Bleu Nuit (éditions): contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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Maisons d'éditions similaires :
Arènes (Éditions Les)
Maison des Sciences de l'Homme
Academia (Éditions)
Academia est une maison d’édition spécialisée dans les matières universitaires, sciences humaines en tête. Son catalogue compte actuellement plus de 800 titres, destinés à un public varié : professionnels, enseignants, chercheurs, étudiants et passionnés du savoir. Leurs éditions offrent un grand choix de collections universitaires, la plupart dirigées par des directeurs de collection externes et renommés. Créées en 1987 et basées à Louvain-la-Neuve, au cœur de la cité universitaire, les éditions Academia ont construit leur catalogue autour de collections comme Au cœur des textes, Publication des archives de l’Université catholique de Louvain, Anthropologie prospective, Sciences du langage : carrefours et points de vue, Intellection, Thélème, Sefar, Science politique d’abord en collaboration avec des auteurs de l’Université catholique de Louvain, et en s’ouvrant peu à peu à des auteurs issus d’autres universités. Toujours avec l’ambition d’être un laboratoire d’idées, un diffuseur du savoir et un éditeur ouvert sur un monde en permanente évolution.
En 2011, les éditions ont été consolidées par le groupe L’Harmattan. De nouveaux auteurs sont venus enrichir le catalogue, et de nouvelles collections ont été créées. Certaines ont été repensées afin de mieux correspondre aux attentes des lecteurs. À l’ère du numérique, Academia a également revu ses techniques de fabrication et propose dès à présent ses titres simultanément en e-books et epub, et au format papier. Présentes sur les réseaux sociaux pour être au plus près de ses lecteurs, les éditions Academia restent à l’écoute des nouveaux projets.
Fario (Éditions)
Depuis l’automne 2009, les éditions fario publient, aux côtés de la revue, des livres. Une première collection a vu le jour, inaugurée par un texte de Gustave Roud, Le repos du cavalier, suivi d’une étude de James Sacré, Aimé parmi les autres. Dans le sillage d’une revue, cette polyphonie fragile et éphémère, des lignes de force se dessinent, des corps de textes s’assemblent, des dilections naissent ou s’affirment. Gustave Roud est présent depuis le début.
Cette présence presque diaphane, son attachement à un lieu en même temps que ses errances de marcheur nocturne, son extrême attention au monde qui l’entoure tout autant qu’à l’invisible, l’éclat voilé et mélancolique de ses proses, l’accord tacite que celles-ci entretiennent avec le souvenir des morts, tout cela nous accompagne. Nous avons souhaité que le premier ouvrage publié autour de la revue soit de sa main. Notre catalogue s’est depuis élargi.
Pas davantage que les sommaires de la revue, il ne saurait être réduit à un quelconque programme ; il est ouvert à la littérature sous toutes ses formes, à la philosophie, à la critique sociale, aux arts. Les textes que nous publions reconnaissent leur dette envers la langue et envers le monde, ils sont d’un temps, d’un lieu, ils tentent, par des chemins divers de donner sens aux convulsions démentes de l’époque.
Notre attention à la matière du livre, à son enveloppe d’encre et de papier, vient affirmer que la lecture est une expérience entière, qu’elle implique ou entraîne une présence qui n’est pas que d’esprit, et qu’elle ne se consume pas dans la mouvante brillance des écrans.
Dunod
Buchet-Chastel
Aethalidès
Trois collections pour jeunes sages et vieux fous
« Freaks »
De la littérature ouverte à tous les genres, mais avec une double exigence poétique et philosophique : l’intention de réconcilier notre part apollinienne et dionysiaque ― le tout avec une pincée d’autodérision ― ce qui peut rendre nos coups de cœur inclassables, les vilains.
« Éos »
Orienté principalement vers le jeune public, cette collection didactique se propose d’accompagner l’éveil à l'art et à la culture.
« de sable plain »
Notre collection de non-fiction : des essais qui invitent à l’exploration de thèmes insolites avec un esprit de réconciliation.
Université de Bruxelles
Chronique Sociale
Ces trois secteurs d'intervention s'avèrent d'ailleurs complémentaires : pas d'édition sans formation, ni de formation sans recherche. Juridiquement, la Chronique est, à la fois, une association régie par la loi de juillet 1901 et dirigée par un Conseil d'Administration (créé en 1967) pour ses activités de formation et de recherche, et une Société anonyme à responsabilité limitée (SARL créée en 1920) pour l'activité édition.
