Bastian: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
A l’origine, spécialisées dans des ouvrages biographiques, les éditions Bastian développent aujourd’hui une ligne éditoriale généraliste. Des ouvrages mettant en avant les valeurs humaines, des livres avec un ancrage dans le réel. Certains sujets sont traités sous l’angle de l’Histoire pour mieux expliquer notre présent.
Biographies historiques (personnages, événements ou périodes), romans (comédies, policiers, historiques), documents d’actualité (témoignages, société, bien-être, géopolitique), ouvrages sur les arts (musique, patrimoine architectural, art pictural), de même qu’albums jeunesse entrent dans notre ligne éditoriale.
Même si nous accordons une place privilégiée aux histoires ayant un pied dans la réalité, nous sommes également attachés aux textes qui font rêver. Car dans la vie, le rêve joue une partition non négligeable. Et le livre à notre sens doit contribuer à l’imaginaire, à l’ouverture vers l’Autre, à la réflexion aussi.
Nos textes sont travaillés, ciselés, les illustrations allient esthétisme et pertinence, avec un objectif évident : produire des livres de qualité et donner du plaisir à vous, lecteurs, celui de vous plonger dans des histoires qui ont du sens, qui font rêver ou qui tout simplement vous font découvrir de nouveaux auteurs.
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0603928082Adresse
9 domaine Saint Ludan, 67150 Hipsheim FranceSite Web
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9 domaine Saint Ludan, 67150 Hipsheim FranceDépôt de manuscrits
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Favre
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Galilée
Les Éditions Galilée naissent en 1971. Dès les premières parutions, en 1973, le ton est donné, l’orientation est prise. 1973, c’est l’année de Critique du capitalisme quotidien de Michel Bosquet ; Les Figures juives de Marx d’Elisabeth de Fontenay ; Le Discours impur de Jean-Noël Vuarnet ; Camera obscura – de l’idéologie de Sarah Kofman ; Le Titre de la lettre, de Jean-Luc Nancy et Philippe Lacoue-Labarthe ; L’Archéologie du frivole de Jacques Derrida, préfaçant l’Essai sur l’origine des connaissances humaines de Condillac. Moins d’une année plus tard, Jacques Derrida, Jean-Luc Nancy, Philippe Lacoue-Labarthe et Sarah Kofman créent la collection « La philosophie en effet » que Jacques Derrida inaugure par la publication de Glas, aventure éditoriale aussi bien que graphique, littéraire et philosophique : mise en effet du questionnement philosophique, non pas pour lui-même, mais tel qu’au monde et tel qu’en l’autre, la pensée le met au travail. C’est dans cette même collection que Sarah Kofman fera paraître peu après Quatre romans analytiques (1974).
Dans le même moment, sur les mêmes modes, tandis que la maison édite les revues Digraph et Chorus, se déploie le questionnement esthétique avec la parution de Marcel Duchamp ou le grand fictif de Jean Clair (1975) ; L’Invention du corps chrétien de Jean-Louis Schefer ; suivi par Détruire la peinture de Louis Marin et Les Transformateurs Duchamp de Jean-François Lyotard. Ce dernier fait ainsi son entrée dans la maison d’édition qui, jusqu’à sa disparition en 1998, publiera l’essentiel de son œuvre.
La rencontre avec les artistes, le travail dans et par le livre avec les créateurs, axe essentiel de la politique éditoriale, seront inaugurés par Wifredo Lam avec l’ouvrage intitulé sobrement Dessins dont il fera la couverture (1975).
Le champ littéraire, essentiel lui aussi, est ouvert par Georges Perec avec son si fameux Espèces d’espaces (1974) bientôt suivi d’Alphabets, illustré de dessins de Dado (1976).
Au croisement de l’art et de la littérature, c’est l’édition de Farce de Jean-Marie Touratier avec une couverture originale de Christian Boltanski et un tiré à part où une fenêtre ouverture à même le livre insère un sucre taillé par Boltanski dans une cage grillagée (1979).
