APComm: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Nous avons tous appris à parler, malheureusement, nous n’avons pas tous appris à communiquer. Communiquer est beaucoup plus complexe, mais pourtant nécessaire.
Ayant constaté les difficultés de communication dans les familles, le Dr Sophie Benkemoun, médecin généraliste, a fondé en 2006 l’Atelier des Parents. Elle a tout d’abord œuvré pour la diffusion du matériel pédagogique Faber et Mazlish en France. Elle est rejointe en 2011 par Nadège LARCHER, psychologue spécialisée dans le développement de l'enfant et de l'adolescent.
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56 Avenue Beaurepaire, 94100 Saint-Maur-des-Fossés FranceMaisons d'éditions similaires :
Jourdan (Editions)
Le Temps Présent
1937 – 1940 : fondation
Août 1937 : le journal dominicain Sept, créé en 1934, dont le sous-titre est « l’hebdomadaire du temps présent », est condamné par le Vatican suite à la parution de deux articles : un entretien avec Léon Blum et une critique de Franco.
En réaction à cette interdiction, François MAURIAC et Jacques MARITAIN obtiennent de l’épiscopat français l’autorisation de faire paraître un hebdomadaire dirigé par des laïcs : Temps Présent.
5 novembre 1937 : premier numéro de Temps Présent, dont le rédacteur en chef est Stanislas Fumet.
On trouvera, parmi les signatures importantes :
Hubert BEUVE-MÉRY, le père Marie-Dominique CHENU, DANIEL-ROPS, Joseph FOLLIET, Stanislas FUMET, Georges HOURDIN, Gabriel MARCEL, Jacques MARITAIN, Louis MASSIGNON, René SCHWOB
François MAURIAC publie chaque semaine un « billet » en première page.
Si la ligne éditoriale est hostile au communisme et à la Russie soviétique, la dénonciation du nazisme et du fascisme est plus vigoureuse encore. Dans son autobiographie Histoire de Dieu dans ma vie, Stanislas FUMET écrit à ce propos :
« Personnellement, je n’assimilais pas l’idéal communiste à l’idéal fasciste, et surtout à l’idéal national-socialiste, pour ce que, dans le communisme, s’il se trompe sur la notion de l’âme humaine qu’il reste incapable de connaître, je vois un but à atteindre, qui est un idéal de justice, tandis que dans les totalitarismes nazi et fasciste il ne s’agit que d’un idéal d’injustice. »
Le tirage moyen du journal est de 30 000 exemplaires.
1940 – 1944 : Résistance
12 Avril 1940 : publication d’un article du colonel Charles DE GAULLE, « La guerre des engins », où ce dernier expose ses conceptions militaires, alors rejetées par l’état-major.
De GAULLE faisait partie des « Amis de Temps Présent », une association animée entre autres par Maurice SCHUMANN, qui soutient et diffuse le journal, et constituera un vivier de recrues pour la Résistance.
14 juin 1940 : le journal cesse de paraître.
20 décembre 1940 : À Lyon, encouragé, entre autres, par le cardinal GERLIER et les Jésuites de Fourvière, Stanislas FUMET fait renaître Temps Présent sous le titre Temps Nouveau, définitivement interdit en août 1941. Les locaux, rue de Constantine, sont un carrefour de la Résistance. Stanislas FUMET y organise notamment la rencontre entre Henri FRENAY, chef du réseau Combat, et Pierre CHAILLET : le premier aidera le second à fonder la revue clandestine des Cahiers du Témoignage Chrétien.
À Paris, Ella SAUVAGEOT, administratrice du journal depuis sa création, s’efforce de faire survivre la société Temps Présent et ses locaux du 68 rue de Babylone, dans le 7e arrondissement. Ces derniers accueillent des réunions clandestines du Conseil National de la Résistance.
1944 – 1947 : croissance et divisions
25 août 1944 : le journal paraît à nouveau.
