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Capricci

Maison d'édition à compte d'éditeur

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Maisons d'éditions similaires :

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Mon Limousin (éditions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2018
30 livres au catalogue dont 15 publiés par an

Maison d'édition à compte d'éditeur, les éditions Mon Limousin défendent les richesses du territoire dans une région Nouvelle-Aquitaine ouverte sur le large...

Littérature / Patrimoine / Histoire / Arts

Tout texte en rapport avec la région (Creuse, Corrèze, Haute-Vienne, mais aussi Dordogne, Cantal, Charente...) OU d'auteurs originaires du Limousin.

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La tengo

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2009
Les Editions La Tengo ont été créées en 2009 par Frédéric Houdaille, fondateur de l’agence de communication H2 COM, associé à Alexandre Chabert, ancien journaliste de l’hebdomadaire Les Inrockuptibles.
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Adespote

Maison d'édition à compte d'éditeur
Adespote signifie "animal sans maître" en grec. Les Editions Adespotes construisent petit à petit une ligne éditoriale ouverte aux rencontres et à la variété de nos passions. Une ligne zigzagante qui relient création, poésie et politique.
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Amsterdam éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2003

Fondées en 2003 par Charlotte Nordmann et Jérôme Vidal, les Éditions Amsterdam assurent la traduction et l’édition d’ouvrages de philosophie, d’histoire et de sciences sociales, d’essais critiques et politiques. Elles ont notamment introduit auprès du lectorat français des figures majeures du monde anglophone, accompagné la « Spinoza Renaissance », et travaillé les domaines des cultural studies, des gender studies, des postcolonial studies et de l’histoire atlantique.

Animées depuis 2016 par une nouvelle équipe sous la direction éditoriale de Nicolas Vieillescazes, les Éditions Amsterdam voudraient participer à l’émergence d’une génération d’intellectuels de gauche, tout en continuant à vous offrir le meilleur de la production intellectuelle de langue anglaise. Elles accueillent par ailleurs deux nouvelles collections : « L’ordinaire du capital », qui publie des documentaires littéraires, et « Les Prairies ordinaires », dédiée à la culture et aux arts. Ce faisant, elles espèrent contribuer à ce qu’en matière d’idées, la radicalité redevienne un marqueur d’exigence dans l’espace francophone.

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Institut Catholique Toulouse

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2013
Créées en 2013, les Presses universitaires de l’ICT ont vocation à publier des ouvrages à caractère universitaire et scientifique : des monographies, des supports pédagogiques, des actes de journées d’étude, de séminaires et de colloque, des ouvrages collectifs, des thèses de Doctorat et des mémoires de Master ainsi que sa tradition d’ouverture aux études à la fois ecclésiastiques et profanes, et ce dans tous les domaines investis par ses enseignants-chercheurs (les humanités, les sciences religieuses, les sciences sociales, les sciences juridiques, l’éthique des sciences). Des accords-cadres ont été signés avec les maisons d’éditions Lethielleux, Brepols, Domuni-Press, Parole et Silence et le Groupe Elidia. Depuis avril 2017, une plate-forme dédiée aux Presses universitaires permet d’acquérir l’ensemble des ouvrages en ligne. Ceux-ci sont également disponibles à l’Espace Senderens, à l’Institut catholique de Toulouse.
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Aube (Nouvelle éditions de l')

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
1800 livres au catalogue dont 50 publiés par an
Les éditions de l’Aube ont été créées en 1987 par un groupe d'intellectuels, de chercheurs et d'écrivains qui voulaient participer à l'essor de l'édition en province. Le cœur du projet était d'éditer des créateurs dissidents, contestataires, des essais d'actualité et des ouvrages sur l'aménagement des territoires. Elles sont situées dans le Vaucluse, à La Tour-d'Aigues, avec un diffuseur-distributeur arlésien, Harmonia Mundi, et une antenne parisienne. L'Aube a publié plus de 1 800 titres en 25 ans. La maison d'édition publie une cinquantaine de livres par an et propose deux collections de littérature, Regards croisés et Regards d'ici et quatre collections d'essais : Monde en cours, Ère planétaire, Urgence de comprendre et Conversation pour l'avenir animée par Gilles Vanderpooten. Elle possède aujourd'hui une collection polar, Aube noire, dirigée par Manon Viard.
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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mot et le reste (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1996

Le mot pour dire le langage et le reste pour dire l’espace, le monde, le social. Mais c’est aussi le mot que confient les auteurs et l’éditeur s’applique au reste.

Créées en 1996 à Marseille par Yves Jolivet, les éditions Le mot et le reste publient environ vingt-cinq titres par an au sein de cinq collections. Les textes reflètent la volonté de fournir des éléments de réflexion sur le monde, de faire circuler des formes poétiques libres de tons, de faire entendre des voix nouvelles et singulières, d’introduire des questionnements esthétiques, le tout sans enfermement. Afin d’explorer ses multiples facettes, une même thématique peut être abordée au sein des différentes collections dans une intention de transversalité. Le lecteur est ainsi invité à s’aventurer au-delà des genres et dépasser les frontières usuelles entre le poétique et le politique, le document et l’esthétique.

Chacun des titres est défendu auprès des libraires, bibliothécaires, lieux de formations, sur Internet… afin qu’il puisse trouver ses lecteurs. Il est essentiel de créer une relation vivante entre le livre et les lecteurs, l’auteur et les lecteurs. Aussi, de nombreux temps d’échanges : rencontres, lectures, conférences… ont lieu tout au long de l’année.

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Huginn & Muninn

Maison d'édition à compte d'éditeur
Hier les trois mousquetaires, Tom Sawyer, Little Nemo, Fantômas, Tarzan, Belphegor... Aujourdhui Dark Vador, Mario Bros, Largo Winch, Naruto, Dexter, Batman... Ce qu’on nomme aujourd’hui la culture geek n’est que l’autre nom de la culture populaire. Avec Huginn & Muninn, l’imaginaire et la culture populaire ont retrouvé leurs messagers.
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Ouest-France

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1975
1500 livres au catalogue dont 200 publiés par an
Depuis plus de trente ans, les éditions Ouest-France occupent une place importante dans le peloton de tête des maisons d'édition françaises.
Elles jouent également un rôle notable dans le rayonnement culturel en se positionnant résolument comme la maison d'édition des régions de France.
Avec 200 nouveautés publiées par an et un catalogue de 1500 titres, elles travaillent avec plus de 2000 auteurs, tous spécialistes de leur domaine.
Spécialisées dans le tourisme, elles ont développé des collections histoire, patrimoine, cuisine, pratique, mer, nature, loisirs créatifs, architecture et beaux livres.
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