Les deux structures sont liées juridiquement et travaillent en synergie au quotidien pour mettre en oeuvre le même projet.
Historiquement, la Chronique Sociale s'est préoccupée, dès ses origines, de sensibiliser le grand public aux évolutions de la société en suggérant une organisation de la vie collective plus solidaire et plus respectueuse des personnes.
Sa spécificité - et son originalité - consistent à privilégier la culture de proximité et l'échange d'informations en faisant appel à celles et ceux qui ont enrichi un savoir théorique initial par un savoir-faire de terrain ou l'inverse.
Elle s'adresse, en retour, à tous les acteurs d'humanité soucieux de mieux comprendre le monde en vue de le servir mieux, depuis leur propre épanouissement jusqu'à leur action au sein des organisations et au sein de la société.
Galilée
Les Éditions Galilée naissent en 1971. Dès les premières parutions, en 1973, le ton est donné, l’orientation est prise. 1973, c’est l’année de Critique du capitalisme quotidien de Michel Bosquet ; Les Figures juives de Marx d’Elisabeth de Fontenay ; Le Discours impur de Jean-Noël Vuarnet ; Camera obscura – de l’idéologie de Sarah Kofman ; Le Titre de la lettre, de Jean-Luc Nancy et Philippe Lacoue-Labarthe ; L’Archéologie du frivole de Jacques Derrida, préfaçant l’Essai sur l’origine des connaissances humaines de Condillac. Moins d’une année plus tard, Jacques Derrida, Jean-Luc Nancy, Philippe Lacoue-Labarthe et Sarah Kofman créent la collection « La philosophie en effet » que Jacques Derrida inaugure par la publication de Glas, aventure éditoriale aussi bien que graphique, littéraire et philosophique : mise en effet du questionnement philosophique, non pas pour lui-même, mais tel qu’au monde et tel qu’en l’autre, la pensée le met au travail. C’est dans cette même collection que Sarah Kofman fera paraître peu après Quatre romans analytiques (1974).
Dans le même moment, sur les mêmes modes, tandis que la maison édite les revues Digraph et Chorus, se déploie le questionnement esthétique avec la parution de Marcel Duchamp ou le grand fictif de Jean Clair (1975) ; L’Invention du corps chrétien de Jean-Louis Schefer ; suivi par Détruire la peinture de Louis Marin et Les Transformateurs Duchamp de Jean-François Lyotard. Ce dernier fait ainsi son entrée dans la maison d’édition qui, jusqu’à sa disparition en 1998, publiera l’essentiel de son œuvre.
La rencontre avec les artistes, le travail dans et par le livre avec les créateurs, axe essentiel de la politique éditoriale, seront inaugurés par Wifredo Lam avec l’ouvrage intitulé sobrement Dessins dont il fera la couverture (1975).
Le champ littéraire, essentiel lui aussi, est ouvert par Georges Perec avec son si fameux Espèces d’espaces (1974) bientôt suivi d’Alphabets, illustré de dessins de Dado (1976).
Au croisement de l’art et de la littérature, c’est l’édition de Farce de Jean-Marie Touratier avec une couverture originale de Christian Boltanski et un tiré à part où une fenêtre ouverture à même le livre insère un sucre taillé par Boltanski dans une cage grillagée (1979).
À la fin des années 1970, de nouveaux auteurs rejoignent la maison d’édition à laquelle ils vont donner année après année la part la plus importante de leur œuvre : André Gorz, Fondements pour une morale, Paul Virilio, Vitesse et politique Jean Baudrillard, Oublier Foucault (1977), suivi de De la séduction (1980) ;
En près de cinquante ans, ces orientations n’ont cessé de se renforcer avec des artistes tels que Valerio Adami, Pierre Alechinsky, Karel Appel, Paul Jenkins, François Rouan, Simon Hantaï, Antoni Tàpies, Vladimir Velickovic, Ernest Pignon-Ernest, Raymond Mason, Philippe Cognée, Gérard Titus-Carmel… ; et des auteurs comme Christine Buci-Glucksmann, Jacques Rancière, Étienne Balibar, Hélène Cixous, Yves Bonnefoy, Michel Onfray, Pascal Quignard, Bernard Stiegler, Philippe Bonnefis…
Aux interrogations de la pensée s’associent les questions du texte, de la langue, des pratiques de l’art, la permanente recherche de l’acuité pour ce qui met les enjeux de l’homme et du monde en question, ou comme l’aurait dit Derrida : en effets.