
Gallimard Jeunesse Giboulées: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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Maisons d'éditions similaires :
Cépaduès
Complicités
Les éditions Complicités ont été fondées en 1991 par Chantal Vieuille, formée par l'éditeur Robert Morel puis devenue, entre autres, une collaboratrice de Christian de Bartillat alors éditeur chez Plon.
Au fil des années, la maison d'édition a développé un catalogue de livres autour de plusieurs collections où l'art se mêle à la littérature. La maison d’édition a ensuite été cédée en 2008 à Patrick Ardoin, auparavant patron de presses, qui a mis en place une nouvelle dynamique commerciale, de nouvelles ambitions, notamment en faveur de l'édition numérique.
Tout en poursuivant cette volonté de servir la culture de l'écrit, en utilisant les moyens technologiques mis à sa disposition. Après 8 années à la direction de la maison, Patrick Ardoin a choisi de se concentrer sur ses activités associatives et notamment la présidence de Teriya Amitié Mali. Il a donc cherché un successeur.
Désormais reprise par Olivier Petot, celui-ci poursuivra le développement de la maison dans le respect des fondements mis en place par ses glorieux prédécesseurs. Olivier Petot a créé en l’an 2000 les Editions Publibook et y a travaillé pendant 16 ans.
Table Ronde (La)
L’idée première est de créer une revue. Conviés autour de la table, Thierry Maulnier, André Fraigneau et Jean Cocteau participent au projet. André Fraigneau suggère un titre énigmatique : La Couronne fermée. Jean Cocteau lui préfère La Table Ronde, qui correspond davantage à l’esprit du groupe. François Salvat dessine les maquettes et le premier numéro des « Cahiers de La Table Ronde » voit le jour fin 1944. Jean Anouilh confie alors sa pièce Antigone à Roland Laudenbach, sans limitation de tirage. Ce sera le premier livre en édition courante, celui qui fait de La Table Ronde une maison d’édition à part entière.
L’effervescence littéraire et intellectuelle du demi-siècle ne perdant rien de sa vigueur, des auteurs tels François Mauriac et Henry de Montherlant collaborent à la revue, tandis que Paul Morand livre son Journal d’un attaché d’ambassade et Jean Giono Un roi sans divertissement. Au fil des années cinquante, une génération d’écrivains turbulents fait son apparition. Parmi eux, Antoine Blondin, Michel Déon, Jacques Laurent, Roger Nimier, tous amis de Roland Laudenbach, que Bernard Frank réunira — un peu rapidement — sous le nom de « hussards ».
Au cœur de cette époque, La Table Ronde publie des romans drôles et mélancoliques, sensibles et délicats.
L’éclosion d’écrivains comme Alphonse Boudard, Gabriel Matzneff, Frédéric Musso ou encore Eric Neuhoff, offre aux hussards des successeurs pleins de panache. Les années quatre-vingt-dix s’ouvrent sur les disparitions successives de Roland Laudenbach et Antoine Blondin. Avec l’arrivée de Denis Tillinac à la tête de La Table Ronde en 1990, le catalogue accueille Jean-Paul Kauffmann, Frédéric Fajardie, Yves Charnet, Jean-Claude Pirotte, Xavier Patier, le poète William Cliff ou plus récemment Michel Monnereau. En 1997, La Table Ronde reprend la collection Quai Voltaire, pour la dédier à la littérature étrangère, en publiant, entre autres, Alice Mc Dermott, Tracy Chevalier, et Richard Russo. Dirigées aujourd’hui par Alice Déon, Les Éditions de La Table Ronde continuent de réunir des auteurs restés fidèles à la liberté de ton de leurs fondateurs.
Archipel (L')
Karthala
Campagne première
Corsaire (Editions)
Maison des Sciences de l'Homme
Chronique Sociale
Ces trois secteurs d'intervention s'avèrent d'ailleurs complémentaires : pas d'édition sans formation, ni de formation sans recherche. Juridiquement, la Chronique est, à la fois, une association régie par la loi de juillet 1901 et dirigée par un Conseil d'Administration (créé en 1967) pour ses activités de formation et de recherche, et une Société anonyme à responsabilité limitée (SARL créée en 1920) pour l'activité édition.
Les deux structures sont liées juridiquement et travaillent en synergie au quotidien pour mettre en oeuvre le même projet.
Historiquement, la Chronique Sociale s'est préoccupée, dès ses origines, de sensibiliser le grand public aux évolutions de la société en suggérant une organisation de la vie collective plus solidaire et plus respectueuse des personnes.
Sa spécificité - et son originalité - consistent à privilégier la culture de proximité et l'échange d'informations en faisant appel à celles et ceux qui ont enrichi un savoir théorique initial par un savoir-faire de terrain ou l'inverse.
Elle s'adresse, en retour, à tous les acteurs d'humanité soucieux de mieux comprendre le monde en vue de le servir mieux, depuis leur propre épanouissement jusqu'à leur action au sein des organisations et au sein de la société.