Aperture Foundation: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Aperture, a not-for-profit foundation, connects the photo community and its audiences with the most inspiring work, the sharpest ideas, and with each other—in print, in person, and online.
Created in 1952 by photographers and writers as “common ground for the advancement of photography,” Aperture today is a multiplatform publisher and community, engaged with photography as a language of ideas and committed to the medium’s contributions to the urgent issues in society and contemporary culture. Diversity, equity, and inclusion are at the heart of our strategic thinking, and reflected in the selection of artists and writers that we publish, the engagement programs we present, and our ongoing work to diversify our board and staff.
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Maisons d'éditions similaires :
Gisserot (Editions)
Les Éditions Gisserot ont été fondées en 1988 par le Brestois Jean-Paul Gisserot.
Né en 1938, Jean-Paul Gisserot est ingénieur de construction aéronautique de formation. Après un bref passage dans la publicité, il devient éditeur dans un premier temps en dirigeant des maisons spécialisées dans la littérature jeunesse. En 1975, il fonde les Éditions Ouest-France pour le groupe de presse rennais du même nom. Il en fera le premier éditeur en région avant de quitter le groupe en fin 1986 pour diriger le département « Éducation » de Fernand Nathan. En 1988, outre la SA Éditions Jean-Paul Gisserot, il fonde les Éditions Sud-Ouest pour le groupe de presse bordelais du même nom. Il dirigera cette maison jusqu’en 2000.
Les activités commerciales demeurent gérées par leur filiale, TéléGiss Distribution, déjà installée dans le Finistère depuis 2000. L’ensemble, comptant 10 salariés ETP aujourd’hui, en fait l’une des toutes premières entreprises d’édition de livres de la région Bretagne.
Les activités d’édition et de direction, employant trois personnes, ont été rattachées au siège des Éditions, transféré de Paris à Quintin, dans les Côtes d’Armor, en 2019.
Avec plus de 1700 titres publiés à leur actif, les Éditions Gisserot éditent des ouvrages de vulgarisation sur l’Histoire, l’Histoire de l’art, le Patrimoine culturel et la Nature. Elles proposent par ailleurs de larges collections en vie pratique (cuisine, santé, loisirs nature) et de nombreux ouvrages destinés à la jeunesse (littérature et documentaires).
Nombre de leurs livres d’histoire et d’histoire de l’art sont sur la liste de lecture des étudiants des universités. Les Éditions Gisserot cherchent, tant par le prix abordable de leurs livres que par un souci d’offrir des textes de qualité (écrits par les meilleurs spécialistes des sujets traités mais à la portée du grand public), à proposer des ouvrages à la portée du plus grand nombre.
La Découverte
Le Festin
Hier
Le Festin a cette année 30 ans. Du chemin a été parcouru depuis le n° 1 de septembre 1989, sous-titré « Lettres, Lieux, Vues », et imprimé à quelque 1 000 exemplaires. La première page annonçait déjà en substance les grandes lignes directrices de ce que sera cette aventure éditoriale : ne pas aborder les patrimoines et la création en Nouvelle-Aquitaine sous un angle académique, mais selon une approche décomplexée et généreuse. Élevé au rang de doctrine, ce principe restera toujours le credo du Festin.
« L’Esprit Festin »
Il fallait redynamiser l’image vieillotte que véhiculait encore le patrimoine, en restituant la connaissance et en la rendant intelligible et attractive à tous, en défendant une vision plus prospective que nostalgique, plus régionale que régionaliste, plus familière qu’élitiste.
De fait, en tant qu’objet, la revue se présente à mi-chemin entre le livre et le magazine. Quant à son contenu, il associe des recherches scientifiques, inédites et documentées, à une démarche de vulgarisation. Partis pris, coups de cœur constituent le ferment de ce que l’on pourrait appeler « l’esprit Festin », autant éloigné du bulletin de société savante que du fanzine touristique. Un soin tout particulier est apporté aux images (recherches iconographiques ou actualité des reportages), car elles aiguillonnent la curiosité du lecteur. Elles éclairent, au même titre que la mise en page, le contenu rédactionnel, le soulignent en même temps qu’elle le divertit, afin qu’il n’y ait aucun hiatus entre le fond et la forme.
