Editions du Stiff: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
A propos du Stiff : Un des plus vieux phares en France encore en fonctionnement, le phare du Stiff a été construit sur le point culminant de l’île d'Ouessant (60 m). En août 1685, Vauban propose la construction d’une tour défensive qui signalerait les dangers dans le nord-ouest de Brest. Construit en 1695 et allumé en 1700, il a d’abord fonctionné au charbon, puis en 1889 au pétrole. Au début du XXème siècle, il est doté d’un nouvel appareil optique.
Sa hauteur est de 33 m environ , soit 90 m par rapport au niveau de la mer. Aujourd’hui, il est automatisé et télécontrôlé à partir du Créac’h. Il se symbolise par 2 éclats rouges toutes les 20 secondes. Sa portée est de 24 milles.
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1 ruelle de la Ville en Bois, 59190 Muzillac FranceSite Web
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1 ruelle de la Ville en Bois, 59190 Muzillac FranceMaisons d'éditions similaires :
Table Ronde (La)
L’idée première est de créer une revue. Conviés autour de la table, Thierry Maulnier, André Fraigneau et Jean Cocteau participent au projet. André Fraigneau suggère un titre énigmatique : La Couronne fermée. Jean Cocteau lui préfère La Table Ronde, qui correspond davantage à l’esprit du groupe. François Salvat dessine les maquettes et le premier numéro des « Cahiers de La Table Ronde » voit le jour fin 1944. Jean Anouilh confie alors sa pièce Antigone à Roland Laudenbach, sans limitation de tirage. Ce sera le premier livre en édition courante, celui qui fait de La Table Ronde une maison d’édition à part entière.
L’effervescence littéraire et intellectuelle du demi-siècle ne perdant rien de sa vigueur, des auteurs tels François Mauriac et Henry de Montherlant collaborent à la revue, tandis que Paul Morand livre son Journal d’un attaché d’ambassade et Jean Giono Un roi sans divertissement. Au fil des années cinquante, une génération d’écrivains turbulents fait son apparition. Parmi eux, Antoine Blondin, Michel Déon, Jacques Laurent, Roger Nimier, tous amis de Roland Laudenbach, que Bernard Frank réunira — un peu rapidement — sous le nom de « hussards ».
Au cœur de cette époque, La Table Ronde publie des romans drôles et mélancoliques, sensibles et délicats.
L’éclosion d’écrivains comme Alphonse Boudard, Gabriel Matzneff, Frédéric Musso ou encore Eric Neuhoff, offre aux hussards des successeurs pleins de panache. Les années quatre-vingt-dix s’ouvrent sur les disparitions successives de Roland Laudenbach et Antoine Blondin. Avec l’arrivée de Denis Tillinac à la tête de La Table Ronde en 1990, le catalogue accueille Jean-Paul Kauffmann, Frédéric Fajardie, Yves Charnet, Jean-Claude Pirotte, Xavier Patier, le poète William Cliff ou plus récemment Michel Monnereau. En 1997, La Table Ronde reprend la collection Quai Voltaire, pour la dédier à la littérature étrangère, en publiant, entre autres, Alice Mc Dermott, Tracy Chevalier, et Richard Russo. Dirigées aujourd’hui par Alice Déon, Les Éditions de La Table Ronde continuent de réunir des auteurs restés fidèles à la liberté de ton de leurs fondateurs.
HC Editions
Regard (Editions du)
Braun Publishing
Aedam Musicae
Ouest-France
Elles jouent également un rôle notable dans le rayonnement culturel en se positionnant résolument comme la maison d'édition des régions de France.
Avec 200 nouveautés publiées par an et un catalogue de 1500 titres, elles travaillent avec plus de 2000 auteurs, tous spécialistes de leur domaine.
Spécialisées dans le tourisme, elles ont développé des collections histoire, patrimoine, cuisine, pratique, mer, nature, loisirs créatifs, architecture et beaux livres.
Joca Seria
Créées par Brigitte et Bernard Martin, les éditions Joca Seria ont publié leurs premiers livres en 1991. Au fil des vingt années écoulées, des rencontres et des opportunités ont permis de « construire » autour de l’art et de la littérature un catalogue qui compte aujourd’hui plus de 300 titres à raison de 10 à 20 titres par an.
Chêne (Editions du)
Philippe Rey
Notre maison généraliste et indépendante a été créée en septembre 2002, ses premiers titres sont parus un an plus tard.
Chez nous, le temps est un élément important pour la publication de tout livre : temps de la recherche de projets neufs et surprenants ; temps de l’accompagnement de chaque auteur pour qu’il offre le meilleur de lui-même : écriture, traduction, relecture, corrections ; temps pour l’élaboration de l’objet idéal en adéquation avec son contenu ; temps aussi de faire connaître chaque œuvre auprès des libraires et des critiques littéraires, autant d’acteurs essentiels entre nos lecteurs et nous. Chaque livre est avant tout une rencontre entre un auteur et les éditeurs de la maison. Nous lui apportons un travail soigné que tout bon texte mérite, un travail artisanal dont nous sommes fiers.
