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Diffusia

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1994
Créée en 1994, France Productions est engagée, au-delà d’une simple vocation commerciale, dans un combat. Ce combat n’est pas militaire mais il est vital, car il participe, à la modeste place qui est le sien, de la survie même de notre identité, des valeurs auxquelles nous croyons et que nous voulons légitimement transmettre à nos enfants.
La France ne naît pas en 1789, elle est l’œuvre de nos quarante rois. La France a ses saints, ses héros, ses vrais grands hommes qu’il ne tient qu’à nous d’honorer en s’en remémorant les hauts faits et en les donnant en exemples à nos enfants. Là sont nos valeurs. Ce sont celles que nous défendons.

Contact

info@diffusia.fr

Téléphone

0952661621

Adresse

1 rue de Stockholm, 75008 Paris
France

Maisons d'éditions similaires :

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Nouvelle Cité

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1957
400 livres au catalogue dont 30 publiés par an
Les Éditions Nouvelle Cité, nées en 1957 avec la revue Nouvelle Cité – suivi par les premiers livres en 1962, et par le trimestriel Connaissance des pères de l’Église en 1981 – comptent maintenant plus de 350 titres disponibles au catalogue et produisent environ 25 nouveautés par an.Nouvelle Cité est une maison d’édition issue du mouvement des Focolari très actif dans les domaines inter-religieux et interculturel – qui s’adresse au grand public
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Albin Michel

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1900
6000 livres au catalogue dont 500 publiés par an
Fondée en 1900, Albin Michel est une des rares maisons d'édition françaises encore indépendante.  Au fil des années, le groupe familial Albin Michel s'est étoffé avec l'acquisition de Magnard/Vuibert (dont Delagrave, Casteilla et Librairie des écoles), 40% de LGF/Le Livre de poche (contrôlé par Hachette) et le diffuseur-distributeur Dilisco pour constituer l'un des dix principaux acteurs du marché de l'édition française avec environ 500 salariés. La maison compte à ce jour 6 000 titres à son catalogue et publie 500 nouveautés  par an. Abondamment présentes  à chaque rentrée littéraire, les éditions Albin Michel font confiance aussi bien à des auteurs débutants que confirmés.
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Editions Alphil

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1996
400 livres au catalogue dont 45 publiés par an
Alphil SA est active dans l'édition de livres et de revues, sous format papier et sous format électronique.
Nos activités sont divisées en trois marques éditoriales:
 
  • Éditions Alphil
  • Éditions Alphil-Presses universitaires suisses
  • Éditions Livreo-Alphil

Les Éditions Alphil publient des récits, des essais et des livres illustrés. Elles collaborent avec de nombreuses institutions, notamment avec des musées en vue de publier des catalogues d’exposition et des livres illustrés. Ces ouvrages sont généralement en lien avec l’histoire, la culture et le patrimoine de la Suisse.

Les Éditions Alphil-Presses universitaires suisses publient des ouvrages de sciences humaines et sociales, tels que synthèses, essais, monographies, actes de colloque, éditions de sources, mélanges, thèses, mémoires de master et revues. L'histoire a constitué le point fort de la maison d'édition à ses débuts, mais au fur et à mesure, son champ de publications s'est élargi à l'histoire de l'art, à la géographie, aux sciences sociales et politiques ainsi qu'à l'analyse littéraire.

La majorité des ouvrages sont rédigés en français, mais nous publions aussi en anglais et en allemand.

Les Éditions Livreo-Alphil publient des essais, des récits, des livres de synthèse et une collection de livres de poche. Ces livres s’adressent un large lectorat.

Historique
 
Les Éditions Alphil ont été fondées en 1996 par deux étudiants, Alain Cortat et Philippe Erard. Enthousiasmés par les dessins d’André Harvec qui paraissaient dans l’Écho Illustré, ils ont cherché en vain à se procurer un album. Ils ont alors décidé de publier eux-mêmes un recueil d'une sélection de 200 dessins du fameux dessinateur français. Ce projet a été primé lors d'un concours organisé par la Jeune Chambre Économique du district de Porrentruy, ce qui leur a permis d'obtenir les fonds nécessaires pour se lancer dans l’édition. Après le retrait de Philippe Erard, et sous la direction d’Alain Cortat, les Éditions Alphil se sont spécialisées dans l'histoire, les récits, les essais, les beaux-livres et les textes universitaires.
 