Enfin, le terrain d’action du Festin s'étend à toute la région Nouvelle-Aquitaine afin de proposer une lecture transversale du territoire. S’il existe une identité culturelle régionale, elle réside dans cet espace sensible où chaque site, chaque œuvre, chaque territoire est support d’interprétations, de correspondances et d’échanges. C’est aussi la diversité de la Nouvelle-Aquitaine qui fait la force de la revue. Réalisé par des amateurs passionnés pour d'autres passionnés, Le Festin se met au service de la connaissance, de l’expérience, de la découverte et du plaisir.
Aujourd’hui
En 2019, Le Festin fête ses 30 ans. Entre temps, il a tenté d’évoluer et d’améliorer par petites touches son propos rédactionnel et visuel. D’abord semestriel, puis trimestriel (à partir de 2002), il s’est imposé comme un rendez-vous désormais attendu pour les lecteurs. Il comptabilise aujourd’hui un catalogue de 109 numéros (dont beaucoup sont épuisés), auquel s’ajoute une trentaine de hors-série thématiques. Parallèlement, la maison d’édition propose chaque année une vingtaine de nouveaux titres (littérature, catalogue d’exposition, livres d’art, essais) qui viennent ainsi compléter le fonds culturel et patrimonial régional. Pour la seule revue, les plus de 10 000 pages qu’elle totalise depuis ses débuts en font un sommaire encyclopédique unique pour la Nouvelle-Aquitaine. Ce sont quelque 10 000 exemplaires et 2500 abonnements qui sont diffusés chaque trimestre dans plus de 600 points de vente.
Avec le temps, Le Festin a ainsi inventé son propre modèle économique, sans y perdre son âme ni ses ambitions. Loin de là, la grande aventure demeure intacte, l’équipe rédactionnelle et l'équipe commerciale composées de 15 salariés s’impliquent aujourd’hui dans cette profusion d’ouvrages avec toujours la même passion.
Dunod
CFC éditions
La Maison CFC développe un projet dont les deux volets sont complémentaires : l’activité éditoriale et la vie d’une librairie.
Sa politique d’édition, de diffusion et de promotion du livre ainsi que l’animation de la librairie se traduit par la publication d’ouvrages et l’organisation d’événements tels que des expositions, des conférences, des rencontres, des ateliers, des visites guidées, des concerts et des performances. Elle a pour objet premier de valoriser le patrimoine, la création ainsi que la vie artistique bruxelloise et littéraire francophone.
L'asbl CFC-Éditions est créée à Bruxelles en 1987, à l'initiative de la Commission française de la Culture (actuelle Commission communautaire française). La librairie sera inaugurée cinq ans plus tard.
La Maison CFC est installée au rez-de-chaussée d’un immeuble néoclassique de l’historique et symbolique place des Martyrs.
Racine Lannoo
Créées en 1993, les Éditions Racine ont conquis en l’espace de quelques années une position de tête dans le secteur de l’édition en Belgique francophone. Elles comptent à leur actif plus de 1000 titres et éditent chaque année plus d’une soixantaine d’ouvrages.
Attentives à la valorisation et à la promotion du patrimoine, les Éditions Racine articulent leur catalogue autour de deux pôles principaux à savoir le « beau livre » (architecture et patrimoine, art et arts décoratifs, histoire et régions, photographie, gastronomie, nature et jardins, tourisme…) et les livres d’essais (histoire, société, politique, économie…)
Nous éditons régulièrement des ouvrages en plusieurs versions de langue ou plurilingues, notamment parfois en collaboration avec notre maison mère Lannoo.