À la fin des années 1970, de nouveaux auteurs rejoignent la maison d’édition à laquelle ils vont donner année après année la part la plus importante de leur œuvre : André Gorz, Fondements pour une morale, Paul Virilio, Vitesse et politique Jean Baudrillard, Oublier Foucault (1977), suivi de De la séduction (1980) ;
En près de cinquante ans, ces orientations n’ont cessé de se renforcer avec des artistes tels que Valerio Adami, Pierre Alechinsky, Karel Appel, Paul Jenkins, François Rouan, Simon Hantaï, Antoni Tàpies, Vladimir Velickovic, Ernest Pignon-Ernest, Raymond Mason, Philippe Cognée, Gérard Titus-Carmel… ; et des auteurs comme Christine Buci-Glucksmann, Jacques Rancière, Étienne Balibar, Hélène Cixous, Yves Bonnefoy, Michel Onfray, Pascal Quignard, Bernard Stiegler, Philippe Bonnefis…
Aux interrogations de la pensée s’associent les questions du texte, de la langue, des pratiques de l’art, la permanente recherche de l’acuité pour ce qui met les enjeux de l’homme et du monde en question, ou comme l’aurait dit Derrida : en effets.
Delpire Editeur
Depuis 1951, Delpire Éditeur publie des ouvrages de grande qualité consacrés essentiellement à la photographie.
Après avoir, de manière pionnière, publié les œuvres de William Klein, Henri Cartier-Bresson, Marc Riboud ou Robert Frank, la maison a creusé le sillon d’artistes devenus incontournables comme Josef Koudelka, Sarah Moon ou Michel Vanden Eeckhoudt, et plus récemment Daido Moriyama.
Aujourd’hui riche de plus de soixante titres, l’équipe continue de mettre son exigence, son savoir-faire et sa passion au service des artistes. Chaque livre est un objet unique, conçu pour faire rayonner une œuvre et l’inscrire dans nos vies. Au-delà des sensibilités, des regards, des écritures et, sans exclusion de styles ou de genres, l’ambition de Delpire Éditeur demeure inchangée : créer des livres comme autant d’ouvertures sur le monde qui nous entoure comme sur notre monde intérieur. Depuis 2012, Delpire Éditeur a rejoint le pôle photographique du groupe Libella qui rassemble les éditions Photosynthèses et la galerie Folia.
Atelier des cahiers
Parenthèses (Éditions)
Dans maison d’édition il y a maison. Deux architectes, ébouriffés de Buckminster Fuller, Taos ou Theotiuacan, s’obstinèrent à vouloir dire combien « des hommes ont longtemps regardé la terre autrement qu’avec des yeux dédaigneux. Ils en ont soulevé la pellicule supérieure pour édifier leurs abris et s’y insérer. » Ce fut Archi de terre. D’abord vingt-six feuilles, deux cent quatre-vingt-dix millimètres sur quatre cent vingt, reprographiés recto verso d’après des originaux de deux feuilles issus d’une IBM à boule Letter Gothie surtitrés en lettres transfert Franklin, fixées sur une carte de deux cents grammes, le tout plié et doté de deux agrafes métalliques de douze millimètres.
Vint ensuite l’odeur du plomb fondu et des bains de fixatif de l’imprimerie de la rue Sainte très exactement en face de la librairie Lire, celle-là même qui nous donnait à voir tous les Maspero [toutes deux, l’imprimerie et la librairie ont depuis longtemps disparu, l’une sous les faux billets l’autre sous les attentats]. Le premier livre était presque là. Il fallait maintenant trouver un nom à la maison-demeure qui allait l’héberger. Elle aurait pu s’appeler NO REPRODUCTION, car ces termes légaux figuraient, prêts à poncer, sur toutes les planches de Letraset. Ce sera défi plus que choix-la marque d’un attachement à la précision typographique, la dénomination de ces signes de ponctuation doublés — pour venir s’intercaler. Archi de terre, aux Éditions Parenthèses, douze mille exemplaires diffusés première ivresse d’un métier encore à découvrir. Des livres d’architecture donc, mais bien sûr des livres d’architectes, menés comme un projet — « projet éditorial » — façonnant le matériau brut pour abriter, pérenniser. Des livres considérés comme un espace de découverte à aménager, au prix d’une implication absolue dans le confinement de la page — du moindre attribut typographique à l’image choisie et traitée.
