéraire et intellectuelle du demi-siècle ne perdant rien de sa vigueur, des auteurs tels François Mauriac et Henry de Montherlant collaborent à la revue, tandis que Paul Morand livre son Journal d’un attaché d’ambassade et Jean Giono Un roi sans divertissement. Au fil des années cinquante, une génération d’écrivains turbulents fait son apparition. Parmi eux, Antoine Blondin, Michel Déon, Jacques Laurent, Roger Nimier, tous amis de Roland Laudenbach, que Bernard Frank réunira — un peu rapidement — sous le nom de « hussards ».
Au cœur de cette époque, La Table Ronde publie des romans drôles et mélancoliques, sensibles et délicats.
L’éclosion d’écrivains comme Alphonse Boudard, Gabriel Matzneff, Frédéric Musso ou encore Eric Neuhoff, offre aux hussards des successeurs pleins de panache. Les années quatre-vingt-dix s’ouvrent sur les disparitions successives de Roland Laudenbach et Antoine Blondin. Avec l’arrivée de Denis Tillinac à la tête de La Table Ronde en 1990, le catalogue accueille Jean-Paul Kauffmann, Frédéric Fajardie, Yves Charnet, Jean-Claude Pirotte, Xavier Patier, le poète William Cliff ou plus récemment Michel Monnereau. En 1997, La Table Ronde reprend la collection Quai Voltaire, pour la dédier à la littérature étrangère, en publiant, entre autres, Alice Mc Dermott, Tracy Chevalier, et Richard Russo. Dirigées aujourd’hui par Alice Déon, Les Éditions de La Table Ronde continuent de réunir des auteurs restés fidèles à la liberté de ton de leurs fondateurs.
Stock
Chêne (Editions du)
Gaussen (Editions)
Privat
Créées à Toulouse en 1839, les Éditions Privat restent une des rares maisons d’édition françaises implantée en région à rayonnement national.
Situées en plein coeur du centre historique de Toulouse au 10 rue des Arts, elles sont aujourd'hui complètement distinctes de la librairie Privat située 14 rue des arts à Toulouse.
Croisée des chemins (La)
Y rêver, y rire et y pleurer, garder le souci de l’âme et découvrir l’autre.
C’est ce que nous vous proposons.