Annuaire d' éditeur / Éditions Picquier
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Éditions Picquier

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1986

Depuis 1986, les Editions Picquier se sont attachées à publier en France des livres d’Asie, avec la certitude que « l’Asie est suffisamment vaste pour qu’on ne s’occupe que d’elle ». Le catalogue – comprenant une collection de livres de poche – est consacré au Japon, à la Corée, à la Chine, à l’Inde et l’Asie du Sud-Est. Une maison d’édition singulière qui a trouvé sa place dans le paysage éditorial français en publiant aussi bien des traductions des oeuvres des principaux écrivains de ces pays – classiques, modernes ou contemporains – que des essais, des livres d’art, des reportages et des livres pour enfants, destinés à faire connaître les cultures d’Asie aux lecteurs français dans leur richesse et leur diversité.

Derrière ce catalogue, il y a beaucoup de voyages, de rencontres et de découvertes. Des conseillers, des amis aussi, et surtout la complicité de traductrices et traducteurs remarquables qui prodiguent leurs conseils, lisent, commentent, partagent leurs goûts et leurs choix avec nous. 

Contact

Téléphone

0490496156

Adresse

Le mas de Vert B.P. 20150, 13631 Arles
France

Maisons d'éditions similaires :

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Albouraq

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1992
Albouraq est la monture ailée du Prophète Muhammad (saw) lors de son ascension vers Allah, le Maître des maîtres. Cette jument avait le visage d’un être humain, le corps et les membres d’un cheval et deux ailes. La première mentionnait « Il n’y a de Dieu que Dieu ». La seconde, « Muhammad (saw) est l’envoyé de Dieu ». Sous l’égide de cette sainte créature, les éditions Albouraq, nées d’une initiative familiale, ont œuvré pour déployer leurs ailes et ont finalement réussi à prendre leur envol en 1992. Dorénavant, leur vol se prolonge vers le ciel des cœurs intelligents, en diffusant la connaissance et la compréhension afin d’aider d’autres à déployer, à leur tour, les ailes de l’esprit. L’homme et l’oiseau sont les seules créatures bipèdes : l’une est dotée d’ailes pour voler vers l’azur, l’autre d’un cœur ailé pour voler vers l’humanité réelle et intégrale « à distance de deux arcs » du Compagnon suprême. Les premières publications des éditions Albouraq furent des traductions de textes arabes vers le français. Ces ouvrages, principalement destinées à la communauté musulmane en France, étaient essentiellement distribués dans les librairies dites " arabes ". Dans un souci de dialogue et de rapprochement interculturels, les éditions Albouraq se donnèrent pour objectif de briser les barrières faites de méfiance, d'autocensure, de préjugés et de méconnaissance. Albouraq publia alors différents textes relatifs à la civilisation arabo-musulmane issus de vastes domaines tels que la littérature, l’art, la spiritualité etc. La diversité de son catalogue Incita Albouraq à élargir son champ de diffusion au delà des librairies spécialisées. Ainsi, la diffusion des éditions Albouraq toucha les librairies traditionnelles et la grande distribution. Albouraq devint alors une passerelle entre Orient et Occident, une voie vers la connaissance de la civilisation arabo-musulmane. Actuellement, Le catalogue des éditions Albouraq compte plus de 350 titres. Au fil du temps, la production des Editions Albouraq s'est rassemblée autour d’une quinzaine de collections selon une logique thématique bien déterminée. En coédition avec les éditions Albin Michel, Arché Milano et GEBO, Albouraq prépare un grand nombre de titres aussi riches que variés. Les Editions Albouraq témoignent ainsi de leur diversité et de leur dévotion envers leur lectorat désireux de comprendre et d'être informé.
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Amsterdam éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2003

Fondées en 2003 par Charlotte Nordmann et Jérôme Vidal, les Éditions Amsterdam assurent la traduction et l’édition d’ouvrages de philosophie, d’histoire et de sciences sociales, d’essais critiques et politiques. Elles ont notamment introduit auprès du lectorat français des figures majeures du monde anglophone, accompagné la « Spinoza Renaissance », et travaillé les domaines des cultural studies, des gender studies, des postcolonial studies et de l’histoire atlantique.

Animées depuis 2016 par une nouvelle équipe sous la direction éditoriale de Nicolas Vieillescazes, les Éditions Amsterdam voudraient participer à l’émergence d’une génération d’intellectuels de gauche, tout en continuant à vous offrir le meilleur de la production intellectuelle de langue anglaise. Elles accueillent par ailleurs deux nouvelles collections : « L’ordinaire du capital », qui publie des documentaires littéraires, et « Les Prairies ordinaires », dédiée à la culture et aux arts. Ce faisant, elles espèrent contribuer à ce qu’en matière d’idées, la radicalité redevienne un marqueur d’exigence dans l’espace francophone.