Le tirage monte à 60 000 exemplaires en 1944 et jusqu’à 110 000 exemplaires en 1945.
Départ de Jacques MARITAIN, nommé ambassadeur de France auprès du Saint-Siège, et de François MAURIAC, passé au Figaro. Arrivée d’Hubert BEUVE-MÉRY, nommé rédacteur en chef, avant de fonder Le Monde. Il continuera à publier une chronique de politique extérieure sous son pseudonyme Sirius.
En 1945, Temps Présent lance l’hebdomadaire la Vie Catholique Illustrée (devenu la Vie) dont il confie la direction à deux journalistes membres de sa rédaction depuis 1937, Georges HOURDIN et Joseph FOLLIET.
La ligne éditoriale se veut alors indépendante de l’Église catholique, suite à l’attitude des évêques français pendant l’Occupation. Elle prône un socialisme humaniste et le maintien de l’unité réalisée dans la Résistance, notamment avec les communistes. Mais la rédaction, partagée entre démocrates chrétiens, gaullistes et progressistes, finit par se diviser autour de cette question. C’est sans doute une des raisons de l’arrêt de sa parution.
16 mai 1947 : dernier numéro de l’hebdomadaire Temps Présent.
Depuis 1947 : mouvements et édition
1950 : le bimensuel la Quinzaine, initié par Ella SAUVAGEOT et dirigé par Jacques CHATAGNER, succède à Temps Présent.
1955 : la Quinzaine est condamnée par l’Église pour son soutien aux prêtres ouvriers. Elle décide de cesser la parution.
1955 – 1992 : plusieurs titres succèdent à la Quinzaine : le Bulletin, Lettre, Il est une foi.
Dans les années 1990, le siège de Temps Présent, demeuré au 68 rue de Babylone, accueille des mouvements en désaccord avec le repli identitaire de l’Église catholique qui a suivi les espoirs nés avec Vatican II : Nous sommes aussi l’Église (NSAE), Droits et liberté dans les Églises (DLE), Femmes et hommes en Église (FHE)… Des mouvements qui sont nés ou qui ont pris de l’ampleur après que l’évêque d’Évreux, Jacques GAILLOT, a été déchargé de ses fonctions en 1995.
Février 1999 : sous l’impulsion de Jacques CHATAGNER, création de la Fédération Réseaux du Parvis qui rassemble quatorze de ces mouvements et leurs déclinaisons locales (dont David et Jonathan, Plein Jour, Évreux sans frontières…), et co-édition, avec Temps Présent, de la revue les Réseaux des Parvis.
2009 : Temps Présent se lance dans l’édition de livres, au croisement des questions religieuses, politiques et sociales.
Xavier Barral
InterEditions
BPI du Centre Pompidou
Mon autre France
La maison d’édition Mon autre France® est née en janvier 2020 à Saint-Pierre et Miquelon.
La ligne éditoriale, dédiée à l’Archipel français, explore tous les genres mais un seul lieu : notre pépite située dans la belle région de l'Atlantique Nord, proche des provinces canadiennes de Terre-Neuve-et-Labrador, du Nouveau-Brunswick, des Iles de la Madeleine, de la Nouvelle-Ecosse, du Québec.
Au travers de livres jeunesse, livres de cuisine, mémoires, livres d’Histoire, calendriers, livres de coloriage et tout autre support, nous serons des ambassadeurs de qualité pour notre Archipel.
Vous ne connaissez pas ce coin de France en Atlantique Nord : c’est pour vous !
Vous connaissez ce coin de France en Atlantique Nord : c’est pour vous !
Parfois nous serons sérieux, parfois nous aurons envie de jouer, de rire, parfois nous voudrons en savoir plus sur l'Histoire de l'archipel.
Parfois nous vous inviterons à lire, écrire et imaginer, interpréter les mots de nos auteurs.
Bref, préparez-vous à voyager et à vous rapprocher des habitants d’ici, même si vous êtes (d’)ailleurs.
