Coop Breizh: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Depuis vingt ans, Coop Breizh est devenu éditeur dans le double but de renforcer ses structures et d’offrir aux auteurs et aux lecteurs une image à la fois traditionnelle et moderne de la littérature bretonne.
Avec un programme d’environ trente nouveautés par an, le secteur édition représente environ 45% de l’activité livres. Les principaux domaines abordés sont les contes et légendes, l’histoire, les beaux-livres, la jeunesse et la littérature. Au rythme de 10 à 15 nouveautés par an, tant sous forme de productions pures que de licences, Coop Breizh est aujourd’hui le premier label de Bretagne.
Contact
Site Web
https://www.coop-breizh.fr/Téléphone
0298938314Adresse
Coop Breizh , Kerangwenn, 29540 Spezet FranceSite Web
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Coop Breizh , Kerangwenn, 29540 Spezet FranceMaisons d'éditions similaires :
Les nouveaux auteurs
Chaque année, Les Nouveaux Auteurs évalue des centaines d’ouvrages grâce aux milliers de fiches réalisées par ses lecteurs : c’est la possibilité pour les auteurs de recevoir des critiques objectives et constructives.
Le bilan quantitatif : plus de 2 millions d’exemplaires vendus, 30 auteurs suivis par les éditeurs de poche.
Entre Deux Mondes
Anneaux de la mémoire (Les)
Née en 1991 à Nantes de l’exposition Les Anneaux de la Mémoire, l’association a pour fondement la valorisation des connaissances historiques, la défense de la diversité culturelle, l’ouverture au monde et le travail sur les mémoires, particulièrement les mémoires liées à l’esclavage et la traite négrière occidentale. Dans la perspective de promouvoir des échanges équilibrés et réciproques entre les sociétés d’Afrique, d’Amérique et d’Europe, elle mène des projets culturels au niveau international, en collaboration avec les organisations locales.
Scheidegger & Spiess
Divergences (Éditions)
Parenthèses (Éditions)
Dans maison d’édition il y a maison. Deux architectes, ébouriffés de Buckminster Fuller, Taos ou Theotiuacan, s’obstinèrent à vouloir dire combien « des hommes ont longtemps regardé la terre autrement qu’avec des yeux dédaigneux. Ils en ont soulevé la pellicule supérieure pour édifier leurs abris et s’y insérer. » Ce fut Archi de terre. D’abord vingt-six feuilles, deux cent quatre-vingt-dix millimètres sur quatre cent vingt, reprographiés recto verso d’après des originaux de deux feuilles issus d’une IBM à boule Letter Gothie surtitrés en lettres transfert Franklin, fixées sur une carte de deux cents grammes, le tout plié et doté de deux agrafes métalliques de douze millimètres.
Vint ensuite l’odeur du plomb fondu et des bains de fixatif de l’imprimerie de la rue Sainte très exactement en face de la librairie Lire, celle-là même qui nous donnait à voir tous les Maspero [toutes deux, l’imprimerie et la librairie ont depuis longtemps disparu, l’une sous les faux billets l’autre sous les attentats]. Le premier livre était presque là. Il fallait maintenant trouver un nom à la maison-demeure qui allait l’héberger. Elle aurait pu s’appeler NO REPRODUCTION, car ces termes légaux figuraient, prêts à poncer, sur toutes les planches de Letraset. Ce sera défi plus que choix-la marque d’un attachement à la précision typographique, la dénomination de ces signes de ponctuation doublés — pour venir s’intercaler. Archi de terre, aux Éditions Parenthèses, douze mille exemplaires diffusés première ivresse d’un métier encore à découvrir. Des livres d’architecture donc, mais bien sûr des livres d’architectes, menés comme un projet — « projet éditorial » — façonnant le matériau brut pour abriter, pérenniser. Des livres considérés comme un espace de découverte à aménager, au prix d’une implication absolue dans le confinement de la page — du moindre attribut typographique à l’image choisie et traitée.
L’architecture dans tous ses états — histoire, pratique ou objets emblématiques-mais surtout architecture pour s’ouvrir au monde collection « Architectures traditionnelles » — « l’architecture traditionnelle reste l’enseigne ethnique la plus démonstrative, mais aussi, souvent, la plus menacée ». L’architecture toujours à l’écoute, à l’écoute notamment du jazz, musique de l’esclavage oublié : collection « Epistrophy » — « accompagnements du jazz, de ses éclats, ses inassurances, ses colères, dans une passion cherchant à susciter ou renforcer la passion de ses gestes ». L’architecture s’ouvrant à l’art, aux origines de l’art : collection « Arts témoins » — « Témoins de la perfection des gestes fondateurs. Témoins aussi des Histoires qui,toujours, alimentent l’acte créatif. Témoins de ces altérités, les documents, gravures ou photographies mis en scène et confrontés à une connaissance en devenir, révèlent les richesses des mondes qui restent à découvrir. » Des collections, des livres pour une édition sans cloisonnements, fusionnelle, aqueduc dans l’espace ouvert de la découverte : collection « Eupalinos » où se confrontent des approches toutes complémentaires-art, architecture, urbanisme, musique (jazz, musiques improvisées, cultures musicales) , histoire, société ; collection « Diasporales » pour dire que « toute authenticité est un exil ».
L’édition sans perdre conscience : le livre n’est qu’un livre.
L’édition sans oublier de lever les yeux.
A plus d'un titre
Kero