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Calmann-Lévy

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1836
1800 livres au catalogue dont 100 publiés par an
Calmann-Lévy est une maison d'édition française fondée en 1836 par Michel (1821-1875) et Kalmus — dit « Calmann » — Lévy (1819-1891), de Phalsbourg en Moselle, sous la raison sociale « Michel Lévy frères », devenue « Calmann Lévy » après la mort de Michel en 1875. Elle fait partie du groupe Hachette depuis 1993. Elle est dirigée depuis mai 2016 par Philippe Robinet.
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Odile Jacob (Editions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1986
4000 livres au catalogue dont 130 publiés par an
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First

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
2000 livres au catalogue dont 382 publiés par an
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Flammarion

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1876
10000 livres au catalogue dont 380 publiés par an
Le groupe Flammarion est détenu par Madrigall, maison mère de Gallimard et troisième groupe d'édition français. Présent sur les secteurs de l'édition, diffusion, distribution et librairie, il est implanté en France, en Belgique et au Canada. Son offre éditoriale est portée par des marques reconnues : Flammarion, Flammarion Québec, Pygmalion, Aubier, Climats, GF, Champs, Étonnants Classiques, La Maison Rustique, Arthaud, Autrement, J'ai lu, Librio, Ombres noires, Casterman, Flammarion Jeunesse, Père Castor, Chan-OK, Fluide Glacial, KSTR et Sakka. Il couvre les domaines de la littérature, de l'art et du Patrimoine, de l'art de vivre et de la vie pratique, des sciences et des sciences humaines, des atlas, du parascolaire, du poche, de la BD, de la jeunesse et de l'humour.
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Le Festin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1989
109 publiés par an

Hier
Le Festin a cette année 30 ans. Du chemin a été parcouru depuis le n° 1 de septembre 1989, sous-titré « Lettres, Lieux, Vues », et imprimé à quelque 1 000 exemplaires. La première page annonçait déjà en substance les grandes lignes directrices de ce que sera cette aventure éditoriale : ne pas aborder les patrimoines et la création en Nouvelle-Aquitaine sous un angle académique, mais selon une approche décomplexée et généreuse. Élevé au rang de doctrine, ce principe restera toujours le credo du Festin.

« L’Esprit Festin »
Il fallait redynamiser l’image vieillotte que véhiculait encore le patrimoine, en restituant la connaissance et en la rendant intelligible et attractive à tous, en défendant une vision plus prospective que nostalgique, plus régionale que régionaliste, plus familière qu’élitiste.
De fait, en tant qu’objet, la revue se présente à mi-chemin entre le livre et le magazine. Quant à son contenu, il associe des recherches scientifiques, inédites et documentées, à une démarche de vulgarisation. Partis pris, coups de cœur constituent le ferment de ce que l’on pourrait appeler « l’esprit Festin », autant éloigné du bulletin de société savante que du fanzine touristique. Un soin tout particulier est apporté aux images (recherches iconographiques ou actualité des reportages), car elles aiguillonnent la curiosité du lecteur. Elles éclairent, au même titre que la mise en page, le contenu rédactionnel, le soulignent en même temps qu’elle le divertit, afin qu’il n’y ait aucun hiatus entre le fond et la forme.
Enfin, le terrain d’action du Festin s'étend à toute la région Nouvelle-Aquitaine afin de proposer une lecture transversale du territoire. S’il existe une identité culturelle régionale, elle réside dans cet espace sensible où chaque site, chaque œuvre, chaque territoire est support d’interprétations, de correspondances et d’échanges. C’est aussi la diversité de la Nouvelle-Aquitaine qui fait la force de la revue. Réalisé par des amateurs passionnés pour d'autres passionnés, Le Festin se met au service de la connaissance, de l’expérience, de la découverte et du plaisir.

Aujourd’hui
En 2019, Le Festin fête ses 30 ans.  Entre temps, il a tenté d’évoluer et d’améliorer par petites touches son propos rédactionnel et visuel. D’abord semestriel, puis trimestriel (à partir de 2002), il s’est imposé comme un rendez-vous désormais attendu pour les lecteurs. Il comptabilise aujourd’hui un catalogue de 109 numéros (dont beaucoup sont épuisés), auquel s’ajoute une trentaine de hors-série thématiques. Parallèlement, la maison d’édition propose chaque année une vingtaine de nouveaux titres (littérature, catalogue d’exposition, livres d’art, essais) qui viennent ainsi compléter le fonds culturel et patrimonial régional. Pour la seule revue, les plus de 10 000 pages qu’elle totalise depuis ses débuts en font un sommaire encyclopédique unique pour la Nouvelle-Aquitaine. Ce sont quelque 10 000 exemplaires et 2500 abonnements qui sont diffusés chaque trimestre dans plus de 600 points de vente.

Avec le temps, Le Festin a ainsi inventé son propre modèle économique, sans y perdre son âme ni ses ambitions. Loin de là, la grande aventure demeure intacte, l’équipe rédactionnelle et l'équipe commerciale composées de 15 salariés s’impliquent aujourd’hui dans cette profusion d’ouvrages avec toujours la même passion.

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Michel de Maule

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
400 livres au catalogue dont

Créées en 1987, les Éditions Michel de Maule ont plus 30 ans.

Elles ont aujourd'hui 400 titres actifs réunis autour de 6 collections :

- Littérature française
- Littérature étrangère
- Histoire et Sciences sociales
- Musique
- Beaux-Livres
- Esthétique

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Cerf

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1929
4000 livres au catalogue dont 200 publiés par an
Fondées en 1929, les Éditions du Cerf, premier éditeur religieux francophone, publient près de 120 nouveautés par an. Son catalogue de 5 000 titres couvre l'ensemble des religions monothéistes, l'histoire antique et médiévale, la philosophie, les sciences humaines.
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