En 2010, un nouvel associé, Jacques Barnaud, a rejoint les Éditions Alphil. À cette occasion l'entreprise a été transformée en SA et a emménagé dans de nouveaux locaux à Neuchâtel, où sept collaborateurs (5 équivalents plein temps) assurent le travail éditorial ainsi que les activités de distribution. Le travail de mise en page et de graphisme est confié à des spécialistes des arts graphiques en externe.

 

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Michel Lafon

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1980
700 livres au catalogue dont 150 publiés par an
En 1980, Michel Lafon créait sa maison d'édition, avec derrière lui un parcours déjà riche et atypique où il fut tour à tour patron de presse (il a créé le magazine Podium, puis dirigé Hachette Presse Jeunesse) et producteur de télévision.Cette pluralité, ce goût d'une culture grand public de qualité sont rapidement devenus l'empreinte d'une maison d'édition qui, à raison de plus de 150 livres par an, s'est hissée parmi les plus importantes de France, sans pour autant renoncer à son indépendance.Il en résulte un catalogue d'une très grande variété. - Des témoignages emblématiques d'un monde en mouvement et des documents largement relayés dans les médias parce qu'offrant une autre vision de l'actualité ; - Des romans signés par les plus grandes plumes de la littérature contemporaine, qui permettent l'évasion tout en éveillant les consciences ; - Des thrillers qui ne laissent au lecteur aucun répit et utilisent les moyens les plus insolites pour des frissons garantis ; - Une littérature jeunesse foisonnante, explorant des univers fantastiques plébiscités par les petits comme les plus grands ; - Des beaux livres événements, qui célèbrent les hommes qui ont fait notre Histoire, nos passions, la France des terroirs ou encore les saveurs de l'enfance...Distribuées en France et dans tous les pays francophones (Belgique, Suisse, Luxembourg) par Editis-Interforum et les messageries ADP (Canada), les éditions Michel Lafon bénéficient d'une diffusion particulièrement équilibrée entre les deux plus grands réseaux que sont les librairies (1er et 2d niveau) et les grandes surfaces.Cette belle visibilité est encore renforcée par des partenariats réguliers avec les enseignes (Fnac, Virgin, Cultura, etc.), les sites de vente en ligne, de vastes campagnes d'affichage et de promotion.Enfin, forte d'un puissant réseau international, la maison d'édition a développé, avec le soutien de l'Unesco, une collection d'ouvrages scolaires pour les élèves et les étudiants d'Afrique.
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De Vecchi

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1962

La maison d'édition De Vecchi (Giovanni De Vecchi Editore SpA) est fondée en Italie en 1962 par Giovanni De Vecchi, un italo-suisse. L'entreprise est initialement scindée en 2 structures: la publication d'un côté, la diffusion de l'autre1. En 1969, est créée l’entité De Vecchi Espagne, rejointe en 1972 par De Vecchi et en 1993 par De Vecchi Mexique.

De 1972 à 1999, les éditions De Vecchi se développent notamment sur le marché du livre sur les animaux, le marché de l’ésotérisme/sciences humaines. En 1999, De Vecchi lance la collection « Grands Procès de l'Histoire ». Cette collection est éventuellement stoppée par le droit des familles et des victimes qui freine la publication de certaines informations. Ses titres étaient parfois repris au micro de l'émission radio Café crimes.

En 1999, le fondateur historique décède. Argos Soditic et 3 managers, 2 italiens et 1 français, font alors l’acquisition des 4 sociétés De Vecchi et les constituent en un groupe international.

En juillet 2005 les éditions De Vecchi sont alors reprises par le groupe Albin Michel. En 2006, la maison d'édition Larus (Bergamo) reprend De Vecchi Italie. En avril 2009, Giunti Editore rachète les activités italiennes de De Vecchi France à Albin Michel pour consolider sa position sur le marché domestique1. Entre 2008 et 2011, le groupe Albin Michel cède la filière espagnole, puis la filière mexicaine.

En octobre 2012, les éditions De Vecchi France sont reprises par la société Le Livre Club.

En septembre 2016, les éditions De Vecchi changent de diffuseur distributeur et rejoignent l'équipe de Laurent Fontaine du groupe Centre France (CF2D) et la logistique est confiée à la SODIS3. En mars 2017, De Vecchi lance une collection de vulgarisation des sujets ésotériques avec un prix fixe de 3 euros l'ouvrage.