Grandes personnes (Editions)
Parenthèses (Éditions)
Dans maison d’édition il y a maison. Deux architectes, ébouriffés de Buckminster Fuller, Taos ou Theotiuacan, s’obstinèrent à vouloir dire combien « des hommes ont longtemps regardé la terre autrement qu’avec des yeux dédaigneux. Ils en ont soulevé la pellicule supérieure pour édifier leurs abris et s’y insérer. » Ce fut Archi de terre. D’abord vingt-six feuilles, deux cent quatre-vingt-dix millimètres sur quatre cent vingt, reprographiés recto verso d’après des originaux de deux feuilles issus d’une IBM à boule Letter Gothie surtitrés en lettres transfert Franklin, fixées sur une carte de deux cents grammes, le tout plié et doté de deux agrafes métalliques de douze millimètres.
Vint ensuite l’odeur du plomb fondu et des bains de fixatif de l’imprimerie de la rue Sainte très exactement en face de la librairie Lire, celle-là même qui nous donnait à voir tous les Maspero [toutes deux, l’imprimerie et la librairie ont depuis longtemps disparu, l’une sous les faux billets l’autre sous les attentats]. Le premier livre était presque là. Il fallait maintenant trouver un nom à la maison-demeure qui allait l’héberger. Elle aurait pu s’appeler NO REPRODUCTION, car ces termes légaux figuraient, prêts à poncer, sur toutes les planches de Letraset. Ce sera défi plus que choix-la marque d’un attachement à la précision typographique, la dénomination de ces signes de ponctuation doublés — pour venir s’intercaler. Archi de terre, aux Éditions Parenthèses, douze mille exemplaires diffusés première ivresse d’un métier encore à découvrir. Des livres d’architecture donc, mais bien sûr des livres d’architectes, menés comme un projet — « projet éditorial » — façonnant le matériau brut pour abriter, pérenniser. Des livres considérés comme un espace de découverte à aménager, au prix d’une implication absolue dans le confinement de la page — du moindre attribut typographique à l’image choisie et traitée.
L’architecture dans tous ses états — histoire, pratique ou objets emblématiques-mais surtout architecture pour s’ouvrir au monde collection « Architectures traditionnelles » — « l’architecture traditionnelle reste l’enseigne ethnique la plus démonstrative, mais aussi, souvent, la plus menacée ». L’architecture toujours à l’écoute, à l’écoute notamment du jazz, musique de l’esclavage oublié : collection « Epistrophy » — « accompagnements du jazz, de ses éclats, ses inassurances, ses colères, dans une passion cherchant à susciter ou renforcer la passion de ses gestes ». L’architecture s’ouvrant à l’art, aux origines de l’art : collection « Arts témoins » — « Témoins de la perfection des gestes fondateurs. Témoins aussi des Histoires qui,toujours, alimentent l’acte créatif. Témoins de ces altérités, les documents, gravures ou photographies mis en scène et confrontés à une connaissance en devenir, révèlent les richesses des mondes qui restent à découvrir. » Des collections, des livres pour une édition sans cloisonnements, fusionnelle, aqueduc dans l’espace ouvert de la découverte : collection « Eupalinos » où se confrontent des approches toutes complémentaires-art, architecture, urbanisme, musique (jazz, musiques improvisées, cultures musicales) , histoire, société ; collection « Diasporales » pour dire que « toute authenticité est un exil ».
L’édition sans perdre conscience : le livre n’est qu’un livre.
L’édition sans oublier de lever les yeux.
Modalité d'envois
To have your work reviewed by Aperture staff:
Enter the Aperture Portfolio Prize competition, developed to bring work by emerging photographers to a wider audience. Submissions will open in the fall.
Enter the Aperture Summer Open, for a chance to be included in an exhibition at Aperture Foundation’s gallery in New York. Submissions open in February.
Enter your photobook in the First PhotoBook or PhotoBook of the Year categories of the Paris Photo-Aperture Foundation PhotoBook Awards. Submissions will open in the summer.