Ramsay
Éditeur d'ouvrages, essais ou romans, destinés au grand public
Fondée en 1976 par Jean-Pierre Ramsay, la maison a été rachetée en 1988 par un de ses auteurs à succès, Régine Deforges (9 millions d'exemplaires pour les trois tomes de « La bicyclette bleue ». La maison est reprise par Michel Lafon qui publie entre autre les ouvrages de Danièle Mitterrand puis cède la maison à Vilo en 1998.
Depuis plusieurs succès ont été remarqués : « Dites-le à vos enfants », une histoire illustrée de la Shoah, en 2014 « Edgar Faure Secrets d’Etat, secrets de famille » et en 2015 « Village départ - 10 ans de fête et d'émotions » qui traite du Tour de France.
Ramsay dirige aussi une collection de livres sur le cinéma, l'édition du Talmud, des documents politiques, le sport.
En 2015 Ramsay se lance à nouveau dans le roman avec « Le Bosco de Kerpalud » et décide de lancer avec Luc Corlouër la collection 3R Ramsay Romans Réalistes
Table Ronde (La)
L’idée première est de créer une revue. Conviés autour de la table, Thierry Maulnier, André Fraigneau et Jean Cocteau participent au projet. André Fraigneau suggère un titre énigmatique : La Couronne fermée. Jean Cocteau lui préfère La Table Ronde, qui correspond davantage à l’esprit du groupe. François Salvat dessine les maquettes et le premier numéro des « Cahiers de La Table Ronde » voit le jour fin 1944. Jean Anouilh confie alors sa pièce Antigone à Roland Laudenbach, sans limitation de tirage. Ce sera le premier livre en édition courante, celui qui fait de La Table Ronde une maison d’édition à part entière.
L’effervescence littéraire et intellectuelle du demi-siècle ne perdant rien de sa vigueur, des auteurs tels François Mauriac et Henry de Montherlant collaborent à la revue, tandis que Paul Morand livre son Journal d’un attaché d’ambassade et Jean Giono Un roi sans divertissement. Au fil des années cinquante, une génération d’écrivains turbulents fait son apparition. Parmi eux, Antoine Blondin, Michel Déon, Jacques Laurent, Roger Nimier, tous amis de Roland Laudenbach, que Bernard Frank réunira — un peu rapidement — sous le nom de « hussards ».
Au cœur de cette époque, La Table Ronde publie des romans drôles et mélancoliques, sensibles et délicats.
L’éclosion d’écrivains comme Alphonse Boudard, Gabriel Matzneff, Frédéric Musso ou encore Eric Neuhoff, offre aux hussards des successeurs pleins de panache. Les années quatre-vingt-dix s’ouvrent sur les disparitions successives de Roland Laudenbach et Antoine Blondin. Avec l’arrivée de Denis Tillinac à la tête de La Table Ronde en 1990, le catalogue accueille Jean-Paul Kauffmann, Frédéric Fajardie, Yves Charnet, Jean-Claude Pirotte, Xavier Patier, le poète William Cliff ou plus récemment Michel Monnereau. En 1997, La Table Ronde reprend la collection Quai Voltaire, pour la dédier à la littérature étrangère, en publiant, entre autres, Alice Mc Dermott, Tracy Chevalier, et Richard Russo. Dirigées aujourd’hui par Alice Déon, Les Éditions de La Table Ronde continuent de réunir des auteurs restés fidèles à la liberté de ton de leurs fondateurs.
Coëtquen Editions
La maison d'édition a été créée en 2003. Son nom a été choisi après avoir lu un livre sur le corsaire malouin René Duguay-Trouin. Le Coëtquen était l'un de ses bateaux.
Coëtquen se prononce Coëtquène.
La maison d'édition propose un contrat à compte d'éditeur. L'auteur cède les droits à la maison d'édition pour les livres imprimés et numériques. L'auteur touche des droits d'auteur sur les livres vendus et payés. Pour plus d'informations, consultez la page contrat d'édition.