Annuaire d' éditeur / Ars Magna éditions
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Ars Magna éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1996
Fondées en décembre 1996 à Nantes (date à laquelle elles prirent la succession des Éditions Ars), les Éditions Ars Magna sont une structure associative régie par la loi de 1901. Au fil des années, l'équipe qui les anime a construit un catalogue centré sur l'histoire des mouvements d'orientation nationaliste-révolutionnaire et traditionaliste, sur la géopolitique et sur la traduction de textes idéologiques rares inédits dans notre langue, devenant ainsi l'éditeur principal ou unique en français de Georges Valois, Alexandre Douguine, Jean Thiriart, Otto Strasser, etc..

Contact

Téléphone

0240065268

Adresse

BP 60426, 44004 Nantes cedex 1

Dépôt de manuscrits

Par voie postale:

Ars Magna
BP 60426
44004 Nantes cedex 1
France

Maisons d'éditions similaires :

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La Découverte

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1983
160 publiés par an
Fondées en 1983, les Éditions La Découverte ont pris le relais des Éditions François Maspero (elles-mêmes créées en 1959). Éditeur principalement de non-fiction, La Découverte publie des livres pour comprendre, des livres pour agir : dans notre monde bousculé et complexe, saturé d'informations et d'images, notre conviction est que le livre occupe une place essentielle. Qu'il s'agisse de se former professionnellement ou de s'informer pour lutter efficacement contre les scandales, les inégalités et les violences du siècle, l'accès aux travaux et aux réflexions des chercheurs, journalistes ou acteurs de terrain est plus que jamais indispensable. C'est d'abord cette conviction qui nous anime et qui guide nos choix éditoriaux.
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Cairn (Editions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1997
30 publiés par an
Créées en 1997 et installées à Pau (64), les Editions CAIRN publient au rythme d'une trentaine de titres par an, des ouvrages qui portent haut et fort l'Histoire, la Mémoire, la culture et le patrimoine des Pyrénées et du Sud-Ouest.
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Noir Sur Blanc (Les éditions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
320 livres au catalogue dont 22 publiés par an
Les éditions Noir sur Blanc ont été créées en 1987 par Vera et Jan Michalski, couple aux origines suisses, polonaises, russes et autrichiennes. Leur ambition humaniste et littéraire de l'époque : créer des passerelles entre les cultures et les peuples de l'Europe de part et d'autre du rideau de fer. Initialement centrée sur les domaines  polonais et russe, la production de la maison s'est élargie aux pays voisins puis au reste du monde. Passeurs de textes entre le monde francophone et la Pologne, et au-delà, les pays de l'Est européen, Vera et Jan Michalski se sont attachés dès le début à publier en français et en polonais. Cette démarche originale et unique constitue une des caractéristiques de la maison d'édition.
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Métailié

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1979
900 livres au catalogue dont 35 publiés par an
Les éditions Métailié ont été fondées en 1979. Les dix premières années ont été dévolues à la construction des structures d'un catalogue qui, d'abord orienté vers les sciences sociales avec les collections "Traversées", s'est tourné progressivement vers la littérature étrangère avec, pour commencer, le Brésil et le Portugal. Aujourd'hui, le catalogue comporte une bibliothèque allemande, écossaise, anglo-saxonne, des romans noirs italiens ou islandais. Au terme de ces années d'apprentissage,  la publication d'un inconnu dont le bouche-à-oreille fera un best-seller ' Luis Sepúlveda,
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Delga

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2004
60 livres au catalogue dont
Les Editions Delga, fondées en 2004, sont une maison d’édition spécialisée en sciences humaines, engagée dans la défense du service public culturel, la recherche marxiste et l’histoire du mouvement communiste international.
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Albin Michel

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1900
6000 livres au catalogue dont 500 publiés par an
Fondée en 1900, Albin Michel est une des rares maisons d'édition françaises encore indépendante.  Au fil des années, le groupe familial Albin Michel s'est étoffé avec l'acquisition de Magnard/Vuibert (dont Delagrave, Casteilla et Librairie des écoles), 40% de LGF/Le Livre de poche (contrôlé par Hachette) et le diffuseur-distributeur Dilisco pour constituer l'un des dix principaux acteurs du marché de l'édition française avec environ 500 salariés. La maison compte à ce jour 6 000 titres à son catalogue et publie 500 nouveautés  par an. Abondamment présentes  à chaque rentrée littéraire, les éditions Albin Michel font confiance aussi bien à des auteurs débutants que confirmés.
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Tallandier