L’architecture dans tous ses états — histoire, pratique ou objets emblématiques-mais surtout architecture pour s’ouvrir au monde collection « Architectures traditionnelles » — « l’architecture traditionnelle reste l’enseigne ethnique la plus démonstrative, mais aussi, souvent, la plus menacée ». L’architecture toujours à l’écoute, à l’écoute notamment du jazz, musique de l’esclavage oublié : collection « Epistrophy » — « accompagnements du jazz, de ses éclats, ses inassurances, ses colères, dans une passion cherchant à susciter ou renforcer la passion de ses gestes ». L’architecture s’ouvrant à l’art, aux origines de l’art : collection « Arts témoins » — « Témoins de la perfection des gestes fondateurs. Témoins aussi des Histoires qui,toujours, alimentent l’acte créatif. Témoins de ces altérités, les documents, gravures ou photographies mis en scène et confrontés à une connaissance en devenir, révèlent les richesses des mondes qui restent à découvrir. » Des collections, des livres pour une édition sans cloisonnements, fusionnelle, aqueduc dans l’espace ouvert de la découverte : collection « Eupalinos » où se confrontent des approches toutes complémentaires-art, architecture, urbanisme, musique (jazz, musiques improvisées, cultures musicales) , histoire, société ; collection « Diasporales » pour dire que « toute authenticité est un exil ».
L’édition sans perdre conscience : le livre n’est qu’un livre.
L’édition sans oublier de lever les yeux.
Atelier galerie éditions
ateliergaleriéditions ne se contente pas d’éditer, elle accompagne les auteurs et propose des mises en pages qui sauront mettre en valeur l’ouvrage tout en captivant le lecteur.
Nous réalisons également des livres d’artistes, numérotés, signés, fait d’une manière artisanale, entièrement à la main, diffusés par des galeries, des salons ou chez les plasticiens eux-mêmes, là où les collectionneurs et les bibliophiles recherchent une signature, une estampe ou des éditions limitées d’ouvrages.
Une œuvre d’art originale ne veut pas forcément dire œuvre unique : la sculpture, l’estampe, la photographie, éditée, tirée à plusieurs exemplaires reste une œuvre originale.
C’est sous le contrôle de l’artiste que vont être travaillées et éditées les estampes numériques en tirage limité, numérotées et signées. Celles-ci sont réalisées avec des encres pigmentées haute résistance, sur papier sans acide pour une meilleure conservation dans le temps.
Modalité d'envois
Vous venez d’écrire un manuscrit et vous recherchez un éditeur. Si vous souhaitez nous le soumettre, c’est avec plaisir que nous en prendrons connaissance. Mais avant de nous l’adresser, merci de veiller aux points suivants :
- Relisez ou faîtes-vous relire, corrigez les fautes d’orthographe et de grammaire, soignez la présentation de votre manuscrit, car la première impression compte beaucoup, et un texte aéré donne davantage envie de le prendre en main qu’un texte truffé de fautes et/ou tassé ;
- Nous sommes sensibles aux textes qui parlent d’histoire, la vraie, ou d’histoires romancées, des textes forts qui, même s’ils sont romancés, ont en filigrane des questions de société ;
- N’envoyez vos manuscrits que sur support papier, aucun envoi par email ne sera pris en compte ;
- Le texte de votre manuscrit doit être complet (nous n’étudions pas les extraits ou simples synopsis), il doit être relié, les pages numérotées, au format Word, corps 12 ;
- N’oubliez pas d’accompagner votre manuscrit d’une lettre mentionnant vos coordonnées complètes, le titre de votre ouvrage, un résumé détaillé, et d’indiquer quels sont selon vous ses atouts ;
- Nous examinerons attentivement votre manuscrit. Cela prend du temps, d’autant plus que nous recevons régulièrement des propositions. Aussi, soyez patient, un délai de réponse de trois mois est tout à fait normal.
Merci de prendre en considération que nous ne retournons pas en principe les manuscrits qui nous ont été adressés. Néanmoins, si vous souhaitez qu’il vous soit retourné, merci de joindre une enveloppe timbrée au bon format et pour le poids requis.