À ce jour, plusieurs collections (« Littérature française », « Littérature étrangère », « Documents », « Beaux livres », « Noir », « Fugues » et « À tombeau ouvert ») dessinent un catalogue de plus de 450 titres.
La littérature constitue le cœur de notre maison. En littérature française, nous accordons une place importante à la découverte de nouvelles voix et à la francophonie.
Dans une volonté d’ouverture sur le monde, en littérature étrangère, des auteurs de tous horizons, majeurs ou inédits en France – des États-Unis, d’Inde, d’Afrique du Sud, du Royaume-Uni, d’Italie, de Corée du Sud, du Bangladesh et d’ailleurs – forment autant d’appels à la curiosité de chacun et à la découverte d’univers surprenants.
Notre collection de semi-poches « Fugues » proposent, à un format et un prix réduits, des ouvrages de notre catalogue ou des textes jusqu’alors indisponibles.
Dernière-née de nos collections, « Noir » se consacre aux romans noirs et policiers.
Les documents et beaux-livres offrent des regards passionnés et passionnants sur les multiples facettes de notre société : des séries télévisées au cinéma, de l’histoire aux questions de santé, de la lutte contre le racisme à la politique, en passant par le sport, la spiritualité, les voyages, la littérature…
Galilée
Les Éditions Galilée naissent en 1971. Dès les premières parutions, en 1973, le ton est donné, l’orientation est prise. 1973, c’est l’année de Critique du capitalisme quotidien de Michel Bosquet ; Les Figures juives de Marx d’Elisabeth de Fontenay ; Le Discours impur de Jean-Noël Vuarnet ; Camera obscura – de l’idéologie de Sarah Kofman ; Le Titre de la lettre, de Jean-Luc Nancy et Philippe Lacoue-Labarthe ; L’Archéologie du frivole de Jacques Derrida, préfaçant l’Essai sur l’origine des connaissances humaines de Condillac. Moins d’une année plus tard, Jacques Derrida, Jean-Luc Nancy, Philippe Lacoue-Labarthe et Sarah Kofman créent la collection « La philosophie en effet » que Jacques Derrida inaugure par la publication de Glas, aventure éditoriale aussi bien que graphique, littéraire et philosophique : mise en effet du questionnement philosophique, non pas pour lui-même, mais tel qu’au monde et tel qu’en l’autre, la pensée le met au travail. C’est dans cette même collection que Sarah Kofman fera paraître peu après Quatre romans analytiques (1974).
Dans le même moment, sur les mêmes modes, tandis que la maison édite les revues Digraph et Chorus, se déploie le questionnement esthétique avec la parution de Marcel Duchamp ou le grand fictif de Jean Clair (1975) ; L’Invention du corps chrétien de Jean-Louis Schefer ; suivi par Détruire la peinture de Louis Marin et Les Transformateurs Duchamp de Jean-François Lyotard. Ce dernier fait ainsi son entrée dans la maison d’édition qui, jusqu’à sa disparition en 1998, publiera l’essentiel de son œuvre.
La rencontre avec les artistes, le travail dans et par le livre avec les créateurs, axe essentiel de la politique éditoriale, seront inaugurés par Wifredo Lam avec l’ouvrage intitulé sobrement Dessins dont il fera la couverture (1975).
Le champ littéraire, essentiel lui aussi, est ouvert par Georges Perec avec son si fameux Espèces d’espaces (1974) bientôt suivi d’Alphabets, illustré de dessins de Dado (1976).
Au croisement de l’art et de la littérature, c’est l’édition de Farce de Jean-Marie Touratier avec une couverture originale de Christian Boltanski et un tiré à part où une fenêtre ouverture à même le livre insère un sucre taillé par Boltanski dans une cage grillagée (1979).
À la fin des années 1970, de nouveaux auteurs rejoignent la maison d’édition à laquelle ils vont donner année après année la part la plus importante de leur œuvre : André Gorz, Fondements pour une morale, Paul Virilio, Vitesse et politique Jean Baudrillard, Oublier Foucault (1977), suivi de De la séduction (1980) ;
En près de cinquante ans, ces orientations n’ont cessé de se renforcer avec des artistes tels que Valerio Adami, Pierre Alechinsky, Karel Appel, Paul Jenkins, François Rouan, Simon Hantaï, Antoni Tàpies, Vladimir Velickovic, Ernest Pignon-Ernest, Raymond Mason, Philippe Cognée, Gérard Titus-Carmel… ; et des auteurs comme Christine Buci-Glucksmann, Jacques Rancière, Étienne Balibar, Hélène Cixous, Yves Bonnefoy, Michel Onfray, Pascal Quignard, Bernard Stiegler, Philippe Bonnefis…
Aux interrogations de la pensée s’associent les questions du texte, de la langue, des pratiques de l’art, la permanente recherche de l’acuité pour ce qui met les enjeux de l’homme et du monde en question, ou comme l’aurait dit Derrida : en effets.