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Maisons d'éditions similaires :
Presses de la Cité
Au fil de son catalogue, riche en auteurs de best-sellers internationaux – Jonas Jonasson, Danielle Steel, Elizabeth George, Mo Hayder, John Connolly –, de nouvelles voix – Hallgrímur Helgason, Hannah Kent, Fredrik Backman, Justin St-Germain, Angelika Klüssendorf, Emmi Itaranta – et d'auteurs oubliés – Ernst Haffner, Hans Herbert Grimm, Grace Metalious, Jacqueline Susann –, Les Presses de la Cité vous invitent à lire le monde entier. Du suspense au roman féminin, du roman d'aventure au thriller psychologique, du témoignage au roman d'anticipation, Les Presses de la Cité, ce sont des histoires pour frémir, sourire, rêver, s'interroger avec la promesse de redécouvrir le plaisir de lire.
Dans le domaine français, Michel Bussi, premier auteur français de polars et deuxième auteur français le plus lu en 2016, la collection Terres de France au succès jamais démenti et aux auteurs incontournables tels Christian Laborie, Daniel Cario, Françoise Bourdon, Jean-Paul Malaval, Jean Anglade, Hervé Jaouen, Elise Fischer, … ainsi que la série des aventures du commissaire Dupin en Bretagne, plébiscitée en Allemagne et dans de nombreux pays, sous la plume de Jean-Luc Bannalec. Les Presses de la Cité domaine français publient par ailleurs des documents, et développent une nouvelle collection en partenariat avec L’Express.
Ex Aequo
Atelier de création libertaire
Plus tard, "l'Imaginaire subversif - Interrogations sur l'utopie" est le premier "livre" que nous avons édité. Comme "Interrogations sur l'autogestion", il contient des contributions, entre autres de Murray Bookchin.
Les premières années, nous ne sortions qu'un ou deux livres par ans, Depuis une dizaine d'année, c'est entre 10 et 14 titres par an qui sortent.
Emmanuel éditions
Toute sa vie, le fondateur de la communauté de l’Emmanuel, Pierre Goursat, a été porté par l’intuition qu’il fallait évangéliser par les médias. Il a donc créé en 1974 « Les Cahiers du Renouveau », qui donneront naissance à la revue Il est Vivant ! puis aux Éditions de l’Emmanuel, avec le désir de faire découvrir le trésor de l’Évangile et du message de l’Église au monde d’aujourd’hui, dans un langage compréhensible par nos contemporains. C’est aujourd’hui encore notre ligne.
Nous n’avons pas nécessairement pour vocation de présenter des ouvrages de théologie pour spécialistes mais plutôt des ouvrages de spiritualité accessibles à tous. Cela ne nous interdit pas, de temps en temps, de publier l’un ou l’autre titre un peu plus trapu. Mais il faut reconnaître que l’essentiel de notre production s’adresse aux chrétiens ordinaires, désireux d’approfondir leur foi et de la mettre en pratique dans leur vie quotidienne.
Nous éditons ainsi chaque année une cinquantaine de livres variés : beaucoup d’ouvrages pour soutenir les familles (guides pour les couples, livres sur la sexualité, livres pour enfants dont une belle collection de BD) mais aussi des témoignages, des vies et écrits des saints, des outils d’évangélisation, des livres de développement personnel, des réflexions sur des questions de société, des guides pour la prière, les grands textes du pape, etc.
Dans tous ces titres, s’il y a un style propre à notre maison d’édition, c’est certainement en lien avec le nom de notre communauté : Emmanuel, Dieu avec nous. D’une manière ou d’une autre, j’espère que chacune de nos productions permet de faire goûter combien Dieu se rend proche de chacun, combien il vient nous rejoindre dans le quotidien de nos vies.
Stanislas Jozan, directeur des éditions.
Le Festin
Hier
Le Festin a cette année 30 ans. Du chemin a été parcouru depuis le n° 1 de septembre 1989, sous-titré « Lettres, Lieux, Vues », et imprimé à quelque 1 000 exemplaires. La première page annonçait déjà en substance les grandes lignes directrices de ce que sera cette aventure éditoriale : ne pas aborder les patrimoines et la création en Nouvelle-Aquitaine sous un angle académique, mais selon une approche décomplexée et généreuse. Élevé au rang de doctrine, ce principe restera toujours le credo du Festin.
« L’Esprit Festin »
Il fallait redynamiser l’image vieillotte que véhiculait encore le patrimoine, en restituant la connaissance et en la rendant intelligible et attractive à tous, en défendant une vision plus prospective que nostalgique, plus régionale que régionaliste, plus familière qu’élitiste.
De fait, en tant qu’objet, la revue se présente à mi-chemin entre le livre et le magazine. Quant à son contenu, il associe des recherches scientifiques, inédites et documentées, à une démarche de vulgarisation. Partis pris, coups de cœur constituent le ferment de ce que l’on pourrait appeler « l’esprit Festin », autant éloigné du bulletin de société savante que du fanzine touristique. Un soin tout particulier est apporté aux images (recherches iconographiques ou actualité des reportages), car elles aiguillonnent la curiosité du lecteur. Elles éclairent, au même titre que la mise en page, le contenu rédactionnel, le soulignent en même temps qu’elle le divertit, afin qu’il n’y ait aucun hiatus entre le fond et la forme.
Enfin, le terrain d’action du Festin s'étend à toute la région Nouvelle-Aquitaine afin de proposer une lecture transversale du territoire. S’il existe une identité culturelle régionale, elle réside dans cet espace sensible où chaque site, chaque œuvre, chaque territoire est support d’interprétations, de correspondances et d’échanges. C’est aussi la diversité de la Nouvelle-Aquitaine qui fait la force de la revue. Réalisé par des amateurs passionnés pour d'autres passionnés, Le Festin se met au service de la connaissance, de l’expérience, de la découverte et du plaisir.
Aujourd’hui
En 2019, Le Festin fête ses 30 ans. Entre temps, il a tenté d’évoluer et d’améliorer par petites touches son propos rédactionnel et visuel. D’abord semestriel, puis trimestriel (à partir de 2002), il s’est imposé comme un rendez-vous désormais attendu pour les lecteurs. Il comptabilise aujourd’hui un catalogue de 109 numéros (dont beaucoup sont épuisés), auquel s’ajoute une trentaine de hors-série thématiques. Parallèlement, la maison d’édition propose chaque année une vingtaine de nouveaux titres (littérature, catalogue d’exposition, livres d’art, essais) qui viennent ainsi compléter le fonds culturel et patrimonial régional. Pour la seule revue, les plus de 10 000 pages qu’elle totalise depuis ses débuts en font un sommaire encyclopédique unique pour la Nouvelle-Aquitaine. Ce sont quelque 10 000 exemplaires et 2500 abonnements qui sont diffusés chaque trimestre dans plus de 600 points de vente.
Avec le temps, Le Festin a ainsi inventé son propre modèle économique, sans y perdre son âme ni ses ambitions. Loin de là, la grande aventure demeure intacte, l’équipe rédactionnelle et l'équipe commerciale composées de 15 salariés s’impliquent aujourd’hui dans cette profusion d’ouvrages avec toujours la même passion.
Chandeigne
Perrin
Carmel (Éditions du)