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1965
590 livres au catalogue dont 90 publiés par an
Les éditions Tallandier publient de l'histoire sous toutes ses formes. Biographies, préhistoire, antiquité, Moyen Âge, Renaissance et Temps Moderne, les clefs du 20
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Digobar Editions

Maison d'édition à compte d'éditeur
Quelle ligne éditoriale ? Digobar éditions c’est une ligne éditoriale en pointillés. Pas de dogmatisme, pas d’a priori, l’édition c’est avant tout une aventure humaine entre vous et nous. Entre le sujet que vous traitez et l’intérêt que nous y portons. Tous nos livres sont disponibles sur les sites marchands d’Internet et sur commande chez tous les libraires de France. Nous souhaitons répondre à ceux qui cherchent à faire éditer des travaux pointus, des publications à diffusion restreinte ou encore des projets personnels (familiaux, associatifs, etc.) Digobar éditions s’intéresse aux projets de « niches ». Fabriquer un livre est – relativement – simple. Le faire connaître et le vendre est beaucoup plus difficile. C’est pourquoi nous limitons notre production pour passer 20% de notre temps à sa fabrication et 80% à sa promotion.
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Casa de Velazquez

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1928
15 publiés par an

La Casa de Velázquez est une institution française fondée en 1920 qui vise à promouvoir la coopération et les échanges artistiques, culturels et universitaires au niveau bilatéral et international.

Inauguré en 1928 au cœur de la Cité Universitaire de Madrid, le bâtiment a été en grande partie détruit au début de la bataille de Madrid, en 1936. Il rouvre ses portes sous sa forme actuelle en mai 1959.

Aujourd'hui, la Casa de Velázquez opère sous la tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation (MESRI) et fait partie du réseau des cinq Écoles françaises à l'étranger.

Depuis sa création, la Casa de Velázquez a développé ses activités autour d'un modèle unique, en soutenant à la fois la création artistique contemporaine et la recherche scientifique dans le domaine des sciences humaines et sociales.

Elle mène à bien cette double mission grâce à l'action conjointe de ses deux composantes : l'Académie de France à Madrid (section artistique) et l'École des hautes études hispaniques et ibériques - EHEHI(section scientifique).
 

- L'Académie de France à Madrid coordonne les actions à destination des artistes, toutes disciplines confondues : architecture, arts plastiques, cinéma, composition musicale, photographie, vidéo... Lieu de création et de recherche autant que de vie, elle permet aux artistes – émergents ou confirmés – de consolider leurs orientations de travail et d'expérimenter de nouvelles manières de travailler. L'AFM est chargée de mettre en œuvre la programmation artistique de la Casa de Velázquez, en collaborant notamment avec de nombreuses entités locales et internationales.  

- L'École des hautes études hispaniques et ibériques - EHEHI est un lieu de formation pour jeunes chercheurs et un centre de recherche français dans le domaine des sciences humaines et sociales. Sa politique scientifique, axée sur la péninsule Ibérique, le Maghreb et le monde atlantique, se traduit par une vingtaine de projets de recherche pluriannuels et une dizaine de projets archéologiques. En outre, avec l'Université Autonome de Madrid, elle coordonne depuis 2016 les activités du MIAS - Madrid Institute for advanced Study.


Au total, entre ses deux sections, la Casa de Velázquez accueille et accompagne chaque année une centaine de chercheurs et d’artistes à travers un large programme de résidences, pour des périodes allant de quelques mois à un an. En outre, et afin de promouvoir le travail effectué au sein de l'institution, de nombreux événements ouverts au public sont proposés tout au long de l’année : expositions, projections, concerts, rencontres, colloques...

La bibliothèque – environ 150 000 livres et plus de 1 800 revues – est ouverte, après inscription gratuite, à toute personne effectuant des travaux de recherche à partir de la première année de Master.

La Casa de Velázquez dispose également d'un service éditorial qui publie une quinzaine de livres par an, imprimés et numériques – dont de nombreux titres en libre accès – ainsi qu’une revue semestrielle, les Mélanges de la Casa de Velázquez.

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