 

Wikipédia

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Honoré Champion

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1874
150 publiés par an
Depuis 1874, les Éditions Honoré Champion sont spécialisées dans l’édition d’érudition en sciences humaines. Leur catalogue complet, qui retrace plus de 130 ans de recherche universitaire francophone, contient plus de dix mille titres dont nombre ont fait date dans leur domaine et demeurent des références irremplaçables. Ces vingt dernières années, les Éditions Champion ont considérablement développé leurs champs d’activité et sont devenues l’un des premiers éditeurs d’érudition francophone en sciences humaines avec environ 150 titres par an.
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Ad Solem

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1992
Ad Solem, « vers le Soleil » : un nom, un esprit aussi, résolument tourné vers la « Lumière qui éclaire tout homme» (Jn 1, 12). Depuis 1992, chaque livre veut à sa manière être un éclat, une étincelle pour faire rayonner le sens ; un espace pour permettre la rencontre de l’Autre à travers le chemin des mots. Rencontre par le biais de l’écriture, laquelle, comme une trace, atteste le passage de Celui qui ne se laisse découvrir qu’après coup, dans la distance. Pendant quelques instants, le temps de lire une ligne ou une page, le lecteur abandonne sa volonté propre pour suivre l’empreinte laissée par les mots sur la surface de la page. Moments de communion avec l’auteur, dont les mots veulent réveiller en nous «le désir de l’éternité inconnue sous la douceur des mots connus» (saint Grégoire le Grand). On ne ressort jamais le même de la lecture d’un livre. L’édition est un art : un savoir-faire qui doit communiquer un savoir-vivre. Le livre, pour Ad Solem, n’est pas un moyen parmi d’autres de transmettre savoir et sagesse. Si le codex a remplacé le volumen aux premiers siècles du christianisme, c’est que sa forme traduisait le contenu de la foi dont son apparition est solidaire. Au déroulement infiniment répété du rouleau a succédé l’arrêt sur la page, la fin de la ligne. A l’éternel retour a succédé la Nouvelle Alliance. Aujourd’hui, les textes se déroulent sur l’écran des ordinateurs. Le temps du nihilisme se traduit par la civilisation du rouleau numérique. Comment être «à la page» aujourd’hui si le livre est menacé sinon de disparition du moins d’une marginalisation croissante ? Peut-être en reprenant conscience de ce que livre n’existe pas sans un regard qui se pose sur la page. Avant d’être un objet, le livre est un verbe : il «se livre» au regard. Quelqu’un s’y donne. Mais dans un retrait. « Il se tait et les mots qui nous restent s’écartent peu à peu pour laisser passer entre eux son regard » (Jean-Pierre Lemaire).
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Boîte à Pandore (La)

Maison d'édition à compte d'éditeur

Notre maison d’édition s’inscrit résolument dans la volonté de faire avancer les grandes questions de société.

Notre unique volonté est de donner la parole à des auteurs qui interpellent, questionnent ou bouleversent le lecteur. Journalistes, experts, témoins ou protagonistes, ils ont l’ambition, à travers leurs livres, d’ouvrir des portes que l’on croyait cachées, de jeter un pont entre le passé et l’avenir, entre l’envie d’ailleurs et le questionnement sur soi…

Notre volonté d’Éditeurs est celle d’être les partenaires d’un monde qui change et qui s’interroge, et cela même si, à l’instar d’Albert Londres nous portons le fer dans la plaie.

Partenaires de réflexion qui montrent le réel de ce monde que nous voulons meilleur, les livres de notre catalogue sont des invitations à la réflexion et à la découverte.

Prenez la route avec nous et avec nos Auteurs, nous avons tant de choses à nous dire.

Les Éditeurs

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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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La Nuée Bleue

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1920
500 livres au catalogue dont

Créée en 1920 à Strasbourg au sein du quotidien « Les Dernières Nouvelles d’Alsace », La Nuée Bleue a un fort ancrage régional en Alsace et dans le Grand Est.

Plus de 500 titres et autant d’auteurs composent un catalogue extrêmement diversifié : histoire, patrimoine, art de vivre, romans, mais aussi essais interrogeant les enjeux contemporains.

La Nuée Bleue se positionne comme un éditeur rigoureux tourné vers le grand public. Elle fait partie depuis 2014 des Éditions du Quotidien.

Riche de son savoir-faire d’éditeur en région, La Nuée Bleue a lancé en 2010 « La grâce d’une cathédrale », une collection nationale de référence et de prestige dédiée aux cathédrales de France.

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